Description générale de la Chine, contenant, 10. la description topographique des quinze provinces qui forment cet empire, celle de la Tartarie, des isles, & autres pays tributaires ... les productions variées de son sol, & les principaus détails de son histoire naturelle: 20. un précis des connoissances ... sur le gouvernement, la religion, les mours & les usages, les arts & les sciences des Chinois. Par M. l'abbé Grosier ...Moutard, 1787 |
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... Lettrés , & un plus grand nombre d'afpirans à ce titre . La morale y eft en vigueur ; elle est la source où prefque ... Lettres . de Lettres 6 DESCRIPTION GÉNÉRALE.
... Lettrés , & un plus grand nombre d'afpirans à ce titre . La morale y eft en vigueur ; elle est la source où prefque ... Lettres . de Lettres 6 DESCRIPTION GÉNÉRALE.
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... lettrés que l'administra- tion totale de la Chine est confiée . C'est parmi eux qu'on choifit les Gou- verneurs des ... Lettres . tions , les prérogatives ne font guere que Mandarins pour DE LA CHINE . 9.
... lettrés que l'administra- tion totale de la Chine est confiée . C'est parmi eux qu'on choifit les Gou- verneurs des ... Lettres . tions , les prérogatives ne font guere que Mandarins pour DE LA CHINE . 9.
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... lettrés ne nuit pas même aux hommages qu'ils exigent . Leur nombre n'eft guere au deffous de quatorze mille , & la vénération que le peuple a pour eux est toujours la même . CHAPITRE III . Mandarins d'armes . ES honneurs publics font ...
... lettrés ne nuit pas même aux hommages qu'ils exigent . Leur nombre n'eft guere au deffous de quatorze mille , & la vénération que le peuple a pour eux est toujours la même . CHAPITRE III . Mandarins d'armes . ES honneurs publics font ...
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Jean Baptiste Gabriel Alexandre Grosier. d'armes . lettrés qu'appartient l'infpection des trou- pes . Cependant , pour être admis dans la Mandarins claffe des Mandarins de guerre , il faut avoir , comme ceux de Lettres , franchi trois ...
Jean Baptiste Gabriel Alexandre Grosier. d'armes . lettrés qu'appartient l'infpection des trou- pes . Cependant , pour être admis dans la Mandarins claffe des Mandarins de guerre , il faut avoir , comme ceux de Lettres , franchi trois ...
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... lettrés ; mais la confidération dont ces derniers jouiffent , les fait regarder comme le premier Corps de l'Etat . En- couragement pour les Lettres ; décou- ragement pour les armes . Leur foibleffe valut aux Tartares la conquête de la ...
... lettrés ; mais la confidération dont ces derniers jouiffent , les fait regarder comme le premier Corps de l'Etat . En- couragement pour les Lettres ; décou- ragement pour les armes . Leur foibleffe valut aux Tartares la conquête de la ...
Expressions et termes fréquents
Adminif affez Aftronomie ainfi anciens auffi auffi-tôt avoient avoit bafe Bonzes c'eft c'eſt ceffe cérémonie chaife Chang-ti charlata Chine Chinois Chinoiſe chofe cienne claffe compofé conferve conftruits Confucius connoître deffin différens diftingue dynaſtie efpece Empereurs enfans enfuite eſt étoient étoit Euro facrifices famille fans fatin fe font fe trouve fecond felon femble fens fent feroit fert fervir feul fiecles fignifie fimple foient foin foit foleil fon pere fourneau fous fouvent fuivi fujets fupérieurs fur-tout hommes jour jufqu'à jufqu'au l'Em l'Empereur l'Empire l'ufage laiffer ligion litaire Loix lorfqu'il lorfque maifon Mandarins maniere Médecins Chinois ment Miffionnaires mufique n'eft n'eſt néceffaire nifme nois nombre paffe parens paroît particulieres Pe-king pereur perfonnes peuple piété filiale plufieurs Poéfie pofe poftures porcelaine préfent prefque premiere Prince Princes titrés Province refpect refte s'eft Secte ſes Soieries Souverain Synagogue Tao-ffé Tartares térieure tion tration Tribunal ufage vifite دو
Fréquemment cités
Page 14 - Chinoifes : rien de mieux vêtu , de mieux payé , ajoutons même de mieux armé , relativement à leur manière de combattre. Du refte, on y remarque bien moins de difcipline que dans les troupes modernes de l'Europe , &: , fans contredit , moins de courage. Elles ont eu d'ailleurs peu d'occafions de l'exercer de.puis la dernière invafion des Tartares. Ceux-ci , comme le le remarque le P. Duhalde , ne font plus ce qu'ils étoient •••••••''••*• d'abord. L'éducation nationale...
Page 226 - ... épris , que fon imagination échauffée , écartant toute idée de péril , ne lui montra que la facilité qu'il y avoit à enlever une fille foible &: mal accompagnée.
Page 180 - Se qui commençoient à germer : z". qu'à la cinquième lune, dans laquelle fe rencontroit le folftice d'été, le Souverain fe rendroit à la montagne du midi, pour y faire les mêmes cérémonies , afin de demander au Ciel qu'une chaleur bénigne fe répandît dans les entrailles de la terre , pour l'aider à développer tout ce qu'elle a de vertu : 3°. qu'à la huitième lune, dans laquelle fe...
Page 168 - II n'a point eu de commencement, il n'aura point de fin : il a produit toutes choses dès le commencement; c'est lui qui les gouverne et qui en est le véritable Seigneur...
Page 442 - Là on les pétrit ôc on les roule en tous les fens , obfervant foignewfement qu'il ne s'y trouve aucun vuide , ou qu'il ne s'y mêle aucun corps. étranger. Un cheveu , un grain de fable perdroit tout l'ouvrage. Faute de bien façonner cette maffe , la porcelaine fe fêle, éclate, coule & fe déjette.
Page 180 - ... de l'homme : 4°. enfin, qu'à la douzième lune, après le folftice d'hiver, on offriroit fur la montagne du nord, pour remercier le Ciel de tous les bienfaits reçus dans le courant de l'année , ôc en demander de nouveaux pour celle qu'on alloit commencer.
Page 97 - Ce n'eft pas par l'efcalier du milieu , c'eft par celui de l'orient que l'Empereur monte fur la plate-fma qui eft devant la falle du trône de l'Impératrice. Dès qu'il eft arrivé dans la galerie couverte qui en fait la façade , un Mandarin du Li-pou fe met...
Page 77 - On n'est pas toujours en droit d'opposer la valeur numérique d'un nombre de petites pièces de cuivre à une seule pièce d'argent , en cas d'échange. Tantôt une once d'argent, balance de l'empire , équivaut à mille gros deniers, tantôt elle n'équivaut qu'à huit cents.
Page 80 - Or le luxe, qui est l'abondance du superflu chez certains citoyens, suppose le manque du nécessaire chez beaucoup d'autres. Plus les riches mettent de chevaux à leurs chars, plus il ya de gens qui vont à pied ; plus leurs maisons sont vastes et magnifiques, plus celles des pauvres sont petites et misérables ; plus leurs tables se couvrent de mets, plus il ya de gens qui se trouvent réduits uniquement à leur riz.
Page 170 - Peut-être aufli viennent-elles de ce que les principaux Officiers de la Province fur laquelle tombent ces malheurs , ne cherchent pas le bien public , & ne prennent pas la juftice pour regle de leur conduite. Ne viennent- elles pas auffi, ces calamités, Chine.