Oeuvres complètes, Volume 1 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 12
Page i
... plusieurs de ses lettres que le prussien Gresset ; mais celui - ci , trop attaché à la France , ne put répondre aux I Voyez l'ode de ce prince adressée à Gresset . sur l'autel . Il vint ensuite à Paris , au SUR GRESSET . VII.
... plusieurs de ses lettres que le prussien Gresset ; mais celui - ci , trop attaché à la France , ne put répondre aux I Voyez l'ode de ce prince adressée à Gresset . sur l'autel . Il vint ensuite à Paris , au SUR GRESSET . VII.
Page vii
... plusieurs de ses lettres que le prussien Gresset ; mais celui - ci , trop attaché à la France , ne put répondre aux 1 Voyez l'ode de ce prince adressée à Gresset . bontés du monarque et se borna à entretenir avec lui SUR GRESSET . VII.
... plusieurs de ses lettres que le prussien Gresset ; mais celui - ci , trop attaché à la France , ne put répondre aux 1 Voyez l'ode de ce prince adressée à Gresset . bontés du monarque et se borna à entretenir avec lui SUR GRESSET . VII.
Page xxi
... voyez bien que je veux parler du jeune auteur des poëmes du Perroquet et de la Chartreuse . Je n'ai vu de lui que ces deux ouvrages ; mais en vérité je les aurais admirés , quand ils m'auraient été donnés comme le fruit d'une étude ...
... voyez bien que je veux parler du jeune auteur des poëmes du Perroquet et de la Chartreuse . Je n'ai vu de lui que ces deux ouvrages ; mais en vérité je les aurais admirés , quand ils m'auraient été donnés comme le fruit d'une étude ...
Page 70
... voyez un faible rameau Qui , par les jeux du vague Éole Enlevé de quelque arbrisseau , Quitte sa tige , tombe et vole Sur la surface d'un ruisseau ; Là , par une invincible pente , Forcé d'errer et de changer , Il flotte au gré de l ...
... voyez un faible rameau Qui , par les jeux du vague Éole Enlevé de quelque arbrisseau , Quitte sa tige , tombe et vole Sur la surface d'un ruisseau ; Là , par une invincible pente , Forcé d'errer et de changer , Il flotte au gré de l ...
Page 82
... Voyez ce portier inflexible Qui , payé pour être terrible , Et muni d'un cœur de Huron , Réunit dans son caractère La triple rigueur de Cerbère Et l'ame avare de Caron : Ainsi que ces ombres légères Qui pour leurs demeures premières ...
... Voyez ce portier inflexible Qui , payé pour être terrible , Et muni d'un cœur de Huron , Réunit dans son caractère La triple rigueur de Cerbère Et l'ame avare de Caron : Ainsi que ces ombres légères Qui pour leurs demeures premières ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
agréments aimable Amours anachorète arts badin badinage baptême bonheur brillant bruit cagots cérémonie CHANT charmant Chartreuse cher ciel cieux Cléon cœur Crosne Déja destin dieu dieux douleur doux encens enchanté enchanteur enfants enfin ennuyeux Éole ÉPITRE esprit fête fleurs fortune gaîté génie gloire gnomes goût grace grandeur Gresset Hélicon héros heureux honneurs instant j'ai Jeunesse jeux l'air l'ame l'Amour l'art l'éclat l'ennui l'esprit l'heureux l'honneur l'oiseau l'univers lieux Loin long-temps Louis XV lutrin lyre main malheureux mœurs monde Monseigneur monsieur Pommier mortels muse myrtes Nevers nouveau nymphes ombres PARRAIN MAGNIFIQUE pense perroquet peuple philosophie plaire plaisir plaisirs pompons Praxitèle printemps qu'un raison rayons regret rien rimes rivage sage sait secret séjour sentiment seul silence sœurs soins Soissons solitaire sombre sort sots style Styx sublime talents temple tendre ténèbres Thalie Tisiphone tombeau tour-à-tour traits tranquille triste VER-VERT vérité vient vieux vois voix Voltaire volupté yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 48 - Si ma chambre est ronde ou carrée , C'est ce que je ne dirai pas ; Tout ce que j'en sais, sans compas, C'est que, depuis l'oblique entrée. Dans cette cage resserrée On peut former jusqu'à six pas. Une lucarne mal vitrée, Près d'une gouttière livrée A d'interminables sabbats, Où l'université des chats , A minuit , en robe fourrée , Vient tenir ses bruyants états...
