Cartulaire de l'abbaye de Savigny: suivi du petit cartulaire de l'abbaye d'Ainay, Numéro 9,Volume 1

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Imprimerie impériale, 1853 - 1167 pages
 

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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page cxvi - pour assurance de sa volonté, le présent brevet, qu'elle a signé de sa main et fait contresigner par moi, conseiller secrétaire d'état et de ses commandements et finances.
Page xxxi - pays, tant à cause de sa situation au confluent de deux grandes rivières qu'à cause de sa proximité de toutes les parties de cette contrée. C'est pourquoi Agrippa en fit le point de départ des grandes routes. La première de ces routes, traversant les Cévennes,
Page 426 - est utriusque sexus mancipiis, aréis, aedificiis, pratis, pascuis, terris cultis et incultis, vus et inviis, silvis, venationibus, aquis, aquarumque decursibus, molis, molendinis, piscationibus, exitibus et reditibus, quaesitis et inquirendis, ac cum omni
Page cxvi - m'ayant Sa Majesté commandé d'expédier toutes lettres et dépêches nécessaires en cour de Rome pour l'obtention des bulles
Page 330 - Domini est terra, et plenitudo ejus orbis terrarum, et universi qui habitant in eo
Page 388 - Videte quomodo caute ambuletis, non quasi insipientes, sed ut sapientes, redimentes tempus, quoniam dies mali sunt
Page xxvi - départis des habitudes gauloises, c'est en ce qui concerne les fleuves et les rivières, qui servent fort souvent de frontières aujourd'hui, tandis que chez les Gaulois, au contraire, les deux rives d'un fleuve appartenaient presque toujours au même peuple
Page vi - remonter à la fin du xvi e siècle ou au commencement du xvn c
Page xxix - en tua un grand nombre ; le reste prit la fuite et se cacha dans les forêts voisines. Ensuite, César, ayant fait jeter un pont sur la rivière, se mit à la poursuite du gros des Helvétiens, qu'il força bientôt, comme on sait, à rentrer dans leur pays, après avoir perdu les deux tiers de leur population. Il ressort pour nous du récit de César que le territoire du
Page xxvi - Cette assertion semble en contradiction avec ce que rapportent César, Strabon et d'autres auteurs, qui, très-souvent, donnent des rivières pour limites aux peuples gaulois ; mais nous ferons remarquer que ces écrivains se sont servis d'indications générales, et que les rivières sont mentionnées par eux moins comme des limites que comme des points de

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