Œuvres complètes, Volume 9 |
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Page 29
... charmant , qui jamais ne reposes , Vous invitiez les mains à vous presser , L'œil à vous voir , la bouche à vous baiser . Pour mes lecteurs tout plein de complaisance , J'allais montrer à leurs yeux ébaudis De ce beau corps les contours ...
... charmant , qui jamais ne reposes , Vous invitiez les mains à vous presser , L'œil à vous voir , la bouche à vous baiser . Pour mes lecteurs tout plein de complaisance , J'allais montrer à leurs yeux ébaudis De ce beau corps les contours ...
Page 38
... charmant de joie et de tendresse . Leur boutonnet est de couleur de rose . Téton charmant ! qui jamais ne repose ... ( R. ) L'œil à vous voir , la bouche à vous sucer . ( R. ) 1. J'ai aussi vainement cherché , dans les éditions ...
... charmant de joie et de tendresse . Leur boutonnet est de couleur de rose . Téton charmant ! qui jamais ne repose ... ( R. ) L'œil à vous voir , la bouche à vous sucer . ( R. ) 1. J'ai aussi vainement cherché , dans les éditions ...
Page 49
... charmant pour son âge , Lequel montrait deux globes faits au tour , Qu'on aurait pris pour ceux du tendre Amour . Non loin du page était une écritoire Dont se servait le jeune homme après boire , Quand tendrement quelques vers il ...
... charmant pour son âge , Lequel montrait deux globes faits au tour , Qu'on aurait pris pour ceux du tendre Amour . Non loin du page était une écritoire Dont se servait le jeune homme après boire , Quand tendrement quelques vers il ...
Page 53
... charmant péché , Qu'il courut vite à son ouaille chère , A sa pucelle , à sa fille guerrière . Il a repris son air de bienheureux , Son ton dévot , ses plats et courts cheveux , 1. Étendard apporté par un ange dans l'abbaye de Saint ...
... charmant péché , Qu'il courut vite à son ouaille chère , A sa pucelle , à sa fille guerrière . Il a repris son air de bienheureux , Son ton dévot , ses plats et courts cheveux , 1. Étendard apporté par un ange dans l'abbaye de Saint ...
Page 84
... charmant ; eh quoi ? celui de plaire . Dieu , pour punir cet effréné paillard , Le fit plus laid que Samuel Bernard ; Jamais ses yeux ne firent de conquêtes ; C'est vainement qu'il prodiguait les fêtes , Les longs repas , les danses ...
... charmant ; eh quoi ? celui de plaire . Dieu , pour punir cet effréné paillard , Le fit plus laid que Samuel Bernard ; Jamais ses yeux ne firent de conquêtes ; C'est vainement qu'il prodiguait les fêtes , Les longs repas , les danses ...
Expressions et termes fréquents
affreux Agnès Sorel aime amant âme amour âne Anglais auteur bâtard beau beau Robert beauté belle Agnès bonheur Bonifoux Bonneau bras Brognon C'était Cantique des cantiques cantiques cent Charles charmant cher chevalier ciel cieux cœur combats Conculix confesseur Corisandre Covelle crie d'Argental dévot diable Dieu discours dit-il divin Dorothée doux Dunois éditeurs Édition de 1756 esprit fière fille Genève guerre hélas héros heureux homme humains imprimé j'ai jamais Jean Chandos Jeanne Jeanne d'Arc jour Kehl l'amour l'âne l'auteur l'édition l'homme lettre Lisbonne Louis Louis XIV main maître maîtresse malheureux manuscrit monde Monrose mort mortels noble Note de Voltaire Orléans parle philosophe plaisir plaisirs pleurs poëme porte premières éditions prince Pucelle qu'un raison rien rois sage saint Denis savait secret sentiments seul Talbot tendre terre tête Thieriot Tirconel tremblante Trimouille triste VARIANTES DU CHANT vertu voit voix Voyez yeux
Fréquemment cités
Page 398 - Je ne conclus donc pas, orateur dangereux, Qu'il faut lâcher la bride aux passions humaines : De ce coursier fougueux je veux tenir les rênes ; Je veux que ce torrent, par un heureux secours, Sans inonder mes champs, les abreuve en son cours : Vents, épurez les airs, et soufflez sans tempêtes ; Soleil, sans nous brûler, marche et luis sur nos têtes.
Page 349 - Tu veux donc, belle Uranie, Qu'érigé par ton ordre en Lucrèce nouveau, Devant toi, d'une main hardie, Aux superstitions j'arrache le bandeau; Que j'expose à tes yeux le dangereux tableau Des mensonges sacrés dont la terre est remplie, Et que ma philosophie T'apprenne à mépriser les horreurs du tombeau Et les terreurs de l'autre vie.
Page 463 - L'homme, étranger à soi, de l'homme est ignoré. Que suis-je, où suis-je, où vais-je, et d'où suis-je tiré ? Atomes tourmentés sur cet amas de boue, Que la mort engloutit, et dont le sort se joue, Mais atomes pensants, atomes dont les yeux, Guidés par la pensée, ont mesuré les cieux ; Au sein de l'infini nous élançons notre être, Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître.
Page 442 - A la religion discrètement fidèle , Sois doux, compatissant, sage, indulgent comme elle ; Et sans noyer autrui songe à gagner le port : La clémence a raison , et la colère a tort. Dans nos jours passagers de peines, de misères, Enfants du même Dieu , vivons du moins en frères ; Aidons-nous l'un et l'autre à porter nos fardeaux...
Page 36 - Sous un monarque entre deux draps plaça. Sa vive allure est un vrai port de reine, Ses yeux fripons s'arment de majesté, Sa voix a pris le ton de souveraine, Et sur son rang son esprit s'est monté...
Page 464 - Tout est bien aujourd'hui, voilà l'illusion. Les sages me trompaient, et Dieu seul a raison. Humble dans mes soupirs, soumis dans ma souffrance, Je ne m'élève point contre la Providence.
Page 405 - Mais malheur à l'auteur qui veut toujours instruire ! Le secret d'ennuyer est celui de tout dire. C'est ainsi que ma muse avec simplicité Sur des tons différents chantait la vérité , Lorsque, de la nature éclaircissant les voiles, Nos Français à Quito cherchaient d'autres étoiles; Que Clairaut, Maupertuis , entourés de glaçons . D'un secteur à lunette étonnaient les Lapons , Tandis que , d'une main stérilement vantée...
Page 387 - Réaumur, dont la main si savante et si sûre A percé tant de fois la nuit de la nature, M'apprendra-t-il jamais par quels subtils ressorts...
Page 389 - Vous avez confirmé , dans ces lieux pleins d'ennui , Ce que Newton connut sans sortir de chez lui. Vous avez arpenté quelque faible partie Des flancs toujours glacés de la terre aplatie.
Page 500 - On hait le bal , on hait la comédie. Du grand Rameau l'on ignore les airs : Pour tout plaisir Genève psalmodie Du bon David les antiques concerts , Croyant que Dieu se plaît aux mauvais vers : * Des prédicans la morne et dure espèce Sur tous les fronts a gravé la tristesse.