Histoire de la ville de Chaumont (Haute-Marne)Dumoulin, 1856 - 472 pages |
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Expressions et termes fréquents
administrateurs armes avaient bailli bailliage bailliage de Chaumont Bar-sur-Aube Barle Bassigny bientôt Bouchardon Bourbonne bourgeois Brantigny Buxereuilles C'était cent Chamarandes Champagne chanoines chapelle chapitre charge château Châteauvillain Chau Chaumont-le-Bois chaumontaise citoyens clergé comte conseil construit deniers département députés devait Dinteville Donjon donner doyen duc de Guise échevins établi faubourg fête fief François Ier garde garnison guerre Guillaume Rose Guyonvelle habitants Haute-Marne Henri hommes Jean Jean d'Amboise Jean de Baudricourt Jean-Baptiste Bouchardon Joinville jour l'administration l'ancien l'assemblée l'église Saint-Jean l'ennemi l'évêque Laloy Langres Langrois liberté lieutenant lieutenant-général Ligue ligueurs Lorraine Louis Louis XIV maire maison marquis de Reynel ment milice mille livres mois mort municipalité n'avait Nicolas Nogent nouvelle officiers Paillot pendant peuple Pierre place population porte premier prévôt prince procureur quartier quatre Reclancourt reste réunis révolution Reynel s'était Saint Saint-Agnan Saint-Blin Saint-Dizier Saint-Michel Schwarzemberg seigneur service sols Suize tion troupes Troyes XVIe siècle XVIII
Fréquemment cités
Page 10 - ... ce que doit faire, de tous ceux qui la composent, la petite société qui se forme autour de lui. Il s'établit dans un lieu isolé, élevé, qu'il prend soin de rendre sûr, fort ; il y construit ce qu'il appellera son château. Avec qui s'y établit-il ? Avec sa femme, ses enfants ; peut-être...
Page 10 - D'ordinaire, dans les premiers temps du régime féodal, ce prêtre est à la fois le chapelain du château et le curé du village; un jour les deux caractères se sépareront ; le village aura son curé qui y habitera, à côté de son église. Voilà la société féodale élémentaire, la molécule féodale, pour ainsi dire. C'est cet élément que nous avons d'abord à examiner ; nous lui...
Page 134 - ... et distinguer ses serviteurs, et d'un seul élancement de sa vue les fortifier en l'espérance de l'avancement de ses desseins, de sa fortune et de sa grandeur, et leur dire sans parler, JE VOUS VOIS...
Page 268 - Patrie prononcèrent à haute et intelligible voix, au nom de leurs filleuls, le serment solennel d'être fidèles à la Nation, à la Loi, au Roi, et de maintenir de tout leur pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le Roi....
Page 128 - Roy pour scavoir ce qu'il vouloit dire par ces remuemens , que ce faisoit-il parce que les villes de Picardie ne vouloient pas de garnisons , et que la noblesse ne vouloit pas de gouverneurs gascons. Ce qui ayant été rapporté au Roy : « Je vois bien , dit-il , que si je laisse faire ces gens , je « ne les aurai pas seulement pour compagnons , mais « pour maîtres. Il est bien tems d'y donner. » Ce qui étoit vrai ; le pis étoit que tout se passoit en paroles. Sur la fin de ce mois, on imposa...
Page 102 - je le veux empescher, dit le cardinal; car l'on scait « bien que souffrant telles choses, c'est tacitement souf« frir les prêches secrettes, et l'empescherai tant que « je pourrai. Et vous qui etes ce que etes apresent, de « par moy , osés bien me dire que je viens pour vous
Page 119 - Le jour de carême-prenant, le roi avec ses mignons furent en masque par les rues de Paris, où ils firent mille insolences, et la nuit allèrent rôder de maison en maison voir les compagnies jusques à six heures du matin du premier jour de carême...
Page 217 - Guyenne pour l'accomplissement de notre mariage et celuy de notre très chère sœur aînée, de pourveoir à la seureté de nos villes et places, pour empescher qu'il n'y arrive aucune altération qui puisse troubler le bien et repos de nos bons...
Page 217 - ... ou autres s'advouant d'eux, n'y entrent sans lettres ou passeport de nous, et qu'il n'y soit fait aucunes pratiques et menées contraires et prejudiciables à nostre auctorité et service et au repos de lad.
Page 314 - Légion d'Honneur, — au franc quartier à dextre, cousu d'azur à l'N d'or; — l'écu surmonté de deux cornes d'abondance fleuries et fruitées d'or, posées en sautoir; — un feston de chêne et d'olivier étant supporté par elles et se nouant au point où elles se croisent.