TABLE DES CHAPITRES. Pages. Περὶ καταστάσεως ἀπλήκτου καὶ ὅτι ὁ στρατηγὸς ἀπὸ τοῦ πλήθους τῶν ὁπλιτῶν ἐν ταῖς ταξιαρχίαις τεταγμένων δύναται τὴν ὅλην τοῦ ἀπλήκτου διαγνῶναι καὶ ἀπαρτί ὅτι οὐ δεῖ ἀπληκεύειν ἐξ ἑτέρου θέματος λαὸν εἰς ἑτέρου θέματος ἢ τάγματος Περὶ τῶν ἐν νυκτὶ ὀφειλουσῶν γίνεσθαι φυλακῶν ἤτοι κερκίτων . Πῶς δεῖ σμικρύνεσθαι τὸ ἀπλῆκτον, ὁλοκλήρου τῆς πεζικῆς στρατιᾶς ὑπαρχούσης, τῆς δ ̓ ἱππικῆς ὀλιγοστῆς· πῶς δὲ ταύτης πολλῆς οὔσης, τῆς δὲ πεζικῆς ἐλαχίστης, ἀναπληροῦν τὸ ἐνδέον καὶ ἀσφαλῶς περιφυλάττειν τὴν στρατιάν... Περὶ τοῦ ὅτι ἀσύμφορον ἐστιν ἐν ἀνύδροις τόποις ὁδοιπορεῖν πολεμίων ἐπιόντων.... XIV. Περὶ τοῦ εἰ ἀπαντήσει στένωμα ή γεφύρας καὶ ποταμοῦ βαθέως περαίωσις τί δεῖ Α. Περὶ τοῦ μὴ ἐπάγεσθαι πλῆθος ἀργὸν ἐν τῇ πολεμίᾳ. XVI. Περὶ τῆς ἁρμοζούσης πανοπλίας...... XVII. Περὶ τοῦ μὴ ἔχειν τοὺς εὐτελεστέρους τῶν ἀρχόντων σκηνάς. XVIII. Περὶ δουκατόρων καὶ κατασκόπων... 101 ΧΙΧ. Περὶ διελεύσεως κλεισούρας μὴ κατεχομένης παρὰ τῶν πολεμίων . . Pages. 104 XXII. Περὶ τοῦ πῶς δεῖ φυλάττεσθαι τοὺς εἰς συλλογὴν χρειῶν ἀποστελλομένους καὶ τοὺς νέμοντας τοὺς ἵππους .. 114 XXIII. Περὶ τοῦ πῶς δεῖ τροπώσασθαι τοὺς πολεμίους τοὺς παρατρέχοντας καὶ ἐνέδρας τιθεμένους κατὰ τῶν εἰς συλλογὴν χρειῶν ἐξερχομένων . . 114 Αν. Περὶ τοῦ εἰ γνωσθῶσιν οἱ ἀρχηγοὶ τῶν πολεμίων μετὰ τῆς ὑπ ̓ αὐτοὺς δυνάμεως κρύφα μέλλοντες ἐπιβουλεύσασθαι τῷ στρατοπέδῳ ἢ τοῖς πρὸς συλλογὴν χρειῶν ἐξιοῦσιν ὑπουργοῖς . 115 XXV. Περὶ τοῦ πῶς δεῖ νυκτὸς τῷ ἀπλήκτῳ τῶν πολεμίων ἐπελθεῖν.. 116 XXVI. Πῶς δυνατόν ἐστι μετ ̓ ἐπιτηδεύσεως τοὺς πολιορκουμένους πρὸς τὰ ἐκτὸς ἐπισπάσασθαι καὶ τραυματίσαι αὐτούς 118 ΧΑΧ. Περὶ τοῦ διδάσκειν τὸν στρατὸν καὶ ἐθίζειν ἔτι ἐν τῇ ἰδίᾳ ὄντα κατὰ τάξιν ἀπληκεύειν καὶ ὁδοιπορεῖν. . . 123 XXXI. Περὶ τοῦ ὑπαλλάτ7εσθαι τὰς ἐκτελούσας τάξεις τὴν τοῦ σάκα διακονίαν διὰ τὸν πολὺν κόπου, τοῦ ἄρχοντος εἰ δυνατὸν μένοντος αὐτοῦ.... 124 XXXII. Περὶ τῶν ἐπικειμένων δουλειῶν ὅτι χρὴ πρὸ ἡμέρας ταύτης λελογισμένως τυποῦν καὶ διατιθέσθαι . . 124 LE LIVRE-JOURNAL DE MAÎTRE UGO TERALH, NOTAIRE ET DRAPIER À FORCALQUIER (1330-1332), PAR M. PAUL MEYER. tion Les fragments qui seront publiés à la suite de cette notice sont assurément, malgré les mutilations qu'ils ont subies, l'un des documents les plus intéressants qu'on puisse consulter sur l'histoire du commerce dans le midi de la France vers le premier tiers du xive siècle. Ils ont été sauvés de la destrucpar une circonstance qui prouve le peu de cas qu'on en faisait, et qui en a cependant assuré la conservation. Au cours de recherches dans les archives de la petite ville de Forcalquier, mon attention se porta sur le plus ancien des registres des délibérations municipales (BB 431), qui contient les procèsverbaux des séances du conseil de la ville depuis le 31 mai 1474 jusqu'au 19 mai 1496. La couverture de ce volume, qui a le format d'un grand in-quarto (30 centimètres de hauteur sur 21 de largeur), est formée d'une feuille de parchemin pliée en double, dont l'un des côtés, plus long que l'autre, se rabat de façon à protéger la tranche longitudinale du livre. Je remarquai, au toucher, que dans l'intérieur de cette couverture on avait introduit, afin de lui donner plus de consistance, plusieurs feuillets d'un papier épais. Ayant entr'ouvert le parchemin, je vis que ces feuillets contenaient des articles ayant l'apparence de comptes, et rédigés le plus souvent en provençal, parfois en latin; je distinguai même quelques lignes d'hébreu. J'obtins, grâce à l'intervention du Ministère de l'instruction publique, la communication à XXXVI. 