Description générale de la Chine, contenant, 10. la description topographique des quinze provinces qui forment cet empire, celle de la Tartarie, des isles, & autres pays tributaires ... les productions variées de son sol, & les principaus détails de son histoire naturelle: 20. un précis des connoissances ... sur le gouvernement, la religion, les mours & les usages, les arts & les sciences des Chinois. Par M. l'abbé Grosier ...Moutard, 1787 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 65
Page 2
... foin prodigieux dans un Empire auffi étendu , auffi peuplé ; mais foin néceffaire , pour obliger les Tribunaux à se surveiller eux- mêmes . Rarement ceux de la Chine s'ex- pofent à prononcer légérement fur des objets auffi graves . Les ...
... foin prodigieux dans un Empire auffi étendu , auffi peuplé ; mais foin néceffaire , pour obliger les Tribunaux à se surveiller eux- mêmes . Rarement ceux de la Chine s'ex- pofent à prononcer légérement fur des objets auffi graves . Les ...
Page 19
... tous les voifins de la Chine . moyens Quant aux frontieres de ce vaste Em- pire , la Nature elle - même a pris foin de les fortifier dans leur plus grande Forces mi- litaires de étendue . La mer borde fix Bij DE LA CHINE . 19.
... tous les voifins de la Chine . moyens Quant aux frontieres de ce vaste Em- pire , la Nature elle - même a pris foin de les fortifier dans leur plus grande Forces mi- litaires de étendue . La mer borde fix Bij DE LA CHINE . 19.
Page 33
... foin les devoirs que pref crivent la piété filiale , & la déférence que le cadet doit à fon frere aîné . C'est le feul moyen de favoir apprécier les obligations effentielles que la Nature im- pofe à tous les hommes . ART . II . On ...
... foin les devoirs que pref crivent la piété filiale , & la déférence que le cadet doit à fon frere aîné . C'est le feul moyen de favoir apprécier les obligations effentielles que la Nature im- pofe à tous les hommes . ART . II . On ...
Page 34
... foin les Ecoles publiques , & fur - tout qu'on y forme les jeunes étudians aux bonnes mœurs . ART . VII . Que chacun s'applique aux devoirs , aux feules fonctions de fon état ; elles en feront mieux exercées . ART . VIII . Qu'on extirpe ...
... foin les Ecoles publiques , & fur - tout qu'on y forme les jeunes étudians aux bonnes mœurs . ART . VII . Que chacun s'applique aux devoirs , aux feules fonctions de fon état ; elles en feront mieux exercées . ART . VIII . Qu'on extirpe ...
Page 50
... foins qu'on leur donne , qui fait venir les Médecins & fournit les remedes aux dépens de l'Empereur . Si l'un de ces malades meurt , le Prince en doit être inftruit , & fouvent il or- donne aux Mandarins fupérieurs d'exa- miner fi le ...
... foins qu'on leur donne , qui fait venir les Médecins & fournit les remedes aux dépens de l'Empereur . Si l'un de ces malades meurt , le Prince en doit être inftruit , & fouvent il or- donne aux Mandarins fupérieurs d'exa- miner fi le ...
