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LA COMT. Qu'est-ce que c'est donc que vous me regardez toute effarée? ANDRÉE. Madame........ La C. Hé bien, Madame? Qu'y a-t-il ?A. C'est que.... LA C. Quoi? A. C'est que je n'ai point de bougie (VIII, 566, 567, Escarb. 1).

Mais que diantre est-ce là, qu'avec tant de rudesse

Il nous fait au logis garder notre maîtresse? (III, Éc. d. f. 419.)
ARIS. Est-ce qu'elle balance? CHRYS. En aucune façon.

ARIS. Quoi donc? CHRYS. C'est que pour gendre elle m'offre un autre homme (IX, F. sav. 647).

ARG. Qu'est-ce? vous voilà toute ébaubie? ANGEL. C'est, mon père, que je connois que vous avez parlé d'une personne, et que j'ai entendu une autre (IX, 298, Mal. im. I, v; cf. IX, 345, 381, 382).

LÉL. Que puis-je donc pour toi? MASC. C'est que de votre père

Il faut absolument apaiser la colère (I, Ét. 1127).

GERONIMO. Dites-moi seulement votre affaire. SGAN. C'est que je veux savoir de vous si je ferai bien de me marier (IV, 19. Mar, f. 1).

VAL. Que regardes-tu là?

...

MASC. C'est qu'il sent le bâton du côté que voilà (I, Dép. a. 156).

Je ne vous ai point mandé de nouvelles du diamant...; mais c'est que j'ai eu toutes les peines du monde à vaincre son scrupule (VIII, 121, Bourg. g. III, vi).

Et afin... que vous puissiez avoir l'esprit tout à fait content,... c'est que nous nous servirons du même notaire pour nous marier (VIII, 208, Bourg. g. V, sc. dern. : note). Je n'ai qu'une chose à vous dire, c'est que...

Si vous jugez de lui tout autrement que nous,

C'est que nous le voyons par d'autres yeux que vous (IX, F. sav. 1264). Voy. VI, 580, G. D. III, vI (Dandin); V, Mis. 240; IX, 371, Mal. im. II, VI (Béline).

VAD. Je ne sais donc comment se fit l'affaire.

TRISS. C'est qu'on fut malheureux de ne pouvoir vous plaire (LX, F. sav. 1002 note). L'affaire eut lieu ainsi par ce fait qu'on fut.... Et si c'étoit qu'à moi la chose pût tenir,

Moi-même... on me verroit... (V, Mis. 1195). Et s'il se trouvait qu'à Encore si c'étoit qu'on ne fût qu'à la chasse

[moi... Des lièvres, des lapins, et des jeunes daims, passe (IV, Pr. d'É. 177). Ce n'est pas que mon cœur veuille ici se défendre [De.....] (VI, Mélic. 495). Ce n'est pas qu'avec tout cela votre fille ne puisse mourir, mais au moins vous aurez fait quelque chose (V, 330, Am. méd. II, v).

Ce n'est pas qu'en effet, dans le fond de son cœur,

Il ne tienne de vous des semences d'honneur (I, Ét. 326).

Moi aussi je suis pour Artémius]. Ce n'est pas que son avis, comme on a vu, n'ait tué le malade et que celui de Théophraste ne fût beaucoup meilleur assurément (V, 323, Am. méd. II, 11I).

Comparez les expressions suivantes :

Ce que j'en ai dit, n'est pas que je vous presse (I, Dép. a. 170).

On lui a pris... son argent, et il n'est pas que vous ne sachiez quelques nouvelles de cette affaire (VII, 181, Av. V, 11).

Et n'étoit que ses mains sont un peu trop pesantes,

J'en serois fort satisfait (VI, Amph. 787).

Non que j'y croie, au fond, l'honnêteté blessée (V, Mis. 905).

d) Ce, faux sujet, annonçant une proposition conjonctive vrai sujet.

Ce seroit une chose plaisante si les malades guérissoient, et qu'on m'en vint remercier (V, 135, D. Juan, III, 1; cf. Dép. a. 557, 558).

... C'est mon sentiment qu'en faits, comme en propos,

La science est sujette à faire de grands sots (IX, F. sav. 1283; cf. 93).

C'est tant mieux que les choses soient de la sorte (IX, 296, Mal. im. I, v). N'est-ce pas assez que les savants voient... les dissensions qui sont entre nos auteurs... sans découvrir encore... au peuple, par nos débats... (V, 336, Am. méd. III, 1.)

