| Plato - 1822 - 384 pages
...lui serra le pied fortement, et lui demanda s'il le sentait; il dit que non. Il lui serra ensuite les jambes ; et . portant ses mains plus haut, il nous...glacé. Alors se découvrant, car il était couvert : Cri ton , dit-il , et ce furent ses dernières paroles, nous devons un coq à Esculape*; n'oublie... | |
| 1823 - 434 pages
...jambes ; et , portant ses mains plus haut, il nous Et voir que le corps se glaçoit et se roidissoit; et le touchant lui-même, il nous dit que, dès que le froid gagneroit le cœur, alors Socrate nous quitteroif. Déjà lout le bas-ventre étoit glacé. Alors Socrate... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 pages
...lui serra le pied fortement, et lui demanda s'il le sentait; il dit que non. II lui serra ensuite les jambes; et, portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glacait et se roidissait.; «t , le touchant lui-même , il nous dit que, dès que le froid gagnerait... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie - 1835 - 374 pages
...jambes, il lui serra le pied fortement et lui demanda s'il le sentait ; Don; — il lui serra ensuite les jambes, et portant ses mains plus haut, il nous fit voir que son corps se glaçait et se roidissait , et il nous affirma que dès que le froid gagnerait le cœur,... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie - 1835 - 366 pages
...jambes, il lui serra le pied fortement et lui demanda s'il le sentait ; Don; — il lui serra ensuite les jambes, et portant ses mains plus haut , il nous fit voir que son corps se glaçait et se raidissait , et il nous affirma que dès que le froid gagnerait le cœur,... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 320 pages
...serra le pied fortement, et lui demanda s'il le sentait ; il dit que non. Il lui serra ensuite les jambes ; et, portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glaçait et se roidissait ; et, le touchant luimême, il nous dit que, dès que le froid gagnerait le cœur, alors... | |
| Plato - 1846 - 394 pages
...lui serra le pied fortement, et lui demanda s'il le sentait; il dit que non. Il lui serra ensuite les jambes ; et , portant ses mains plus haut, il nous...corps se glaçait et se raidissait ; et , le touchant lui-méme, il nous dit que, dès que le froid gagnerait le cœur, alors Socrate nous quitterait. Déjà... | |
| Charles Auguste Désiré Filon - 1854 - 500 pages
...lui demanda s'il le sentait; Socrate ayant répondu qu'il ne sentait rien, cet homme lui serra les jambes ; et, portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glaçait et se roidissait ; et, le touchant lui-même, il nous dit qu'aussitôt que le froid gagne» rait le cœur,... | |
| Charles Auguste Désiré Filon - 1854 - 478 pages
...se roidissait ; et, le touchant lui-même, il nous dit qu'aussitôt que le froid gagnerait le cœur, Socrate nous quitterait. Déjà tout le bas-ventre...glacé. Alors se découvrant, car il était couvert : « Ciïton, M dit-il, et ce furent ses dernières paroles, « nous devons un coq à Esculape; n'oublie... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 408 pages
...serra le pied fortement, et il lui demanda s'il le sentait; il dit que non Il lui serra ensuite les jambes; et portant ses mains plus haut il nous fit voir que le corps se gelait et se roidissait : et, le touchant luimême, il nous dit que, dès que le froid gagnerait le... | |
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