Critique philosophique, politique, scientific, littéraire, Volume 4 ;Volumes 7 à 81875 |
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... religion ; aussi l'homme , par la religion , attribue - t - il à Dieu le sentiment . comme il lui attribue la raison ; de plus , il affirme , suivant la marche ordinaire de ses idées , que le sentiment en Dieu , de même que la science ...
... religion ; aussi l'homme , par la religion , attribue - t - il à Dieu le sentiment . comme il lui attribue la raison ; de plus , il affirme , suivant la marche ordinaire de ses idées , que le sentiment en Dieu , de même que la science ...
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... religion , et le troisième : Le théisme . Ils sont tous trois , et ce- lui de la Nature aussi bien que les deux autres , le fruit d'une seule et même préoccupation : l'idée qu'il faut se faire de la religion , soit en regard du problème ...
... religion , et le troisième : Le théisme . Ils sont tous trois , et ce- lui de la Nature aussi bien que les deux autres , le fruit d'une seule et même préoccupation : l'idée qu'il faut se faire de la religion , soit en regard du problème ...
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... religion et sur le théisme , ne peut manquer d'attirer à l'auteur la vive animadversion des gens d'Église ; mais nous devons dire qu'on y retrouve la donnée fondamentale de toute la critique de Mill , à l'endroit de la religion . Et la ...
... religion et sur le théisme , ne peut manquer d'attirer à l'auteur la vive animadversion des gens d'Église ; mais nous devons dire qu'on y retrouve la donnée fondamentale de toute la critique de Mill , à l'endroit de la religion . Et la ...
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... religion ( p . 409 ) : « Il n'y a qu'une forme de croyance surnaturelle , une scule idée sur l'origine du gouvernement de l'Univers , qui soit parfaitement purgée de contradiction , et qu'on ne puisse accuser d'immoralité . C'est celle ...
... religion ( p . 409 ) : « Il n'y a qu'une forme de croyance surnaturelle , une scule idée sur l'origine du gouvernement de l'Univers , qui soit parfaitement purgée de contradiction , et qu'on ne puisse accuser d'immoralité . C'est celle ...
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... religion de Zoroastre dans laquelle la lutte contre le Mal est aussi la définition suprême du divin et le mobile moral d'une al- liance entre l'homme et la divinité . Et il va bien sans le dire que tant de supersti- tions ou puériles ou ...
... religion de Zoroastre dans laquelle la lutte contre le Mal est aussi la définition suprême du divin et le mobile moral d'une al- liance entre l'homme et la divinité . Et il va bien sans le dire que tant de supersti- tions ou puériles ou ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 169 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 288 - J'ai dit que la crainte porterait les hommes à se fuir; mais les "marques d'une crainte réciproque les engageraient bientôt à s'approcher : d'ailleurs ils y seraient portés par le plaisir qu'un animal sent à l'approche d'un animal de son espèce. De plus, ce charme que les deux sexes s'inspirent par leur différence augmenterait ce plaisir ; et la prière naturelle qu'ils se font toujours l'un à l'autre serait une troisième loi.
Page 115 - Avant de connaître la liaison des effets physiques entre eux, il n'y eut rien de plus naturel que de supposer qu'ils étaient produits par des êtres intelligents, invisibles et semblables à nous; car à quoi auraient-ils ressemblé? Tout ce, qui arrivait, sans que les hommes y eussent part, eut son dieu...
Page 115 - Quand les philosophes eurent reconnu l'absurdité de ces fables, sans avoir acquis néanmoins de vraies lumières sur l'histoire naturelle, ils imaginèrent d'expliquer les causes des phénomènes par des expressions abstraites , comme essences et facultés, expressions qui cependant n'expliquaient rien, et dont on raisonnait comme si elles eussent été des êtres, de nouvelles divinités substituées aux anciennes. On suivit ces analogies et on multiplia les facultés pour rendre raison de chaque...
Page 299 - L'homme vivrait, marchant droit à la vision. Douter est sa puissance et sa punition. Il voit la rosé, et nie; il voit l'aurore, et doute; Où serait le mérite à retrouver sa route, Si l'homme, voyant clair, roi de sa volonté, Avait la certitude, ayant la liberté? Non. Il faut qu'il hésite en la vaste nature, Qu'il traverse du choix l'effrayante aventure, Et qu'il compare au vice agitant son miroir, Au crime, aux voluptés, l'œil en pleurs du devoir; II faut qu'il doute!
Page 37 - S'ils n'eussent été gelés aussitôt que tués, la putréfaction les aurait décomposés. Et d'un autre côté, cette gelée éternelle n'occupait pas auparavant les lieux où ils ont été saisis ; car ils n'auraient pas pu vivre sous une pareille température. C'est donc le même instant qui a fait périr les animaux, et qui a rendu glacial le pays qu'ils habitaient. Cet événement a été subit, instantané, sans aucune gradation...
Page 43 - L'infaillibilité dans l'ordre spirituel, et la souveraineté dans l'ordre temporel, sont deux mots parfaitement synonymes. L'un et l'autre expriment cette haute puissance qui les domine toutes, dont toutes les autres dérivent, qui gouverne et n'est pas gouvernée, qui juge et n'est pas jugée.
Page 298 - Toute faute qu'on fait est un cachot qu'on s'ouvre. Les mauvais, ignorant quel mystère les couvre, Les êtres de fureur, de sang, de trahison, Avec leurs actions bâtissent leur prison ; Tout bandit, quand la mort vient lui toucher l'épaule Et l'éveille, hagard, se retrouve en la geôle Que lui fit son forfait derrière lui rampant ; Tibère en un rocher, Séjan dans un serpent. L'homme marche sans voir ce qu'il fait dans l'abîme. L'assassin pâlirait s'il voyait sa victime ; C'est lui. L'oppresseur...
Page 45 - Dans l'ordre moral et dans l'ordre physique, les lois de la fermentation sont les mêmes. Elle naît du contact, et se proportionne aux masses fermentantes. Rassemblez des hommes rendus spiritueux par une passion quelconque, vous ne tarderez pas de voir la chaleur , puis l'exaltation , et bientôt le délire ; précisément comme dans le cercle matériel , la fermentation turbulente mène rapidement à V acide et celle-ci à la putride.
Page 115 - Tout ce qui arrivait sans que les hommes y eussent part eut son dieu, auquel la crainte ou l'espérance fit bientôt rendre un culte, et ce culte fut encore imaginé d'après les égards qu'on pouvait avoir pour les hommes...