N'est-ce pas pour s'applaudir, que ce que nous aimons soit trouvé fort aimable? (VI, 248, Sic. vI.)

Ah! ce m'est un dépit à me désespérer, qu'une autre ait l'avantage de soumettre ce cœur (IV, 201, Pr. d'É. ÍV, 11).

Je trouve que c'est renchérir sur le ridicule, qu'une personne se pique d'esprit et ne sache pas..... (II, 81, Préc. 1x).

Voyez au Lexique à QUE des phrases du genre de celles-ci :

Voilà qui m'étonne, qu'en ce pays-ci les formes de la justice ne soient point observées (VII, 320, Pourc. III, 1).

Cela est étrange, qu'on ne puisse avoir en province un laquais qui sache son monde (VIII, 562, Escarb. 11).

10° C'est, est-ce..., servant à mettre en relief, en tête de la phrase, l'attribut, le sujet, les régimes.

a) C'est..., relevant l'attribut,

aa) le sujet étant un infinitif précédé de QUE DE, de QUE, ou de DE : Voyez d'autres exemples ci-après à INFINITIF, aux PRONOMS RELATIFS, et aussi dans le Lexique à QUE.

C'est trop que de nous supplanter, et de nous supplanter avec nos propres habits (II, 113, Préc. xv).

C'est trop que de vouloir le battre en ma présence (I, Ét. 1055). Cf. : Appelez-vous, Monsieur, être à vos vœux contraire

Que de leur arracher ce qu'ils ont de vulgaire,

Et vouloir les réduire à cette pureté...? (IX, F. sav. 1190.)

Ce n'est pas tout que d'être civil... (IX, 281, Mal. im. I, 1).

C'est... que de... et un infinitif, voy. en prose: V, 90 (Sgan.), 151 (D. Carl.). D. Juan, I, II et III, m; V, 305, Am. med. I, 1 (Luer.); VI, 249, Sic. vi (Isid.); IX, 314 (Le Not.), 344 (Cléan.), 369 (Angél.), Mal. im. I, vïI, II, II, et vi; en vers: I, Dép. a. 1171 et 1172; IX, F. sav. 75 et 76, 91 et 92, 261. Ce n'est guère pour avoir le teint frais... que se lever ainsi (VI, 245, 246, Sic. vI).

Et d'un esprit méchant n'est-ce pas un effet

Que feindre d'ignorer ce que vous m'avez fait? (III, Fách. 230.)

Voy. encore pour le même tour avec un infinitif accompagné de que seul II, D. Garc. 289 et 290, 353, 1005; II, Éc. d. m. 156 et 157; III, Éc. d. f. 1668 et 1669; IV, Tart. 1506; V, Mis. 641.

Et c'est tout ce que vous pourriez faire de la croire, si je vous l'avois dite moi-même (IV, 203, Pr. d'É. IV, Iv).

J'avois songé en moi-même que c'auroit été une bonne affaire de pouvoir introduire ici un médecin à notre poste (IX, 392, Mal. im. III, 11). Où est-ce donc que nous sommes ? et quelle audace est-ce là à une coquine de servante de parler de la sorte devant son maître? (IX, 304, Mal. im. I, v.)

Et ce vous est une honte

De n'avoir pas été plus prompte

A le remercier de ses fameux bienfaits (III, Rem au R. 6 et 7).

C'est blesser la loi naturelle

De laisser passer des moments

Que l'on peut se rendre si charmants (IX, 591, Interm, nouv. du Mar. f.).

:

Voy. encore le même tour avec un infinitif accompagné d'un de seul II, D. Garc. 1054 et 1055; II, Éc. d. m. 418 et 419, 1011; III, Éc. d. f. 101 et 102; IX, F. sav. 857 et 858, 1062 et 1063.

LEX. DE M.

E

ab) le sujet (nom ou pronom) étant précédé de QUE :

Ce n'étoit qu'agréments et que charmes que toute sa personne (VIII, 416, Scap. I, II).

...

Ce n'est mon fait pas les choses d'esprit (F. sav. 730). que [g. I, 1). Ce nous est une douce rente que ce Monsieur Jourdain (VIII, 47, Bourg. Dans les discours et dans les choses, ce sont deux sortes de personnes que vos grands médecins (IX, 401, Mal. im. III, II). Quelle perte est-ce que la sienne? et de quoi servoit-il sur la terre? (IX, Mais est-ce une raison que leur peu d'équité [429, Mal. im. III, x11).

Pour vouloir se tirer de leur société? (V, Mis. 1559.)

