The Classic French ReaderD. Appleton & Comopany, 1857 |
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Page 17
... seul . Un maître aussi puissant et aussi bon saura bien ce qui me convien⚫ . CHAPITRE III . Comment don Quichotte mit fin à l'épouvantable aventure des moulins à vent . DANS ce moment , don Quichotte aperçut trente ou qua- rante ...
... seul . Un maître aussi puissant et aussi bon saura bien ce qui me convien⚫ . CHAPITRE III . Comment don Quichotte mit fin à l'épouvantable aventure des moulins à vent . DANS ce moment , don Quichotte aperçut trente ou qua- rante ...
Page 18
... seul chevalier vous attaque . A l'instant même un peu de vent s'éleva , et les ailes se mirent à tourner . Oh ! vous avez beau faire , ajouta don Quichotte ; quand vous remueriez plus de bras que le géant Briarée , vous n'en serez pas ...
... seul chevalier vous attaque . A l'instant même un peu de vent s'éleva , et les ailes se mirent à tourner . Oh ! vous avez beau faire , ajouta don Quichotte ; quand vous remueriez plus de bras que le géant Briarée , vous n'en serez pas ...
Page 29
... seul dans sa chambre , en se disant : Comment se peut - il que mes actions soient déjà écrites et imprimées , tan- dis que mon épée fume encore du sang de ceux que j'ai vaincus ? Est - ce un ami , est - ce un ennemi , qui s'est hâté si ...
... seul dans sa chambre , en se disant : Comment se peut - il que mes actions soient déjà écrites et imprimées , tan- dis que mon épée fume encore du sang de ceux que j'ai vaincus ? Est - ce un ami , est - ce un ennemi , qui s'est hâté si ...
Page 30
... seul des coups que vous avez reçus dans cette circon- stance . - Voilà une faute de votre auteur , il n'était pas néces- saire d'aller parler de cela . Non , cela n'était point néces- saire , ajouta don Quichotte ; il est de petits ...
... seul des coups que vous avez reçus dans cette circon- stance . - Voilà une faute de votre auteur , il n'était pas néces- saire d'aller parler de cela . Non , cela n'était point néces- saire , ajouta don Quichotte ; il est de petits ...
Page 59
... seul à une table . Je n'avais pas encore mangé le premier morceau , que l'hôte entra , suivi d'un homme qui portait une longue rapière , et qui pouvait avoir trente ans . Ce cavalier s'ap- procha de moi d'un air empressé : " Seigneur ...
... seul à une table . Je n'avais pas encore mangé le premier morceau , que l'hôte entra , suivi d'un homme qui portait une longue rapière , et qui pouvait avoir trente ans . Ce cavalier s'ap- procha de moi d'un air empressé : " Seigneur ...
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The Classic French Reader: Or, Beauties of the French Writers, Ancient and ... M. de Fivas (Alain Auguste Victor) Affichage du livre entier - 1873 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 253 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 141 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 262 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient; Plus d'amour, partant 2 plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants , tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se. mettait aux fenêtres ; si j'étais aux Tuileries...
Page 142 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent : parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.
Page 237 - De sa puissance immortelle Tout parle, tout nous instruit ; Le jour au jour la révèle, La nuit l'annonce à la nuit.
Page 219 - ... dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie.
Page 217 - Le précieux far niente fut la première et la principale de ces jouissances que je voulus savourer dans toute sa douceur, et tout ce que je fis durant mon séjour ne fut en effet que l'occupation délicieuse et nécessaire d'un homme qui s'est dévoué à l'oisiveté.
Page 264 - Mais, le moment d'après, cette petite troupe fut entourée : le roi, qui était en bottes selon sa coutume, s'embarrassa dans ses éperons et tomba : vingt et un janissaires se jettent aussitôt sur lui; il jette...
Page 169 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.