The Classic French ReaderD. Appleton & Comopany, 1857 |
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Page 21
... veux pas qu'un grand dindon de comte ou de marquis à qui vous donnerez Sanchette puisse l'appeler paysanne , et lui reprocher son cotillon de serge . Non , mon mari , ce n'est pas pour cela que j'élevai ma fille : chargez - vous de la ...
... veux pas qu'un grand dindon de comte ou de marquis à qui vous donnerez Sanchette puisse l'appeler paysanne , et lui reprocher son cotillon de serge . Non , mon mari , ce n'est pas pour cela que j'élevai ma fille : chargez - vous de la ...
Page 22
... veux - tu pas donner Sanchette à quelqu'un dont les enfants seront appelés votre seigneurie ? Te sera - t - il donc si dur de t'entendre nommer dona Thérèse Pança ; de te voir assise à l'église sur de bons coussins de velours , en ...
... veux - tu pas donner Sanchette à quelqu'un dont les enfants seront appelés votre seigneurie ? Te sera - t - il donc si dur de t'entendre nommer dona Thérèse Pança ; de te voir assise à l'église sur de bons coussins de velours , en ...
Page 23
... veux dire . - Moi , je ne dis rien ; c'est ma femme qui m'assourdit les oreilles , en me criant que nous sommes tous mortels , qu'aujourd'hui l'on est debout , demain enterré ; que l'agneau y passe comme le mouton ; que cette camarde si ...
... veux dire . - Moi , je ne dis rien ; c'est ma femme qui m'assourdit les oreilles , en me criant que nous sommes tous mortels , qu'aujourd'hui l'on est debout , demain enterré ; que l'agneau y passe comme le mouton ; que cette camarde si ...
Page 39
... veux me mettre en colère quand il m'en prend envie . Le mat . de phil . Est - ce la physique que vous voulez ap- prendre ? M. Jour . Qu'est - ce qu'elle chante , cette physique ? Le mai . de phil . La physique est celle qui explique les ...
... veux me mettre en colère quand il m'en prend envie . Le mat . de phil . Est - ce la physique que vous voulez ap- prendre ? M. Jour . Qu'est - ce qu'elle chante , cette physique ? Le mai . de phil . La physique est celle qui explique les ...
Page 40
... veux de mal ! Le maî . de phil . Demain , nous verrons les autres lettres qui sont les consonnes . M. Jour . Est - ce qu'il y a des choses aussi curieuses que celles - ci ? Le maî . de phil . Sans doute , et je vous expliquerai à fond ...
... veux de mal ! Le maî . de phil . Demain , nous verrons les autres lettres qui sont les consonnes . M. Jour . Est - ce qu'il y a des choses aussi curieuses que celles - ci ? Le maî . de phil . Sans doute , et je vous expliquerai à fond ...
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The Classic French Reader: Or, Beauties of the French Writers, Ancient and ... M. de Fivas (Alain Auguste Victor) Affichage du livre entier - 1873 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 253 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 141 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 262 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient; Plus d'amour, partant 2 plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants , tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se. mettait aux fenêtres ; si j'étais aux Tuileries...
Page 142 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent : parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.
Page 237 - De sa puissance immortelle Tout parle, tout nous instruit ; Le jour au jour la révèle, La nuit l'annonce à la nuit.
Page 219 - ... dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie.
Page 217 - Le précieux far niente fut la première et la principale de ces jouissances que je voulus savourer dans toute sa douceur, et tout ce que je fis durant mon séjour ne fut en effet que l'occupation délicieuse et nécessaire d'un homme qui s'est dévoué à l'oisiveté.
Page 264 - Mais, le moment d'après, cette petite troupe fut entourée : le roi, qui était en bottes selon sa coutume, s'embarrassa dans ses éperons et tomba : vingt et un janissaires se jettent aussitôt sur lui; il jette...
Page 169 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.