Les arènes de Vesontio et le square archéologique du Canton Nord de Besançon

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Dodivers et Cie, 1886 - 38 pages
 

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Page 14 - Cette partie des anciens abords de la ville ayant été annexée par Vauban au nouveau corps de place, un fossé vaste et profond fit vraisemblablement disparaître tout ce qui pouvait rester de l'arène et des gradins qui l'enveloppaient. Lors du creusage de ce fossé, en 1678, « on vit », dit un témoin oculaire (2), « comme sortir du sein même du rocher cinq ou six arcades du premier ordre de notre Amphithéâtre : les piliers en paroissoient encore à la hauteur de quatre à cinq pieds :...
Page 8 - Le Capitale de Vesontio et les Capitales provinciaux du monde romain, dans les Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, 1868 j pp.
Page 29 - ... large de 2m 20, divisée en quatre compartiments égaux, renfermant chacun, sous un arceau gothique, une figure de face, en buste, les mains dressées l'une contre l'autre. Les deux compartiments du centre sont occupés par des portraits d'hommes qui ont la tête nue et portent un double vêtement, dont celui de dessus a des manches traînantes. Les compartiments extrêmes renferment des figures féminines voilées. Chacun des portraits est encadré par une marge destinée à recevoir l'épitaphe....
Page 29 - ... oblongue et divisée en quatre compartiments égaux, dont chacun renferme un portrait à mi-corps : deux hommes sont au centre et leurs femmes les accostent. Ces gens, qui sont morts entre les années 1343 et 1368, appartenaient à une famille nommée Le Chien (lou Chîn, disait-on chez nous), famille qui avait fourni des prud'hommes au corps municipal de Besançon dès les premiers temps de l'organisation régulière de la commune. Tout l'intérieur de la chapelle était peint à fresque. Sur...
Page 4 - ... perte d'un homme qui a été si dévoué pour notre commune patrie, qui a si grandement contribué à la faire respecter et à la faire aimer? Au début d'un de ses nombreux mémoires, M. Castan écrit que notre patrie locale obtient la plénitude de nos tendresses: « car nous reconnaissons en elle l'aïeule qui a bercé notre enfance et nous a mis en mémoire ces souvenirs inoubliables dont les racines plongent dans le sol natal en passant à travers nos cœurs. » Ces quelques lignes expliquent...
Page 28 - J'ai dû les éléments de cette note à l'affectueuse obligeance de M. Alfred VAISSIER. (1) Voici la description sommaire des deux dalles gravées qui vont orner le fond de la petite chapelle de Saint-Jacques : 1° Sous une double arcature gothique, deux femmes debout, vêtues de longues robes, voilées, les mains dressées l'une contre l'autre et tenant de grands chapelets. Au dessus de la tête d'une des femmes est le mot BIENVENUE ; au dessus de la tête de l'autre est l'image d'un poisson. L'épitaphe...
Page 3 - Ainsi, ajoutait-il, nous regardons comme notre patrie, et le lieu qui nous a vus naître et celui qui nous a adoptés ; mais celle-là a des droits plus puissants à notre affection, qui, sous le nom de république, forme la grande patrie : c'est pour cette patrie que nous devons mourir, à elle que nous devons entièrement nous dévouer, et faire en quelque sorte l'hommage et le sacrifice de tout ce que nous sommes. Mais la patrie qui nous a donné le jour n'en reste pas moins presque aussi chère...
Page 24 - Vaissier permettra ce rapprochement qui rend évidente l'origine romaine de l'objet (1). la hauteur de l'estampille. Nos épreuves de cette marque étant mauvaises, nous ne saurions garantir absolument la lecture que voici : CELAR Une traverse mise au sommet de l'A indique un T à suppléer, avant ou après la lettre ainsi géminée. Si l'on place le T avant l'A, la marque se lira CELTAR. Si...
Page 29 - a 07 et large de 2m 20, divisée en quatre compartiments égaux, renfermant chacun, sous un arceau gothique, une figure de face, en buste, les mains dressées l'une contre l'autre. Les deux compartiments du centre sont occupés par des portraits d'hommes qui ont la tête nue et portent un double vêtement, dont celui de dessus a des manches traînantes. Les compartiments extrêmes renferment des figures féminines voilées.
Page 25 - Un peu en arrière des couvreoreilles, deux petits tubes, verticalement agraffés, se faisaient pendant. Je supposerais volontiers que les trois tubes et les deux annelets qui viennent d'être mentionnés servaient à passer des cordons pour suspendre le casque sur la poitrine du soldat, près de l'épaule gauche, quand les troupes étaient en marche : cette habitude est accusée par les bas-reliefs de la colonne Trajane.

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