LIII. SUR LES AMANTS. Les flancs du généreux coursier Portent, en traits de feu, le signe de son maître; A la tiare on peut connaître Des Parthes le vaillant guerrier. D'un amant, qui s'offre à ma vue, J'entrevois la secrète ardeur; Il est une marque inconnue Qui soudain me trahit son cœur. ΝΔ'. ΕΙΣ ΤΟ ΓΗΡΑΣ. ΠΟΛΙΟΙ μὲν ἡμῖν ἤδη Γλυκεροῦ δ ̓ οὐκ ἔτι πολλὲς Αίδεω γάρ ἐςι δεινὸς Μυχὸς, ἀργαλέη δ' ἐς αὐτὸν Κάθοδος· καὶ γὰρ ἕτοιμον Καταβάντι μὴ να βῆναι LIV. SUR LA VIEILLESSE. MES cheveux sont blanchis par l'âge, Le bonheur va finir pour moi.... Tient toujours mon âme oppressée! Pour la sombre et triste demeure NE'. ΔΕΙ ΠΙΝΕΙΝ ΜΕΤΡΗΙΩΣ. ΑΓΕ δὴ, φέρ' ἡμῖν, ὦ παῖ, Προπίω, τὰ μὲν δέκ' ἐγχέας Κυάθους, ὡς ἀνυβριςί Αδεῶς τε βασσαρήσω. Αγε δεῦτε, μηκέθ ̓ οὕτω LV. IL FAUT BOIRE AVEC SAGESSE. ESCLAVE, une coupe profonde! Versez donc, mais avec sagesse. |