Expressions et termes fréquents
Adminif affez Aftronomie ainfi anciens auffi auffi-tôt avoient avoit bafe Bonzes c'eft c'eſt ceffe cérémonie chaife Chang-ti charlata Chine Chinois Chinoiſe chofe cienne claffe compofé conferve conftruits Confucius connoître deffin différens diftingue dynaſtie efpece Empereurs enfans enfuite eſt étoient étoit Euro facrifices famille fans fatin fe font fe trouve fecond felon femble fens fent feroit fert fervir feul fiecles fignifie fimple foient foin foit foleil fon pere fourneau fous fouvent fuivi fujets fupérieurs fur-tout hommes jour jufqu'à jufqu'au l'Em l'Empereur l'Empire l'ufage laiffer ligion litaire Loix lorfqu'il lorfque maifon Mandarins maniere Médecins Chinois ment Miffionnaires mufique n'eft n'eſt néceffaire nifme nois nombre paffe parens paroît particulieres Pe-king pereur perfonnes peuple piété filiale plufieurs Poéfie pofe poftures porcelaine préfent prefque premiere Prince Princes titrés Province refpect refte s'eft Secte ſes Soieries Souverain Synagogue Tao-ffé Tartares térieure tion tration Tribunal ufage vifite دو
Fréquemment cités
Page 14 - Chinoifes : rien de mieux vêtu , de mieux payé , ajoutons même de mieux armé , relativement à leur manière de combattre. Du refte, on y remarque bien moins de difcipline que dans les troupes modernes de l'Europe , &: , fans contredit , moins de courage. Elles ont eu d'ailleurs peu d'occafions de l'exercer de.puis la dernière invafion des Tartares. Ceux-ci , comme le le remarque le P. Duhalde , ne font plus ce qu'ils étoient •••••••''••*• d'abord. L'éducation nationale...
Page 226 - ... épris , que fon imagination échauffée , écartant toute idée de péril , ne lui montra que la facilité qu'il y avoit à enlever une fille foible &: mal accompagnée.
Page 180 - Se qui commençoient à germer : z". qu'à la cinquième lune, dans laquelle fe rencontroit le folftice d'été, le Souverain fe rendroit à la montagne du midi, pour y faire les mêmes cérémonies , afin de demander au Ciel qu'une chaleur bénigne fe répandît dans les entrailles de la terre , pour l'aider à développer tout ce qu'elle a de vertu : 3°. qu'à la huitième lune, dans laquelle fe...
Page 168 - II n'a point eu de commencement, il n'aura point de fin : il a produit toutes choses dès le commencement; c'est lui qui les gouverne et qui en est le véritable Seigneur...
Page 442 - Là on les pétrit ôc on les roule en tous les fens , obfervant foignewfement qu'il ne s'y trouve aucun vuide , ou qu'il ne s'y mêle aucun corps. étranger. Un cheveu , un grain de fable perdroit tout l'ouvrage. Faute de bien façonner cette maffe , la porcelaine fe fêle, éclate, coule & fe déjette.
Page 180 - ... de l'homme : 4°. enfin, qu'à la douzième lune, après le folftice d'hiver, on offriroit fur la montagne du nord, pour remercier le Ciel de tous les bienfaits reçus dans le courant de l'année , ôc en demander de nouveaux pour celle qu'on alloit commencer.
Page 97 - Ce n'eft pas par l'efcalier du milieu , c'eft par celui de l'orient que l'Empereur monte fur la plate-fma qui eft devant la falle du trône de l'Impératrice. Dès qu'il eft arrivé dans la galerie couverte qui en fait la façade , un Mandarin du Li-pou fe met...
Page 77 - On n'est pas toujours en droit d'opposer la valeur numérique d'un nombre de petites pièces de cuivre à une seule pièce d'argent , en cas d'échange. Tantôt une once d'argent, balance de l'empire , équivaut à mille gros deniers, tantôt elle n'équivaut qu'à huit cents.
Page 80 - Or le luxe, qui est l'abondance du superflu chez certains citoyens, suppose le manque du nécessaire chez beaucoup d'autres. Plus les riches mettent de chevaux à leurs chars, plus il ya de gens qui vont à pied ; plus leurs maisons sont vastes et magnifiques, plus celles des pauvres sont petites et misérables ; plus leurs tables se couvrent de mets, plus il ya de gens qui se trouvent réduits uniquement à leur riz.
Page 170 - Peut-être aufli viennent-elles de ce que les principaux Officiers de la Province fur laquelle tombent ces malheurs , ne cherchent pas le bien public , & ne prennent pas la juftice pour regle de leur conduite. Ne viennent- elles pas auffi, ces calamités, Chine.