Collection des meilleurs dissertations: notices et traités particuliers relatifs à l'histoire de France, composée, en grande partie, de pièces rares, ou qui n'ont jamais été pub. séparément; pour servir à compléter toutes les collections de mémoires sur cette matière, Volume 3G.-A. Dentu, 1838 |
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... peuple du monde , et c'est de celui - ci que nos pères avaient pris tous ces usages : Ad populum phaleras . Ce qu'il y a ici de particulier , c'est que dom Martin assure , pp . 47 , 49 , 50 et 123 , que les Gaulois ont reçu leur ...
... peuple du monde , et c'est de celui - ci que nos pères avaient pris tous ces usages : Ad populum phaleras . Ce qu'il y a ici de particulier , c'est que dom Martin assure , pp . 47 , 49 , 50 et 123 , que les Gaulois ont reçu leur ...
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... peuple de Dieu ne reçut qu'après sa sortie d'Egypte , c'est - à - dire plus de sept cents ans après la dispersion des des- cendans de Noé , lorsque ceux de la race de Japhet ne par- laient pas plus la langue du peuple de Dieu sorti d ...
... peuple de Dieu ne reçut qu'après sa sortie d'Egypte , c'est - à - dire plus de sept cents ans après la dispersion des des- cendans de Noé , lorsque ceux de la race de Japhet ne par- laient pas plus la langue du peuple de Dieu sorti d ...
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... peuples , était fortifiée par le nom- bre prodigieux de prêtres qui travaillaient sous ses ordres . La multiplication des familles des druides formait , pour ainsi dire , un peuple qui commandait à un autre ; tous les jours de nouveaux ...
... peuples , était fortifiée par le nom- bre prodigieux de prêtres qui travaillaient sous ses ordres . La multiplication des familles des druides formait , pour ainsi dire , un peuple qui commandait à un autre ; tous les jours de nouveaux ...
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... peuple était persuadé que la puissance et le bonheur de l'Etat dépendaient du grand nom- bre de druides , et de l'honneur qu'on leur rendait ; tel était le respect qu'on avait pour leurs jugemens , qui étaient toujours sans appel . Une ...
... peuple était persuadé que la puissance et le bonheur de l'Etat dépendaient du grand nom- bre de druides , et de l'honneur qu'on leur rendait ; tel était le respect qu'on avait pour leurs jugemens , qui étaient toujours sans appel . Une ...
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... peuple , de donner la fécondité aux femmes stériles et aux animaux qui en prendraient , et de le rendre un remède efficace et puissant contre toute sorte de poi- son ( 1 ) . ( 1 ) Est autem ( viscum ' ) rarum admodum inventu , et ...
... peuple , de donner la fécondité aux femmes stériles et aux animaux qui en prendraient , et de le rendre un remède efficace et puissant contre toute sorte de poi- son ( 1 ) . ( 1 ) Est autem ( viscum ' ) rarum admodum inventu , et ...
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Expressions et termes fréquents
abbayes abolir anciens annates apostoliques apôtres archevêque assemblée autorité avaient bénéfices Besançon bulle Cæsar canons cardinal chancelier choses chrétiens Clément Clément VII clergé comte concile de Bâle concordat consentement cour de Rome culte déclaration décrets défendit Dieu dieux dimanche diocèse divin doctrine dom Liron donna druides ecclesiæ ecclésiastique Edit églises élections envoyé établi évê évêchés évêques fêtes François Ier gallicane Gaules Gaulois Grecs Grégoire de Tours hérétiques Hist hommes Jésus-Christ jour juges Juifs juridiction justice l'an l'autorité l'Eglise gallicane l'évêque l'inquisition laïcs Léon X lettres libertés de l'Eglise lois long-temps Louis XI ment monastère mort nation nomination nommé ordonnance pape Parlement personnes peuple pragmatique prélats premier siècle prêtres prince priviléges provinces puissance quæ reçu religieux religion remontrances rent rois Romains royaume sacrifices saint Martial saint Paul saint Pierre saint Siége saint Trophime Saint-Riquier schisme séculiers seigneur serait seulement sorte souverain successeur Sulpice Sévère temporelle tion
Fréquemment cités
Page 284 - Louis, par la grâce de Dieu , roi de France et de Navarre, à tous présens et à venir, salut.
Page 287 - Car tel est notre plaisir et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces présentes.
Page 82 - Dieu, et qu'ils tâchassent de le trouver comme avec la main et à tâtons ; quoiqu'il ne soit pas loin de chacun de nous, car c'est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être; et, comme quelques-uns de vos poetes ont dit, nous sommes même les enfauts et la race de Dieu.
Page 285 - ... par notre présent édit perpétuel et irrévocable avons dit, statué et ordonné, disons, statuons et ordonnons, voulons et nous plaît que...
Page 205 - Fleury, servait de prétexte aux gens obérés pour ne point payer leurs dettes; aux malfaiteurs, pour éviter la punition de leurs crimes ; aux ecclésiastiques indisciplinés, pour secouer le joug de leur état; aux moines indociles, pour quitter leurs cloîtres; aux femmes perdues, pour continuer plus librement leurs désordres.
Page 286 - ... desdites soumissions, signées par les greffiers desdites facultés. 3. Que , dans tous les collèges et maisons desdites universités où il y aura plusieurs professeurs, soit qu'ils soient séculiers ou réguliers, l'un d'eux sera chargé, tous les ans, d'enseigner la doctrine contenue en ladite déclaration ; et , dans les collèges où il n'y aura qu'un seul professeur, il sera obligé de l'enseigner l'une des trois années consécutives. 4.
Page 287 - ... en théologie qu'en droit canon, ni être reçu docteur qu'après avoir soutenu ladite doctrine dans l'une de ses thèses, dont il fera apparoir à ceux qui ont droit de conférer ces degrés dans les universités.
Page 286 - Voulons qu'aucun bachelier, soit séculier ou régulier, ne puisse être dorénavant licencié tant en théologie qu'en droit canon, ni être reçu docteur qu'après avoir soutenu ladite doctrine dans...
Page 284 - Paris, nous ont présentée, contenant leurs sentimens touchant la puissance ecclésiastique; et nous avons d'autant plus volontiers écouté la supplication que lesdits députés nous ont faite, de faire publier cette déclaration dans notre royaume , qu'étant faite par une assemblée composée de tant de personnes également recommandables...
Page 287 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux les gens tenant nos cours de parlement, que ces présentes nos lettres, en forme d'édit, ensemble ladite déclaration du clergé, ils fassent lire, publier et enregistrer aux greffes de nosdites cours, et des bailliages, sénéchaussées et universités de leurs ressorts, chacun en droit soi, et aient à tenir la main à leur observation, sans souffrir qu'il y soit contrevenu directement...