Vies des grand capitaines français du moyen âge: Mathieu de Montmorency et Gaucher de ChatillonJ. Lecoffre, 1845 |
Expressions et termes fréquents
10 hommes d'armes 300 serjans alliés Anglais armée armes banneret bannière barons bataille de Bouvines Bertran bles Bretagne campagne cavalerie charge de connétable Charles d'Anjou Charles de Valois chascun chef chevalerie chevaliers combat commandement comte de Boulogne comte de Valois connétable Couci couronne d'Angleterre d'armes et 300 devant Dominus duc de Bourgogne Édouard ennemis épée féodaux Ferrand fief fils Flamands frère Gaucher de Châtillon Guérin guerre Guienne Guillaume Guillelmus heaume Henri historiens Hugo Hugues Idem Jean sans Terre Jehan Joannes l'armée l'ennemi laisser lance Languedoc leudes lippe livres de terre Louis IX Louis VIII Mathieu de Montmorency ment mille monarque Mons-en-Puelle Montfort mort mourut moyen âge Navarre nobles Othon pape Philippe de Valois Philippe le Bel Philippe-Auguste Pierre premier preux prince Raoul Renaud rent Robert Robertus royale royaume s'était saint Seign Seigneur servir siècle Simon sire soldats Templiers Thibaut tion trône troupes vassaux Vicomte voulut
Fréquemment cités
Page 299 - Comme en conseil et en traitië {Farcevesques, évesques, abbez et autres prélaz, doiens, chapitres, cmtvenz, collèges, et plusieurs autres personnes d'église, séculers et religieux, exempts et non exempts, ducs, comtes, barons et autres nobles de nostre royaume '. Tel est donc le Conseil par lequel le Roi de France exerce son pouvoir. Il est composé, suivant les affaires et les circonstances, de tous les hommes éminents ou habiles, non plus par le droit féodal, dont ils apportaient au suzerain...
Page 298 - ... sergents, ordinairement six par cent feux ; ils les équipaient, les armaient et les soldaient, les ordonnances réglaient l'armement: « six sergens de pied des plus souffisans et des meilleurs qu'on pourra trouver ez paroisses ou ailleurs , si ceux des paroisses n'étaient souffisanz, et seront armés de pourpoins et de haubergeons ou de gambesons, de bacinés et de lances ; et des six il y en aura deux arbalétriers. » Ce passage fait connaître quel était l'armement de l'infanterie *. En...
Page 25 - Guyenne , le Poitou , la Saintonge, l'Auvergne, le Limousin, le Périgord , l'Angoumois , l'Anjou , le Maine, la Touraine et la...
Page 314 - Le chevalier juridiquement condamné pour ses forfaits à subir cette flétrissure était d'abord conduit sur un échafaud, où l'on brisait et foulait aux pieds, en sa présence, toutes ses armes et les différentes pièces de l'armure dont il avait...
Page 116 - Tanqtiam ad perdenda vina geniti, et tanquam effundi îlla non possint , nisi per humanum corpus. Du temps des beaux jours de la Grèce et de Rome , l'ivrognerie était le partage unique des grands personnages. Athénée (x , n) dit qu'Alexandre ressentit les premières atteintes de la maladie qui le conduisit au tombeau après un excès bachique. Aujourd'hui la manie de boire est restreinte au peuple. On assure qu'on a trouvé encore de nos jours des gourmands qui se débarrassaient l'estomac du...
Page 75 - ... de son armée. Il était revêtu des habits impériaux et avait fait mettre devant lui un char attelé de quatre chevaux blancs couverts de magnifiques draperies, et dans ce char était planté sur un pal haut de vingt pieds l'étendard de l'armée germanique; le fer de la lance se terminait par un aigle déployant ses ailes et terrassant un dragon, emblème anticipé d'une victoire que le prince allemand regardait si bien comme assurée qu'il avait même négligé de former un corps de réserve....
Page 311 - Dieu qu'il vous doint autel et si bon cœur que vous soyez encore aussi preux et aussi bon chevalier comme fut oncques roy de France qui porlast fpée.
Page 96 - ... célèbre par la défaite qu'y éprouva Charles le Téméraire, le 22 juin 1476. Rejoints par René II, duc de Lorraine, et renforcés par les milices des différentes villes, les Suisses se jetèrent sur le camp des Bourguignons qui bloquaient Morat, et en firent un horrible carnage. Le duc de Bourgogne ne dut son salut qu'à la vitesse de son cheval. Les vainqueurs firent un charnier des ossements des Bourguignons; ce monument barbare fut détruit, lors de l'invasion française (1798), par...
Page 79 - ... attaquer par des vilains, dédaignèrent de faire le coup de lance avec eux se bornant à tuer les chevaux sans vouloir toucher aux hommes ; les ribauds démontés se jetèrent à pied dans les rangs ennemis et y portèrent le désordre en coupant avec leurs dagues les jarrets des destriers. Cependant ce désordre fut bientôt réparé, et les chefs principaux des Flamands se précipitèrent sur les nobles de Champagne; mais ils furent repousses, batlus, faits prisonniers pour la plupart.
Page 315 - ... de l'infâme chevalier pour effacer le sacré caractère conféré par l'accolade. Le coupable , dégradé de la sorte , était ensuite tiré au bas de l'échafaud par une corde passée sous le bras et mis sur une claie ou sur une civière , couvert d'un drap mortuaire , et porté à l'église où l'on faisait sur lui les mêmes prières et les mêmes cérémonies que pour les...