Petite encyclopédie poétique ou choix de poésies dans tous les genres: Epitres légères et badinesCapelle et Renand, 1804 - 256 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 17
Page 28
... fais l'Olympe des dieux . Là , dans la liberté suprême , Semant de fleurs tous mes instans , Dans l'empire de l'hiver même Je trouve les jours du printems . Calme heureux , loisir solitaire ! Quand on jouit de ta douceur Quel antre n'a ...
... fais l'Olympe des dieux . Là , dans la liberté suprême , Semant de fleurs tous mes instans , Dans l'empire de l'hiver même Je trouve les jours du printems . Calme heureux , loisir solitaire ! Quand on jouit de ta douceur Quel antre n'a ...
Page 49
... dans cet asile ; L'âge de fer est aux lieux où je cours . Sans être ému j'y verrai tout Cythère , L'art des cités et la pompe des cours ; Tome V. 5 J'en fais serment au dieu de ma bergère , Clauidne ÉPITRES LÉGÈRES ET BADINES . 49.
... dans cet asile ; L'âge de fer est aux lieux où je cours . Sans être ému j'y verrai tout Cythère , L'art des cités et la pompe des cours ; Tome V. 5 J'en fais serment au dieu de ma bergère , Clauidne ÉPITRES LÉGÈRES ET BADINES . 49.
Page 50
Epitres légères et badines. J'en fais serment au dieu de ma bergère , Clauidne aura mes dernières amours . Toi que je laisse oisive et solitaire Dans ce hameau , tu verras tous les jours Ces bois , ces eaux , ces fleurs , cette fougère ...
Epitres légères et badines. J'en fais serment au dieu de ma bergère , Clauidne aura mes dernières amours . Toi que je laisse oisive et solitaire Dans ce hameau , tu verras tous les jours Ces bois , ces eaux , ces fleurs , cette fougère ...
Page 84
... fais mon unique étude Au moins de ne penser qu'à toi . A mes côtés viens prendre place ; Le plaisir attend ton retour : Viens , et je troque dans ce jour Les lauriers ingrats du Parnasse Contre les myrtes de l'Amour . Par LACLOS . A M ...
... fais mon unique étude Au moins de ne penser qu'à toi . A mes côtés viens prendre place ; Le plaisir attend ton retour : Viens , et je troque dans ce jour Les lauriers ingrats du Parnasse Contre les myrtes de l'Amour . Par LACLOS . A M ...
Page 96
... fais mes conventions : Ferme - moi les portes du temple S'il faut payer les oraisons . Un baiser dont on fait l'emplète Ne rend pas l'amour fortuné , Sans prix alors qu'il est donné , Et moins que rien quand on l'achète . Ne va pas te ...
... fais mes conventions : Ferme - moi les portes du temple S'il faut payer les oraisons . Un baiser dont on fait l'emplète Ne rend pas l'amour fortuné , Sans prix alors qu'il est donné , Et moins que rien quand on l'achète . Ne va pas te ...
