La Bible et les découvertes modernes en Palestine, en Egypte et en Assyrie, Volume 4

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Berche et Tralin, 1896
 

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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 439 - Il n'a pas besoin de sortir de luimême pour devenir fécond ; il trouve en son propre sein la matière de son enfantement perpétuel. Seul, par la plénitude de son être, il conçoit son fruit, et comme en lui la conception ne saurait être distinguée de l'enfantement, de toute éternité il produit en lui-même un autre lui-même.
Page 438 - un unique, » celui qui existe par essence, le seul qui vive en subs» tance , le seul générateur dans le ciel et sur la terre » qui ne soit pas engendré; le père des pères , la mère des
Page 548 - D ténébreuse et couverte de la noirceur de la mort, terre de misère et de • ténèbres, où habite l'ombre de la mort, et aucun ordre, mais une éter> nelle horreur (Job, x, 20-22).
Page 292 - Chaldéens est une tradition de famille ; le fils qui en hérite de son père est exempt de toute charge publique. Ayant pour précepteurs leurs parents, ils ont le double avantage d'apprendre toutes ces connaissances sans réserve, et d'ajouter plus de foi aux paroles de leurs maîtres. Habitués...
Page 442 - Babylone était, dans ses principes essentiels et dans l'esprit général qui présidait à ses conceptions, une religion de la même nature que celle de l'Egypte, et qu'en général toutes les religions du paganisme. Lorsqu'on y pénétrait au delà de l'écorce extérieure de polythéisme grossier qu'elle avait revêtue dans les superstitions populaires, et qu'on s'élevait jusqu'aux conceptions d'un ordre plus haut qui en avaient été le point de départ, on y retrouvait la notion fondamentale...
Page 446 - Domini : chez les Phéniciens , il en était de même au début, mais les notions primitives se sont altérées tout en conservant les formules qui les exprimaient autrefois; l'idée de la déesse femelle a surgi, idée qui dédoublait pour ainsi dire la puissance créatrice sans détruire son unité essentielle, mais qui ouvrait la porte à toutes les erreurs et à tous les abus du polythéisme pratique.
Page 437 - Au sommet du panthéon égyptien plane un Dieu unique, immortel, incréé, invisible et caché dans les profondeurs inaccessibles de son essence ; il est le créateur du ciel et de la terre ; il a fait tout ce qui existe, et rien n'a été fait sans lui ; c'est le Dieu réservé à l'initié du sanctuaire.
Page 563 - Je n'ai pas fait exécuter à un chef de travailleurs, chaque jour, plus de travaux qu'il n'en devait faire!... Je n'ai pas été négligent! Je n'ai pas été oisif! Je n'ai pas...
Page 438 - Égyptiens était un être unique, parfait, doué d'une science et d'une intelligence certaines, incompréhensible à ce point qu'on ne peut dire en quoi il est incompréhensible.
Page 563 - Je n'ai pas fraudé d'un doigt sur une paume ! Je n'ai pas usurpé dans les champs ! Je n'ai pas fait de gains frauduleux au moyen des poids du plateau de la balance ! Je n'ai pas faussé l'équilibre de la balance ! Je n'ai pas enlevé le lait de la bouche des nourrissons ! Je n'ai point chassé les bestiaux sacrés sur leurs herbages ! Je n'ai pas pris au filet les oiseaux divins! Je n'ai pas péché les poissons sacrés dans leurs étangs! Je n'ai pas repoussé l'eau en sa saison! Je n'ai pas...

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