Description générale de la Chine, contenant, 10. la description topographique des quinze provinces qui forment cet empire, celle de la Tartarie, des isles, & autres pays tributaires ... les productions variées de son sol, & les principaus détails de son histoire naturelle: 20. un précis des connoissances ... sur le gouvernement, la religion, les mours & les usages, les arts & les sciences des Chinois. Par M. l'abbé Grosier ...Moutard, 1787 |
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... pere s'y eft diftingué ; il doit fe mon- trer en état d'y briller lui - même . On exa- mine plutôt ce qu'il peut faire , qu'on ne fe rappelle la race dont il fort . Il est arrivé dans d'autres Etats & même en Europe , que le Souverain s ...
... pere s'y eft diftingué ; il doit fe mon- trer en état d'y briller lui - même . On exa- mine plutôt ce qu'il peut faire , qu'on ne fe rappelle la race dont il fort . Il est arrivé dans d'autres Etats & même en Europe , que le Souverain s ...
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... pere , qui pourtant l'avoit défigné d'abord pour le remplacer . pour La dignité de Prince du Sang eft gé- néralement révérée à la Chine ; toute- fois il dépend de l'Empereur d'empêcher celui à qui la Nature l'a donnée , d'en prendre le ...
... pere , qui pourtant l'avoit défigné d'abord pour le remplacer . pour La dignité de Prince du Sang eft gé- néralement révérée à la Chine ; toute- fois il dépend de l'Empereur d'empêcher celui à qui la Nature l'a donnée , d'en prendre le ...
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... pere , qu'il doit gouverner en pere . Lui - même est élevé , nourri dans les mêmes principes . Jamais pays ne vit naître moins de mauvais Souverains : jamais pays n'en vit naître un auffi grand nombre d'excellens . Tel eft le fruit de l ...
... pere , qu'il doit gouverner en pere . Lui - même est élevé , nourri dans les mêmes principes . Jamais pays ne vit naître moins de mauvais Souverains : jamais pays n'en vit naître un auffi grand nombre d'excellens . Tel eft le fruit de l ...
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... pere de tout l'Empire ; que le Gou- verneur d'une Province eft le pere de la Province , & le Mandarin , Gouver- neur d'une ville , le pere de cette même ville . Une telle idée conduit au respect , à la foumiffion ; & rarement les ...
... pere de tout l'Empire ; que le Gou- verneur d'une Province eft le pere de la Province , & le Mandarin , Gouver- neur d'une ville , le pere de cette même ville . Une telle idée conduit au respect , à la foumiffion ; & rarement les ...
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... outragée quand on offenfe le pere commun ; & elle fent , avec raifon , que ces licences répétées pour- roient le faire déroger lui - même à ce beau titre . de la Chine . Voici encore un autre Tribunal qui 30 DESCRIPTION GÉNÉRALE.
... outragée quand on offenfe le pere commun ; & elle fent , avec raifon , que ces licences répétées pour- roient le faire déroger lui - même à ce beau titre . de la Chine . Voici encore un autre Tribunal qui 30 DESCRIPTION GÉNÉRALE.