Autres éditions - Tout afficher
Petite encyclopédie poétique: ou choix de poésies dans tous les genres, Volume 5 Affichage du livre entier - 1804 |
Petite encyclopédie poétique, ou choix de poésies dans tous les ..., Volume 5 Affichage du livre entier - 1804 |
Petite encyclopédie poétique ou choix de poésies dans tous les genres ... Affichage du livre entier - 1804 |
Expressions et termes fréquents
aimable aimer amans amant Aminte Amours Anacréon appas Aspasie attraits BADINES baiser beauté beaux jours bel âge belle bergère bonheur brillant cagots candeur Céladon cesse chanter charmant Chaulieu chère chevaux Claudine cœur constance coquette Crésus cruelle Cythère desirs dieu dieux divin DORAT douce doux dryade encens enfans esprit femme feux fidelle fleurs folie fripon gaîté Glycère goût Graces GRESSET Hélas hermitage heureux j'adore J'ai j'aime j'en jaloux jamais janseniste jeune jeunesse jeux jolis l'aimable l'amant l'Amour l'art l'aurore l'ennui l'heureux l'inconstance langueur lieux Loin long-tems LUZZI Madame main maîtresse Margot mille Nenette nuit pardonne Parnasse pense Philis plaire plaisir plaisirs pleurs printems qu'un quelquefois quitter raison rien rimes roses Rosire sage sagesse Saint-Evremont SAINT-LAMBERT sais secret sentimens sentiment serait seul sœurs sots sourire talens TÉLÉSIE tems tendre tendresse Thémire Tircis triste Ver-Vert veux vient vœux voilà vois voix volage VOLTAIRE volupté yeux zéphyr Zoïles Zulmé
Fréquemment cités
Page 155 - Mais je veux avec toi baiser dans l'Elysée La main qui nous peignit l'épouse de Thésée. J'embrasserai Quinault, en dusses-tu crever. Et si ton goût sévère a pu désapprouver Du brillant Torquato le séduisant ouvrage, Entre Homère et Virgile il aura mon hommage.
Page 27 - C'est que , depuis l'oblique entrée , Dans cette cage resserrée On peut former jusqu'à six pas; Une lucarne mal vitrée, Près d'une gouttière livrée A d'interminables sabbats, Où l'université des chats , A minuit , en robe fourrée , Vient tenir ses bruyants états ; Une table mi-démembrée , Près du plus humble des grabats ; Six brins de paille délabrée , Tressés sur deux vieux échalas : Voilà les meubles délicats Dont ma chartreuse est décorée...
Page 154 - Cotins de mon temps poursuivre la racaille, Et railler un Coger dont tout Paris se raille? Non, ma muse m'appelle à de plus hauts emplois. A chanter la vertu j'ai consacré ma voix. Vainqueur des préjugés que l'imbécile encense, J'ose aux persécuteurs prêcher la tolérance; Je dis au riche avare :
Page 72 - Ensuite suspendu sur le bord de ma chaise J'écoutais en silence, et ne me permettais Le moindre si, le moindre mais ; Avec moi tout le monde était fort à son aise, Et moi je ne l'étais jamais ; Un rien aurait pu me confondre ; Un regard, tout m'était fatal ; Je ne parlais que pour répondre ; Je parlais bas, je parlais mal. Un sot provincial arrivé par le coche Eût été moins que moi tourmenté dans sa peau ; Je me mouchais presqu'au bord de ma poche ; J'éternuais dans mon chapeau.
Page 37 - Irois-je, orateur mercenaire, Du faux et de la vérité, Chargé d'une haine étrangère, Vendre aux querelles du vulgaire Ma voix et ma tranquillité, Et, dans l'antre de la Chicane...
Page 21 - ODRQUOI de ma sage indolence Interrompez-vous l'heureux cours? Soit raison , soit indifférence , Dans une douce négligence , Et loin des muses pour toujours...
Page 16 - Ce large Suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du Temps : On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître.
Page 79 - Fuis les plaisirs, qui sont trompeurs comme eux. Bon citoyen, travaille pour la France, Et du public attends ta récompense. Qui ? le public ! ce fantôme inconstant, Monstre à cent voix, Cerbère dévorant, Qui flatte et mord, qui dresse par sottise Une statue, et par dégoût la brise...
Page 15 - Que tu changeais en ambroisie, Tu te livrais dans ta folie A l'amant heureux et trompé Qui t'avait consacré sa vie...
Page 243 - Mais pardonne-moi ma franchise : Ni tes tableaux , ni tes écrits , N'équivalent, à mon avis, Au tour que tu fis à l'Église. Nos guerriers , la ville et la cour , Admirant ta métamorphose, Battirent des mains tour à tour; La Gloire en sourit , et l'Amour Crut seul y perdre quelque chose.