Histoire des troubles des Pays-Bas, Volume 2Arn. Lacrosse, 1822 |
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Histoire des troubles des Pays-Bas, sous Philippe II, Volume 2 Luc Jean Joseph Van der Vynckt Affichage du livre entier - 1822 |
Histoire des troubles des Pays-Bas, sous Philippe II, Volume 2 Luc Jean Joseph Vandervynckt Affichage du livre entier - 1822 |
Histoire des troubles des Pays-Bas, sous Philippe II, Volume 2 Luc Jean Joseph Van der Vynckt Affichage du livre entier - 1822 |
Expressions et termes fréquents
Aersens ambassadeurs Anglois Anvers archiducs armée articles auroit avoient avoit Balagni Bruxelles C'étoit cardinal catholiques ci-devant commerce comte congrès connoître conseil cour d'Angleterre d'Anvers d'autres d'Espagne députés dessein devoit différens don Jean duc d'Alençon duc de Guise duc de Mayenne duc de Parme Élisabeth ennemis envoya Espagne Espagnols états états-généraux étoient étoit faction faisoient faisoit falloit firent Flandre flotte frère Gand gouvernement gouverneur guerre Haye Hembise Henri Henri III Henri IV Hollande Hollandois Indes jour l'an l'archiduc l'empereur l'infante ligue long-temps mariage ment ministres mois mort mourut n'avoient n'avoit n'étoient négociation Neyen nommé nommoit ordres pagne paix pape parlé passa pays Pays-Bas peuple Philippe portoit pouvoit premier prince d'Orange prince de Parme prince Maurice prit projet provinces Provinces-unies raisons règne reine religion rent république Richardot royaume Ryhove secours secrètement seigneur seroit siége temps-là tenoit Termonde tion traité trève troubles troupes trouvoient trouvoit vaisseaux vint vouloit Zélande
Fréquemment cités
Page 440 - Roi et archiducs, qu'elle a été accordée aux sujets du roi de la Grande-Bretagne par le dernier traité de paix, et articles secrets faits avec le connétable de Castille.
Page 255 - ... de cette résidence royale une allée en pente rapide que le roi fit parcourir à grands pas au duc de Mayenne le 3l décembre 1595. Malgré la saison, le duc, qui était fort gras, ne put supporter cet exercice, et il finit par avouer qu'il n'en pouvait plus « Mon cousin, » lui dit Henri IV, « je vous jure que voilà tout le mal que je vous ferai pour celui que vous m'avez fait lorsque vous étiez chef de la Ligue. » Le duc, rassuré par ces paroles, et considérant qu'il n'y avait pas grand...
Page 447 - ... passèrent aisément. Le premier de tous, l'article fondamental, c'était la reconnaissance pleine et entière de la souveraineté des Provinces-Unies. Dans cet article, les archiducs « déclarent, tant en leur nom qu'en celui du roi, qu'ils consentent à traiter avec les Provinces-Unies en qualité et comme les tenant pour pays, provinces et États libres, sur lesquels ils ne prétendent rien.
Page 178 - Valois, et celui du prince de Condé avec Marie de Clèves, furent célébrés au Louvre, le 18 août 1572.
Page 13 - C'est pourquoi des gens d'esprit , de vertu , de probité et de littérature étaient préoccupés autant et plus que les autres contre les Espagnols, et se distinguaient dans le maniement des affaires , et dans toutes les mesures contre eux ; il y en ' eut plusieurs qui s'emportèrent bien loin , jusqu'à embrasser les erreurs et l'hérésie ; car , comme les premières persécutions se fondaient sur la religion , le respect se perdit pour n'avoir rien de commun avec une nation qui la professait...
Page 75 - Ce traité contient 27 articles, dont le premier porte, à la vérité,que les états déclarent élire pour leur souverain seigneur et prince, François, duc d'Anjou et d'Alençon, frère unique du roi très-chrétien ; mais tous les autres règlent tellement son administration, sa succession, la...
Page 132 - Le fleuve, ou plutôt golfe, en cet endroit , découvrit son abîme, et jeta ses eaux de part et d'autre avec tant d'impétuosité, que les forts, les redoutes et les digues furent submergés en un instant; l'eau passa loin au-dessus.
Page 97 - Guillaume d'Orange répondit par une apologie non moins furibonde, dans laquelle, pour nous servir de l'expression de l'historien Van der Vynckt, il relança chaque épithète et chaque vice dont on l'accusait sur le roi Philippe, qu'il prit personnellement à partie , en mettant au jour les actions de toute sa vie, ses mariages , la mort de sa troisième femme , et de son fils don Carlos. Si la révolution n'eût été dans tous les esprits, si elle ne fût déjà presque devenue un fait, elle serait,...
Page 13 - ... préoccupés autant et plus que les autres contre les Espagnols, et se distinguaient dans le maniement des affaires , et dans toutes les mesures contre eux ; il y en eut plusieurs qui s'emportèrent bien loin, jusqu'à embrasser les erreurs et l'hérésie; car, comme les premières persécutions se fondaient sur la religion , le respect se perdit pour n'avoir rien de commun avec une nation qui la professait avec un zèle si outré , et l'antipathie qu'on se sentait pour les Espagnols rejaillit...
Page 105 - La haine nationale et la vieille rancune prévalurent ; la résolution fut prise de périr plutôt en détail que de se soumettre aux Espagnols par une paix trompeuse; de se jeter à la tête de toutes les puissances, leur offrir la souveraineté des provinces, pourvu qu'elles les tirassent du joug, et de l'esclavage de l'Espagne.