17 IMPRIMERIE NATIONALE. Paris de ce registre. Je n'eus rien de plus pressé que de détacher la couverture de parchemin qui, du reste, ne tenait au registre que par quelques bouts de ficelle; je dépliai le parchemin et je retirai les feuillets de papier qui s'y trouvaient enfermés. Ces feuillets étaient en fort mauvais état, déchirés par place, et en maint endroit troués par les lanières de cuir qui consolidaient cette reliure d'un caractère très primitif. M. le Directeur des Archives voulut bien les faire réparer dans l'atelier des Archives nationales, et maintenant ils forment un cahier de vingt feuillets (dix feuillets doubles) qui prendront place dans la série II des archives de Forcalquier. Pour avoir été solidement réparés, ces feuillets n'en restent pas moins presque tous incomplets. Ils ont été rognés dans le sens de la longueur, de telle sorte que chaque feuillet double déployé n'a plus que 32 ou 33 centimètres de largeur, tandis qu'il en devrait avoir environ 44. Deux feuillets simples seulement, ceux qui sont cotés xxvij et xxviij, ont leurs dimensions normales (22 centim.); par compensation, la partie correspondante de chacun d'eux (ff. xxij et xviij) n'a plus que 115 millimètres. Il résulte de cet état de choses que tous les feuillets (sauf ceux numérotés xxvij et xxviij) ont perdu, au recto, une partie de leur côté droit et au verso une partie de leur côté gauche. De plus, çà et là, des déchirures ont enlevé quelques mots du texte. Enfin, beaucoup de pages sont tachées au point que des lignes entières sont devenues illisibles. Toutefois, en des cas nombreux, il est possible de combler, soit partiellement, soit même entièrement, ces lacunes. Le texte offre en effet la répétition très fréquente de certaines formules, et, lorsqu'une lacune correspond à une de ces formules, la restitution offre peu de difficultés. Les mots ainsi rétablis sont imprimés, dans le texte ci-après publié, en italique. Ces vingt feuillets, plus ou moins bien conservés, doivent être placés les uns dans les autres, de manière à former un seul cahier, d'une grosseur assez inusitée, qui, dans son intégrité, était composé de 22 feuilles de papier, soit de 44 feuillets. Les vingt qui subsistent sont ainsi numérotés : j, ij, iij, iiij, xvij, xviij, xix, xxj, xx, xxij, xxiij, xxiv, xxv, xxvj, xxvij, xxviij, lj, lij, liij, liiij. Les quatre derniers numéros sont visiblement inexacts. Le milieu du cahier étant entre les folios xxij et xxiij, le cahier complet ne pouvait avoir que 44 feuillets. C'est donc par erreur que les quatre derniers ont été cotés lj, lij, liij, liiij, au lieu de xlj, xlij, xliij, xliiij. |
