d'une grandeur extraordinaire pour la comédie, souper pour le et pour le bal, soit que l'on considère les divers ornements dont on les a embellis, le nombre des lumières dont on les a éclairés, la quantité d'eau qu'il a fallu conduire, et la distribution qui en a été faite, la somptuosité des repas, où l'on a vu une quantité de toutes sortes de viandes qui n'est pas concevable, et enfin toutes les choses nécessaires à la magnificence de ces spectacles et à la conduite de tant de différents ouvriers, on avouera qu'il ne s'est jamais rien fait de plus surprenant, et qui ait causé plus d'admiration. FIN DU TOME CINQUIÈME. TABLE DES PIÈCES CONTENUES DANS CE VOLUME. Réflexions sur M. de Pourccaugnac. Réflexions sur les Amants magnifiques. |