Petite encyclopédie poétique ou choix de poésies dans tous les genres: Epitres légères et badinesCapelle et Renand, 1804 - 256 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 24
Page 31
... nature , Et le peintre de la raison ; Loin enfin , loin de la présence De ces timides discoureurs Qui , non guéris de l'ignorance Dont on a pétri leur enfance , Restent noyés dans mille erreurs Et damnent toute ame sensée Qui , loin de ...
... nature , Et le peintre de la raison ; Loin enfin , loin de la présence De ces timides discoureurs Qui , non guéris de l'ignorance Dont on a pétri leur enfance , Restent noyés dans mille erreurs Et damnent toute ame sensée Qui , loin de ...
Page 37
... nature , Aux plaisirs de la vérité Préférant le goût frelaté Des plaisirs que fait l'imposture , Ou qu'invente la vanité , Voudrais - je partager ma vie Entre les jeux de la folie Et l'ennui de l'oisiveté , Et trouver la mélancolie Dans ...
... nature , Aux plaisirs de la vérité Préférant le goût frelaté Des plaisirs que fait l'imposture , Ou qu'invente la vanité , Voudrais - je partager ma vie Entre les jeux de la folie Et l'ennui de l'oisiveté , Et trouver la mélancolie Dans ...
Page 41
... nature , Et ne connaît point d'autres fers . En admirant la mélodie De ces voix , de ces sons parfaits , Où le goût brillant d'Ausonie Se mêle aux agrémens français , Je regrette les chansonnettes Et le son des simples musettes Dont ...
... nature , Et ne connaît point d'autres fers . En admirant la mélodie De ces voix , de ces sons parfaits , Où le goût brillant d'Ausonie Se mêle aux agrémens français , Je regrette les chansonnettes Et le son des simples musettes Dont ...
Page 42
... nature , Répandent sur tous leurs discours L'académique enluminure Et le vernis des nouveaux tours , Je regrette la bonhomie , L'air loyal , l'esprit non pointu , Et le patois tout ingénu Du curé de la seigneurie , Qui , n'usant point ...
... nature , Répandent sur tous leurs discours L'académique enluminure Et le vernis des nouveaux tours , Je regrette la bonhomie , L'air loyal , l'esprit non pointu , Et le patois tout ingénu Du curé de la seigneurie , Qui , n'usant point ...
Page 48
... nature Fait pétiller , dans tes yeux séduisans , Tous les desirs d'un instinct de seize ans ; Cette candeur , cette vérité pure , Et ce regard innocent et malin , Lorsque tu vois l'albâtre de ton sein S'élever , croître ou décroître à ...
... nature Fait pétiller , dans tes yeux séduisans , Tous les desirs d'un instinct de seize ans ; Cette candeur , cette vérité pure , Et ce regard innocent et malin , Lorsque tu vois l'albâtre de ton sein S'élever , croître ou décroître à ...
Autres éditions - Tout afficher
Petite encyclopédie poétique: ou choix de poésies dans tous les genres, Volume 5 Affichage du livre entier - 1804 |
Petite encyclopédie poétique, ou choix de poésies dans tous les ..., Volume 5 Affichage du livre entier - 1804 |
Petite encyclopédie poétique ou choix de poésies dans tous les genres ... Affichage du livre entier - 1804 |
Expressions et termes fréquents
aimable aimer amans amant Aminte Amours Anacréon appas Aspasie attraits BADINES baiser beauté beaux jours bel âge belle bergère bonheur brillant cagots candeur Céladon cesse chanter charmant Chaulieu chère chevaux Claudine cœur constance coquette Crésus cruelle Cythère desirs dieu dieux divin DORAT douce doux dryade encens enfans esprit femme feux fidelle fleurs folie fripon gaîté Glycère goût Graces GRESSET Hélas hermitage heureux j'adore J'ai j'aime j'en jaloux jamais janseniste jeune jeunesse jeux jolis l'aimable l'amant l'Amour l'art l'aurore l'ennui l'heureux l'inconstance langueur lieux Loin long-tems LUZZI Madame main maîtresse Margot mille Nenette nuit pardonne Parnasse pense Philis plaire plaisir plaisirs pleurs printems qu'un quelquefois quitter raison rien rimes roses Rosire sage sagesse Saint-Evremont SAINT-LAMBERT sais secret sentimens sentiment serait seul sœurs sots sourire talens TÉLÉSIE tems tendre tendresse Thémire Tircis triste Ver-Vert veux vient vœux voilà vois voix volage VOLTAIRE volupté yeux zéphyr Zoïles Zulmé
Fréquemment cités
Page 155 - Mais je veux avec toi baiser dans l'Elysée La main qui nous peignit l'épouse de Thésée. J'embrasserai Quinault, en dusses-tu crever. Et si ton goût sévère a pu désapprouver Du brillant Torquato le séduisant ouvrage, Entre Homère et Virgile il aura mon hommage.
Page 27 - C'est que , depuis l'oblique entrée , Dans cette cage resserrée On peut former jusqu'à six pas; Une lucarne mal vitrée, Près d'une gouttière livrée A d'interminables sabbats, Où l'université des chats , A minuit , en robe fourrée , Vient tenir ses bruyants états ; Une table mi-démembrée , Près du plus humble des grabats ; Six brins de paille délabrée , Tressés sur deux vieux échalas : Voilà les meubles délicats Dont ma chartreuse est décorée...
Page 154 - Cotins de mon temps poursuivre la racaille, Et railler un Coger dont tout Paris se raille? Non, ma muse m'appelle à de plus hauts emplois. A chanter la vertu j'ai consacré ma voix. Vainqueur des préjugés que l'imbécile encense, J'ose aux persécuteurs prêcher la tolérance; Je dis au riche avare :
Page 72 - Ensuite suspendu sur le bord de ma chaise J'écoutais en silence, et ne me permettais Le moindre si, le moindre mais ; Avec moi tout le monde était fort à son aise, Et moi je ne l'étais jamais ; Un rien aurait pu me confondre ; Un regard, tout m'était fatal ; Je ne parlais que pour répondre ; Je parlais bas, je parlais mal. Un sot provincial arrivé par le coche Eût été moins que moi tourmenté dans sa peau ; Je me mouchais presqu'au bord de ma poche ; J'éternuais dans mon chapeau.
Page 37 - Irois-je, orateur mercenaire, Du faux et de la vérité, Chargé d'une haine étrangère, Vendre aux querelles du vulgaire Ma voix et ma tranquillité, Et, dans l'antre de la Chicane...
Page 21 - ODRQUOI de ma sage indolence Interrompez-vous l'heureux cours? Soit raison , soit indifférence , Dans une douce négligence , Et loin des muses pour toujours...
Page 16 - Ce large Suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du Temps : On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître.
Page 79 - Fuis les plaisirs, qui sont trompeurs comme eux. Bon citoyen, travaille pour la France, Et du public attends ta récompense. Qui ? le public ! ce fantôme inconstant, Monstre à cent voix, Cerbère dévorant, Qui flatte et mord, qui dresse par sottise Une statue, et par dégoût la brise...
Page 15 - Que tu changeais en ambroisie, Tu te livrais dans ta folie A l'amant heureux et trompé Qui t'avait consacré sa vie...
Page 243 - Mais pardonne-moi ma franchise : Ni tes tableaux , ni tes écrits , N'équivalent, à mon avis, Au tour que tu fis à l'Église. Nos guerriers , la ville et la cour , Admirant ta métamorphose, Battirent des mains tour à tour; La Gloire en sourit , et l'Amour Crut seul y perdre quelque chose.