Expressions et termes fréquents
Adminif affez Aftronomie ainfi anciens auffi auffi-tôt avoient avoit bafe Bonzes c'eft c'eſt ceffe cérémonie chaife Chang-ti charlata Chine Chinois Chinoiſe chofe cienne claffe compofé conferve conftruits Confucius connoître deffin différens diftingue dynaſtie efpece Empereurs enfans enfuite eſt étoient étoit Euro facrifices famille fans fatin fe font fe trouve fecond felon femble fens fent feroit fert fervir feul fiecles fignifie fimple foient foin foit foleil fon pere fourneau fous fouvent fuivi fujets fupérieurs fur-tout hommes jour jufqu'à jufqu'au l'Em l'Empereur l'Empire l'ufage laiffer ligion litaire Loix lorfqu'il lorfque maifon Mandarins maniere Médecins Chinois ment Miffionnaires mufique n'eft n'eſt néceffaire nifme nois nombre paffe parens paroît particulieres Pe-king pereur perfonnes peuple piété filiale plufieurs Poéfie pofe poftures porcelaine préfent prefque premiere Prince Princes titrés Province refpect refte s'eft Secte ſes Soieries Souverain Synagogue Tao-ffé Tartares térieure tion tration Tribunal ufage vifite دو
Fréquemment cités
Page 14 - Chinoifes : rien de mieux vêtu , de mieux payé , ajoutons même de mieux armé , relativement à leur manière de combattre. Du refte, on y remarque bien moins de difcipline que dans les troupes modernes de l'Europe , &: , fans contredit , moins de courage. Elles ont eu d'ailleurs peu d'occafions de l'exercer de.puis la dernière invafion des Tartares. Ceux-ci , comme le le remarque le P. Duhalde , ne font plus ce qu'ils étoient •••••••''••*• d'abord. L'éducation nationale...
Page 226 - ... épris , que fon imagination échauffée , écartant toute idée de péril , ne lui montra que la facilité qu'il y avoit à enlever une fille foible &: mal accompagnée.
Page 180 - Se qui commençoient à germer : z". qu'à la cinquième lune, dans laquelle fe rencontroit le folftice d'été, le Souverain fe rendroit à la montagne du midi, pour y faire les mêmes cérémonies , afin de demander au Ciel qu'une chaleur bénigne fe répandît dans les entrailles de la terre , pour l'aider à développer tout ce qu'elle a de vertu : 3°. qu'à la huitième lune, dans laquelle fe...
Page 168 - II n'a point eu de commencement, il n'aura point de fin : il a produit toutes choses dès le commencement; c'est lui qui les gouverne et qui en est le véritable Seigneur...
Page 442 - Là on les pétrit ôc on les roule en tous les fens , obfervant foignewfement qu'il ne s'y trouve aucun vuide , ou qu'il ne s'y mêle aucun corps. étranger. Un cheveu , un grain de fable perdroit tout l'ouvrage. Faute de bien façonner cette maffe , la porcelaine fe fêle, éclate, coule & fe déjette.
Page 180 - ... de l'homme : 4°. enfin, qu'à la douzième lune, après le folftice d'hiver, on offriroit fur la montagne du nord, pour remercier le Ciel de tous les bienfaits reçus dans le courant de l'année , ôc en demander de nouveaux pour celle qu'on alloit commencer.
Page 97 - Ce n'eft pas par l'efcalier du milieu , c'eft par celui de l'orient que l'Empereur monte fur la plate-fma qui eft devant la falle du trône de l'Impératrice. Dès qu'il eft arrivé dans la galerie couverte qui en fait la façade , un Mandarin du Li-pou fe met...
Page 77 - On n'est pas toujours en droit d'opposer la valeur numérique d'un nombre de petites pièces de cuivre à une seule pièce d'argent , en cas d'échange. Tantôt une once d'argent, balance de l'empire , équivaut à mille gros deniers, tantôt elle n'équivaut qu'à huit cents.
Page 80 - Or le luxe, qui est l'abondance du superflu chez certains citoyens, suppose le manque du nécessaire chez beaucoup d'autres. Plus les riches mettent de chevaux à leurs chars, plus il ya de gens qui vont à pied ; plus leurs maisons sont vastes et magnifiques, plus celles des pauvres sont petites et misérables ; plus leurs tables se couvrent de mets, plus il ya de gens qui se trouvent réduits uniquement à leur riz.
Page 170 - Peut-être aufli viennent-elles de ce que les principaux Officiers de la Province fur laquelle tombent ces malheurs , ne cherchent pas le bien public , & ne prennent pas la juftice pour regle de leur conduite. Ne viennent- elles pas auffi, ces calamités, Chine.