Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes...J. Didot aîn, 1823 - 27 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 23
Page 2
... Long - temps la France n'eut que des poésies légères . Tou- tes nos richesses poétiques consistaient en joyeusetés folâtres , comme dit Montaigne . On lit encore avec plaisir la plus grande partie des vers de Marot , et quelques petites ...
... Long - temps la France n'eut que des poésies légères . Tou- tes nos richesses poétiques consistaient en joyeusetés folâtres , comme dit Montaigne . On lit encore avec plaisir la plus grande partie des vers de Marot , et quelques petites ...
Page 3
... long - temps répudiés par nos poètes . Il est difficile d'établir une barrière exacte et des limites bien précises entre les autres genres de poésies légères qui sont parvenus jusqu'à nous , et que nous avons adoptés ; presque tous ...
... long - temps répudiés par nos poètes . Il est difficile d'établir une barrière exacte et des limites bien précises entre les autres genres de poésies légères qui sont parvenus jusqu'à nous , et que nous avons adoptés ; presque tous ...
Page 33
... délicate et brillante . C'est de lui que Montaigne devait dire : « Il berce la Sagesse au giron « de la Volupté . " " POÉSIES LÉGÈRES . 3 Nos chansons de table ont été fort long - temps ESSAI SUR LA POÉSIE LÉGÈRE . 33.
... délicate et brillante . C'est de lui que Montaigne devait dire : « Il berce la Sagesse au giron « de la Volupté . " " POÉSIES LÉGÈRES . 3 Nos chansons de table ont été fort long - temps ESSAI SUR LA POÉSIE LÉGÈRE . 33.
Page 34
Étienne de Jouy. Nos chansons de table ont été fort long - temps des orgies grossières . Celles de maître Adam ne manquaient pas de verve ; et si les ouvrages de Démosthène sentaient l'huile , ceux du menuisier de Nevers paraissaient ...
Étienne de Jouy. Nos chansons de table ont été fort long - temps des orgies grossières . Celles de maître Adam ne manquaient pas de verve ; et si les ouvrages de Démosthène sentaient l'huile , ceux du menuisier de Nevers paraissaient ...
Page 38
... long - temps naïve et licencieuse , elle manquait de goût et de délicatesse ; Lafare et Chaulieu l'embellirent des deux qualités qui lui manquaient : Gentil- Bernard en adoucit quelquefois les manières délicates , jus- qu'à la fadeur ...
... long - temps naïve et licencieuse , elle manquait de goût et de délicatesse ; Lafare et Chaulieu l'embellirent des deux qualités qui lui manquaient : Gentil- Bernard en adoucit quelquefois les manières délicates , jus- qu'à la fadeur ...
Table des matières
62 | |
71 | |
77 | |
84 | |
92 | |
100 | |
108 | |
115 | |
121 | |
127 | |
136 | |
143 | |
202 | |
209 | |
220 | |
226 | |
229 | |
235 | |
241 | |
247 | |
253 | |
259 | |
261 | |
273 | |
Autres éditions - Tout afficher
Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes... Étienne de Jouy Affichage du livre entier - 1823 |
Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes... Étienne de Jouy Affichage du livre entier - 1823 |
Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes... Étienne de Jouy Affichage du livre entier - 1823 |
Expressions et termes fréquents
abbé Desfontaines AGAR aigris Gris aimable aime ALCIBIADE amant amour appas Aristogiton ASPASIE ASTÉRIE beau beauté belle belle des belles Béranger bonheur brillante Cancale chants cher CHOEUR Clinias cœur couplet Cythère dansons déja desirs diable à confesser dieux donne Par tonne douleur doux enfants épigrammes esclaves esprit femme fleurs fureur gloire grace Harmodius Hélas ISMAEL J'ai jeune jour JULES DIDOT l'ame l'amour l'épigramme l'hymen LIBRARIES STANFORD UNIVERSITY lieux lon lon long-temps MADAME GERVAIS madrigal Marotte maux ménestrel MILADY MONSIEUR GERVAIS mort Musettes Et chansons Pauvre Blondel philosophie plaisir plaisirs pleurs POÉSIES LÉGÈRES poëte quatrains rocher de Cancale ROMANCE rose s'ils viennent satirique SCÈNE Semblançay serrons nos rangs seul sort STANFORD UNIVERSITY LIBRARIES talents tendre tendresse tin tin UNIVERSITY LIBRARIES STANFORD Va-t'en voir s'ils vaudeville vénérables aïeux veux vieux vin charme vin pleuve voilà Catin Voilà le diable vois volage Voltaire yeux ZEUXIS
Fréquemment cités
Page 29 - LE ROI D'YVETOT. IL était un roi d'Yvetot, Peu connu dans l'histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton D'un simple bonnet de coton, Dit-on.
Page 30 - On conserve encor le portrait De ce digne et bon prince; C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province. Les jours de fête, bien souvent, La foule s'écrie en buvant Devant: Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah!
Page 30 - Fut un voisin commode, Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code. Ce n'est que lorsqu'il expira, Que le peuple qui l'enterra Pleura.
Page 22 - Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien.
Page 53 - Gai ! gai ! serrons nos rangs, Espérance De la France; Gai ! gai ! serrons nos rangs; En avant, Gaulois et Francs...
Page 49 - ... tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira.
Page 40 - Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons.
Page 11 - S'il dédaigne un frivole encens, Que deviendront les courtisans ? Que feront les amis du prince, Autrement nommés en province ? Que deviendront les partisans, Si ses sujets sont ses enfants ? S'il veut qu'un prélat soit chrétien, Un magistrat homme de bien, Combien de juges mercenaires, D'évêques et de grands vicaires Vont changer de conduite ! Amen ! Domine, salvum fac regem.
Page 63 - Souvent un peu de vérité Se mêle au plus grossier mensonge : Cette nuit, dans l'erreur d'un songe, Au rang des rois j'étais monté. Je vous aimais, princesse, et j'osais vous le dire! Les dieux à mon réveil ne m'ont pas tout ôté; Je n'ai perdu que mon empire.
Page 22 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge, De son âge a tout le malheur.