Œuvres: L'amour médecin. Le misanthrope. Le médecin malagré lui Mélicerte. Pastoral comique. Le Sicilien; ou, L'amour peintreDe l'Impr. et de la fonderie stéréotypes de P. Didot l'aîné, et de F. Didot, 1799 |
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... ( seul . ) Voilà de mes don- neurs de conseils à la mode . SCENE II . LUCINDE , SGANARELLE SGANARELLE . Ah ! voilà ma fille qui prend l'air . Elle ne me voit pas . Elle soupire ; elle leve les yeux au ciel . ( à Lu- cinde . ) Dieu vous ...
... ( seul . ) Voilà de mes don- neurs de conseils à la mode . SCENE II . LUCINDE , SGANARELLE SGANARELLE . Ah ! voilà ma fille qui prend l'air . Elle ne me voit pas . Elle soupire ; elle leve les yeux au ciel . ( à Lu- cinde . ) Dieu vous ...
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... présent sur moi tout le soin de ses intérêts , et vous verrez que je sais des détours ... Mais je vois votre pere . Rentrons , et mę laissez agir . SCENE V. SGANARELLE , seul . Il est bon quelquefois 18 L'AMOUR MÉDECIN .
... présent sur moi tout le soin de ses intérêts , et vous verrez que je sais des détours ... Mais je vois votre pere . Rentrons , et mę laissez agir . SCENE V. SGANARELLE , seul . Il est bon quelquefois 18 L'AMOUR MÉDECIN .
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Molière. SCENE V. SGANARELLE , seul . Il est bon quelquefois de ne point faire semblant d'entendre les choses qu'on n'entend que trop bien ; et j'ai fait sagement de parer la déclaration d'un desir que je ne suis pas résolu de contenter ...
Molière. SCENE V. SGANARELLE , seul . Il est bon quelquefois de ne point faire semblant d'entendre les choses qu'on n'entend que trop bien ; et j'ai fait sagement de parer la déclaration d'un desir que je ne suis pas résolu de contenter ...
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... seul . Me voilà justement un peu plus incertain que je n'étois auparavant . Morbleu ! il me vient une fantai- sie . Il faut que j'aille acheter de l'orviétan , et que je lui en fasse prendre . L'orviétan est un remede dont beaucoup de ...
... seul . Me voilà justement un peu plus incertain que je n'étois auparavant . Morbleu ! il me vient une fantai- sie . Il faut que j'aille acheter de l'orviétan , et que je lui en fasse prendre . L'orviétan est un remede dont beaucoup de ...
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... autres médecins . Où est - il ? SGANARELLE . LISETTE . Je vais le faire entrer . SGANARELLE , seul . Il faut voir si celui - ci fera plus que les autres . SCENE CLITANDRE , en habit de médecin ; SGANARELLE , 38 L'AMOUR MÉDECIN .
... autres médecins . Où est - il ? SGANARELLE . LISETTE . Je vais le faire entrer . SGANARELLE , seul . Il faut voir si celui - ci fera plus que les autres . SCENE CLITANDRE , en habit de médecin ; SGANARELLE , 38 L'AMOUR MÉDECIN .
Expressions et termes fréquents
ACANTE ACASTE ADRASTE affaire aime ALCESTE Allez Allons amant amour appas ardeur ARSINOÉ assez avez BAHIS BALLET BASQUE beau bécarre belle bian CÉLIMENE chante charmes chose ciel CLITAN DRE CLITANDRE cœur COMÉDIE CORINNE CORYDON courroux dansants DAPHNÉ déja DESFONANDRÈS dessein diable dire dis-je DON PEDRE doux DUBOIS ÉLIANTE ÉROXENE Est-ce êtes étoit fasse femme fille gens GÉRONTE grace HALI Hippocrate homme ISIDORE j'ai j'en JACQUELINE jaloux jamais l'amour L'AMOUR MÉDECIN là-dessus Laissez-moi Léandre LICARSIS LISETTE LUCAS LUCINDE LYCAS m'en vais MACROTON madame magiciens malade maniere MARTINE médecin MÉLICERTE mérite messieurs mieux monde monsieur MOPSE moque morbleu MYRTIL NICANDRE nourrice ORONTE par-tout parler paroître pense pere Peste PHILENE PHILINTE plaisir pourroit prendre qu'un raison remede rien ROBERT s'il vous plaît sais sauroit SCENE VII sentiments seroit SGANARELLE soins sort souffrir TIRCIS TIRENE TOMÈS trouve VALERE veut veux vœux Voilà vois voit voudrois voulez voulez-vous yeux
Fréquemment cités
Page 115 - Tous ces défauts humains nous donnent, dans la vie, Des moyens d'exercer notre philosophie ; C'est le plus bel emploi que trouve la vertu ; Et, si de probité tout était revêtu, Si tous les cœurs étaient francs, justes et dociles, La plupart des vertus nous seraient inutiles...
Page 12 - Tous ces conseils sont admirables assurément; mais je les tiens un peu intéressés, et trouve que vous me conseillez fort bien pour vous. Vous êtes orfèvre, monsieur Josse, et votre conseil sent son homme qui a envie de se défaire de sa marchandise.
Page 60 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais avec tout cela, quoi que je puisse faire, Je confesse mon faible ; elle a l'art de me plaire : J'ai beau voir ses défauts, et j'ai beau l'en blâmer, En dépit qu'on en ait, elle se fait aimer...
Page 67 - J'aime mieux ma mie, au gué ! J'aime mieux ma mie. » La rime n'est pas riche, et le style en est vieux : Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure...
Page 77 - C'est, de la tête aux pieds, un homme tout mystère, Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré, Et sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite, en grimaces abonde; A force de façons, il assomme le monde, Sans cesse il a tout bas pour rompre l'entretien Un secret à vous dire, et ce secret n'est rien; De la moindre vétille il fait une merveille, Et jusques au bonjour, il dit tout à l'oreille.
Page 53 - Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode ; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.
Page 92 - C'est en moi que l'on peut trouver fort à reprendre. CÉLIMÈNE Madame, on peut, je crois, louer et blâmer tout; Et chacun a raison, suivant l'âge ou le goût. Il est une saison pour la galanterie, II en est une aussi propre à la pruderie. On peut, par politique, en prendre le parti, Quand de nos jeunes ans l'éclat est amorti; Cela sert à couvrir de fâcheuses disgrâces.
Page 66 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 67 - J'aime mieux ma mie, ô gué ! J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux: Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le roi m'avait donné...
Page 79 - Il veut voir des défauts à tout ce qu'on écrit, Et pense que louer n'est pas d'un bel esprit, Que c'est être savant que trouver à redire, Qu'il n'appartient qu'aux sots d'admirer et de rire, Et qu'en n'approuvant rien des ouvrages du temps, II se met au-dessus de tous les autres gens.