Page 63 - II rencontre sur son passage Tous les jours des pays nouveaux , Tantôt un fertile rivage Bordé de coteaux fortunés , Tantôt une rive sauvage , Et des déserts abandonnés ; Parmi ces erreurs continues II fuit, il vogue jusqu'au jour Qui l'ensevelit à son tour Au sein de ces mers inconnues Où tout s'abyme sans retour.
Page 61 - J'ai vu régner la folle erreur ; J'ai vu mille peines cruelles Sous un vain masque de bonheur , Mille petitesses réelles Sous une écorce de grandeur , Mille lâchetés infidèles Sous un coloris de candeur ; Et j'ai dit au fond de mon cœur : Heureux qui dans la paix secrète D'une libre et sûre retraite Vit ignoré , content de peu , Et qui ne se voit point sans cesse Jouet de l'aveugle déesse , Ou dupe de l'aveugle dieu...
Page 60 - Égaré dans le noir dédale Où le fantôme de Thémis , Couché sur la pourpre et les lis , Penche la balance inégale, Et tire d'une urne vénale Des arrêts dictés par Cypris , Irais-je, orateur mercenaire Du faux et de la vérité, Chargé d'une haine étrangère , Vendre aux querelles du vulgaire Ma voix et ma tranquillité , Et , dans l'antre de la Chicane...
Page 2 - L'alcôve simple était plus de son goût : Car remarquez qu'il était propre en tout. Quand chaque soir le jeune anachorète Avait fixé sa nocturne retraite, Jusqu'au lever de l'astre de Vénus II reposait sur la boîte aux agnus.
Page 3 - Ver-Vert vivait sans ennui, sans travaux; Dans tous les cœurs il régnait sans partage: Pour lui sœur Thècle oubliait les moineaux; Quatre serins en étaient morts de rage ; Et deux matous , autrefois en faveur, Dépérissaient d'envie et de langueur. Qui l'aurait dit , en ces jours pleins de...
Page 28 - On dit pourtant ( pour terminer ma glose En peu de mots ) que l'ombre de l'oiseau Ne loge plus dans le susdit tombeau ; Que son esprit dans les nonnes repose, Et qu'en tout temps , par la métempsycose , De sœurs en sœurs l'immortel perroquet Transportera son ame et son caquet.
Page 59 - M'enchaîner encor plus long-temps? Quand j'aurai passé mon printemps Pourrai-je vivre encor pour elle? Car enfin au lyrique essor, Fait pour nos bouillantes années , Dans de plus solides journées Voudrois-je me livrer encor? Persuadé que l'harmonie Ne verse ses heureux présents Que sur le matin de la vie , Et que , sans un peu de folie , On ne rime plus à trente ans...
Page 9 - Ce qu'on disait du perroquet vanté, Désir leur vint d'en voir la vérité. Désir de fille est un feu qui dévore, Désir de nonne est cent fois pis encore.
Page xxxvi - D'un noble oiseau la touchante disgrâce, Soyez ma muse, échauffez mes accents, Et prêtez-moi ces sons intéressants, Ces tendres sons que forma votre lyre Lorsque Sultane, au printemps de ses jours. Fut enlevée à vos tristes amours, Et descendit au ténébreux empire. De mon héros les illustres malheurs Peuvent aussi se promettre vos pleurs. Sur sa vertu par le sort traversée, Sur son voyage et ses longues erreurs, On...