Le porte-feuille trouvé, ou Tablettes d'un curieux: contenant quantité de pièces fugitives de Mr. de Voltaire, qui ne sont dans aucune de ses éditions, Volume 2

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Chez les Libraires associés, 1757
 

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Fréquemment cités

Page 155 - ... comment, tant de bien à la terre. Remerciez bien Dieu de n'avoir rien de commun, ni avec leur conduite, ni avec leurs écrits. Vos saintes idées sur le gouvernement politique sont une suite de votre sagesse. On voit que vous connaissez les royaumes de la terre tout comme le royaume des cieux.
Page 70 - Si l'on m'a fait le tort de m'attribuer un discours que je n'ai pas tenu , on m'a fait l'honneur d'avoir de l'attention sur moi; et l'un ira pour l'autre. Je n'ai point cru que d'avoir décrié les vieilles...
Page 152 - Il est vrai que ces hommes ont mené une vie pure et innocente, que tous les honnêtes gens les chérissaient et les consultaient ; mais c'est par.
Page 194 - Il eflaya d'abattre la ligue ; il voulut s'aflurer de quelques bourgeois les plus féditieux ; îï"ofa défendre à Guife l'entrée de Paris ; mais il éprouva à fes dépens ce que c'eft que de commander fans pouvoir. Guife, au mépris de fes ordres , vint à Paris , les bour.
Page 243 - Je ne porterai pas mes regards curieux. Mais au maître des vers nobles , harmonieux , Au rival de Milton , de Virgile...
Page 153 - C'est leur philosophie qui fit donner tant de batailles , et qui causa la Saint-Barthélemi. C'est leur esprit de tolérantisme qui est la ruine du monde; et c'est votre saint zèle qui répand partout la douceur de la concorde. Vous nous apprenez que tous les partisans de la religion naturelle sont les ennemis de la religion chrétienne. Vraiment, monsieur, vous avez fait là une belle découverte!
Page 151 - Dieu est leur père commun ; qu'il faut ne rien innover dans la religion, ne point troubler la paix établie par un monarque sage ; qu'on doit tolérer les sentiments des hommes , ainsi que leurs défauts.
Page 237 - D'unir les intérêts de Rome et de la France, Et de porter bien loin, par mes rares exploits, La gloire de mes lis et celle de la croix; Mon...
Page 28 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.
Page 362 - Quand d'un oeil plus certain j'en perce le nuage, Je vois trop aujourd'hui tout ce qu'il va m'ôter. J'aimais à le prévoir, je perds à le connaître: J'espérais l'instant où je suis; Je crains l'instant où je dois être.

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