Oeuvres, Volume 1Chez Benjamin Gibert, libraire, 1751 |
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Expressions et termes fréquents
A R GANTE Adieu affez affurer aime ainfi Amant ARIST auffi avez BARON c'eft C'eſt CELIMENE charmes CHEVALIER chofe Cléon confentement connois connoître CRISPIN crois DAMIS DAMO DAMON deffein déja difcours dire DORANTE efprit Epoux eſt êtes étoit fage fans fçais fçait fçaurai fçavez fçavoir fecret fens fentimens fera feroit fervir feul Fille fincére foins foit fon cœur fonge fouhaité fouvent FRONT FRONTIN fuis fujet GERONTE grace ISABELLE j'ai j'en JAVOTT jufte JULIE l'amour l'efprit L'EPIN L'OLIV laiffe LEANDRE Lifette LISETTE long-tems lorfque LYSIM m'aime m'en vais Made Maître Maîtreffe mariage MARIANNE MARQUIS Monfieur morbleu Mr DE BONACCUEIL n'eft n'eſt NERIN Nérine ORONT ORPHIS paffer parler paroître PASQUI PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir preffer Puifque PULCHERIE PYRAN PYRANT raifon RICHE SOURCE rien s'il vous plaît SCENE VII Sœur ſon SOPHIE tems tendreffe VALER VALERE veux voilà vois vrai
Fréquemment cités
Page xv - L'auteur de notre pièce, en tout ce qu'il écrit, Évite des auteurs les écarts ordinaires ; II a pour objet principal De prêcher la vertu , de décrier le vice ; Ou...
Page 478 - II vous sied bien , madame, de me faire des reproches, après avoir fait tout ce qu'il falloit pour me brouiller avec mon père! Si mon absence vous avoit causé de l'inquiétuds, il falloit vous expliquer avec moi.
Page 481 - PASQUIN, à la comtesse. Voulez-vous que je vous donne un moyen de vous venger de lui ? LA COMTESSE. Tu me feras plaisir, car je suis outrée.
Page 490 - Ne vous prenez qu'à vous-même de la démarche hardie que je viens de faire. Vous n'avez jamais voulu me marier. J'ai pris une femme sans votre aveu. Mon oncle et tous mes parents me l'ont conseillé, et c'est en leur présence que j'épousai Julie il ya huit jours.
Page 474 - Rufl'ardière en arrive ; elle ya demeuré pendant quinze jours, et elle vient de me dire que mon fils n'y avoit point paru. PASQUIN. Elle n'oseroit soutenir cela devant moi. ORONTE. C'est ce qu'il faut voir; elle est encore ici. PASQUIN. Oh ! puisqu'elle est encore ici , je n'ai rien à dire.
Page 445 - J'ai un fils plus grand que moi : quelle mortification pour un père qui n'est pas dans le goût de renoncer au monde ! J'ai une fille aimable et bien faite ; elle ne veut point se faire religieuse : il faut donc la marier : la fâcheuse nécessité pour un père qui aime son bien plus que sa fille ! Quel parti dois-je prendre?
Page 463 - ORONTE. Non, mon enfant; vous ferez mieux d'aller dormir, en attendant que la compagnie soit venue.
Page 479 - N'ai-je pas lieu d'y prétendre? PASQUIN. Il ya du pour et du contre dans cette affairelà. Il connoît vos sentiments pour lui. Il en est pénétré de reconnoissance. Avec cela, madame, je gage cent louis contre vous qu'il ne pourra jamais vous aimer. LA COMTESSE. Il ne pourra jamais m'aimer, monsieur le coquin '. Je ne sais qui me tient que je ne t'arrache...