Œuvres de M. de Voltaire, Volume 1 ;Volume 3 |
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L A M o RT DE MADEMOISELLE LE COUVREUR ; FAMEUSE ACTRICE , Q U E
vois - je , quel objet ! Quoi ! ces lévres charmantes Quoi ! ces yeux d'où partoient
ces fâmes éloquentes Eprouvent du trépas les livides horreurs ? Muses ...
L A M o RT DE MADEMOISELLE LE COUVREUR ; FAMEUSE ACTRICE , Q U E
vois - je , quel objet ! Quoi ! ces lévres charmantes Quoi ! ces yeux d'où partoient
ces fâmes éloquentes Eprouvent du trépas les livides horreurs ? Muses ...
Page 185
L A M o R OR DE MADEMOISELLE LE COU V REI FAMEUSE ACTRIC Que vois
- je , quel objet ! Quoi ! mantes , Quoi ! ces yeux d'où parcoient ces fi : Eprouvent
du crépas les livides hor . Muses , Graces , Amours , " O wes Dieux & les li ...
L A M o R OR DE MADEMOISELLE LE COU V REI FAMEUSE ACTRIC Que vois
- je , quel objet ! Quoi ! mantes , Quoi ! ces yeux d'où parcoient ces fi : Eprouvent
du crépas les livides hor . Muses , Graces , Amours , " O wes Dieux & les li ...
Page 188
J'en entens raisonner les plus profonds esprits , Maupertuis & Clairarst ,
calculante Cabale : Je les voix qui des Cieux franchissent l'intervale , Et je vois
trop souvent , que j'ai très peu compris .. De ces obscurités , je passe à la Morale
, Je lis ...
J'en entens raisonner les plus profonds esprits , Maupertuis & Clairarst ,
calculante Cabale : Je les voix qui des Cieux franchissent l'intervale , Et je vois
trop souvent , que j'ai très peu compris .. De ces obscurités , je passe à la Morale
, Je lis ...
Page 190
Je vois & j'entens l'atmosphere , Qui s'embrafe & qui retentit De cent décharges
de tonnerre , Et dans ces horreurs de la guerre go Le Français chante , boit & rit :
Bellone va réduire en cendres Les courtines de Philipsbourg , Par cinquante ...
Je vois & j'entens l'atmosphere , Qui s'embrafe & qui retentit De cent décharges
de tonnerre , Et dans ces horreurs de la guerre go Le Français chante , boit & rit :
Bellone va réduire en cendres Les courtines de Philipsbourg , Par cinquante ...
Page 194
De ce salon je vois par la fenêtre , Dans des Jardins , des myrthes en berceaux ,
Je vois jaillir les bondislantes eaux . Mais du logis j'entens sortir le Maître . Un
char commode , avec graces orné , Par deux chevaux rapidement traîné , Paraît ...
De ce salon je vois par la fenêtre , Dans des Jardins , des myrthes en berceaux ,
Je vois jaillir les bondislantes eaux . Mais du logis j'entens sortir le Maître . Un
char commode , avec graces orné , Par deux chevaux rapidement traîné , Paraît ...
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Expressions et termes fréquents
aimable aime ainſi amour Arts aſſez avez avoit beauté beaux belle bonheur brillant C'eſt cæur cent chanter charmant cher chercher Ciel corps coup cours d'être Dieu Dieux digne dire divin donner doux éclairé enfin ennemis eſprit eſt étoit faible fans fera fils fond font force génie gloire goût graces Gréce Guerriers Héros heureux homme humains j'ai jour l'ame l'amour l'art l'autre l'eſprit l'homme LETTRE liberté libre loin Lorſque Louis Madame mains Maître Majeſté malheur mieux mille monde MONSIEUR mort n'en n'eſt nature nouvelle Ouvrage paix parler Pere peuple place plaiſirs porte premier Prince qu'un raiſon regards rendre rien Rois Rome s'il ſage ſang ſans ſçait ſein ſens ſes ſeul SIRE ſon ſont ſous ſuis ſur Temple tems tendre terre tête tour traits trouve vainqueur Venez vérité vertu vois voit voix vole vrai yeux
Fréquemment cités
Page 124 - Les plaisirs sont les fleurs que notre divin maître Dans les ronces du monde autour de nous fait naître. Chacune a sa saison, et par des soins prudents On peut en conserver pour l'hiver de nos ans.
Page 120 - Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête ; Ils vivent l'un par l'autre, ils triomphent du temps : Tandis que sous leur ombre on voit de vils serpents Se livrer, en sifflant, des guerres intestines, Et de leur sang impur arroser leurs racines».
Page 211 - dont la plume féconde Fit tant de vains projets pour le bien de ce monde, Et qui depuis trente ans écrit pour des ingrats, Vient de créer un mot qui manque à Vaugelas : Ce mot est bienfaisance : il me plaît; il rassemble, Si le cœur en est cru , bien des vertus ensemble.
Page 132 - Le fil de la raison te fait chercher l'enceinte. Montre l'homme à mes yeux : honteux de m'ignorer, Dans mon être , dans moi , je cherche à pénétrer.
Page 167 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge, De son âge a tout le malheur. Laissons à la belle jeunesse Ses folâtres...
Page 129 - C'est l'ennemi de l'homme, aux enfers il est né. Vous vous trompez, ingrats; c'est un don de Dieu même. Tout amour vient du ciel : Dieu nous chérit, il s'aime...
Page 193 - L'art plus heureux de séduire les cœurs, De cent plaisirs font un plaisir unique.
Page 70 - Throne , & la vérité règne. Cet or qu'on entaflait , ce pur fang des Etats , Qui leur donne la mort en ne circulant pas , Répandu par fes mains au gré de fa prudence, Va ranimer la vie, & porter l'abondance.
Page 122 - Ce pain , cet aliment dans mon corps digéré , Se transforme en un lait doucement préparé; Comment, toujours filtré dans ses routes certaines, En longs ruisseaux de pourpre il court enfler mes veines ^ A mon corps languissant rend un pouvoir nouveau , Fait palpiter mon cœur, et penser mon cerveau ? Il lève au ciel les yeux , il s'incline , il s'écrie : Demandez-le à ce Dieu qui nous donna la vie.
Page 196 - L'herbe est séchée, et la fleur se flétrit. Ainsi l'on voit en Angleterre, en France, Par cent canaux circuler l'abondance. Le goût du luxe entre dans tous les rangs : Le pauvre y vit des vanités des grands; Et le travail, gagé par la mollesse, S'ouvre à pas lents la route à la richesse.