C'est une chose épouvantable que ce qu'on nous fait à tous deux (VIII, 127, Bourg. g. III, 1x).

Mais si ce n'est pas de l'amour que ce que je sens maintenant, qu'est-ce donc que ce peut-être? (IV, 206, Pr. d'É. IV, vi.)

ac) QU'EST-CE QUE..., QU'EST-CE QUE C'EST QUE..., VOILA CE que c'est QUE..., QU'EST-CE À DIRE, C'EST À DIRE :

Qu'est-ce que cela? vous riez (IX, 294, Mal. im. I, v).

Eh la, eh la! Qu'est-ce que c'est donc? (IX, 310, Mal. im. I, vI.)
Qu'est-ce que c'est que cette logique? (VIII, 82, Bourg. g. II, iv.)

Qu'est-ce que c'est donc, mon mari, que cet équipage là? (VIII, 102,
Bourg. g. III, 11.) Cf. VI, 551 (Angél.), G. D. II, 111.

Qu'est-ce que c'est donc qu'il y a, mon petit fils? (IX, 306, Mal. im. I, vi.) GER. Qu'avez-vous fait dans mon absence? LÉAN. Que voulez-vous, mon père, que j'aye fait? GER. Ce n'est pas moi qui veux que vous ayez fait, mais qui demande ce que c'est que vous avez fait (VIII, 442, Scap. II, 11). Savez-vous, vous, ce que c'est que vous dites à cette heure?... Je vous demande ce que c'est que les paroles que vous dites ici.... Je vous demande ce que je parle avec vous, ce que je vous dis à cette heure, qu'est-ce que c'est? (VIII, 105, Bourg. g. III, m.)

Vous ne savez pas ce que c'est qu'un mari qu'on aime tendrement (IX, 317, Mal. im. I, vii; cf. IX, 348, 35g).

Je ne sais ce que c'est, je ne fais que bailler (I, Ét. 1438).

Si vous sûtes jamais ce que c'est qu'être père... (I, Ét. 807). Cf. III, Éc.

Voilà ce que c'est que d'étudier... (IX, 353, Mal. im. II, v). [d. f. 108. Voilà ce que c'est que

du monde! (II, 115, Préc. xvI.)

Voilà ce que c'est de s'amuser (III, 430, Impr. v).

Avec ellipse de ce :

Voilà, voilà que c'est de ne voir pas Jeannette (I, Ét. 1595).

Comment, qu'est-ce à dire cela? (VI, 588, G. D. III, vII.)

Puisque je rends le bien pour le mal, c'est à dire, Madame, pour m'expliquer plus clairement, puisque... (VIII, 577, Escarb. Billet de M. Tibaudier).

b) C'est..., relevant le sujet.

C'est mon esprit qui parle, et ce n'est pas mon cœur (IX. F. sav. 1524). Si vous étiez en pays de droit écrit, cela se pourroit faire, mais... dans les pays coutumiers, c'est ce qui ne se peut (IX, 313, Mal. im. I, vII). Il faut que ce soit elle, avec une parole,

Qui trouve les moyens de le faire en aller (II, D. Garc, 1218).

Ce n'est plus que la ruse aujourd'hui qui l'emporte (V, Mis. 1557).

Ce ne fut que la curiosité d'une vieille tante qui nous fit accorder la liberté d'aller à cette comédie... (IX, 338, Mal. im. II, 1).

N'est-ce que le motif que nous venons d'entendre

Qui vous fait résister à l'hymen de Clitandre? (IX, F. sav. 1755.)
Est-ce jeu? dites-nous, ou bien si c'est folie

Qui traite de défunt une personne en vie? (I, Ét. 591.)

c) C'est, est-ce, qu'est-ce que, relevant le régime direct.

Vous raillez. Ce n'est pas Henriette qu'il aime? (IX, F. sav. 359.)
Quel garant est-ce encor que votre amour demande? (I, Dép. a. 101.)
Fi!... quelles sottises est-ce que vous lui apprenez là? (VIII, 587, Escarb.
VII.)

Combien est-ce qu'il faut mettre de grains de sel dans un œuf? (IX, 376,
Mal, im. II, vi.)

Qu'est-ce que cette instance a dû vous faire entendre? (IV, Tart. 1434.) Cf. I, Dép. a. 891.

d) C'est..., relevant un régime indirect: 1° C'EST DE.... QUE, C'EST À... QUE, ou par attraction, c'EST DE... dont, c'est à... à qui; 2° C'est..... de qui, C'EST... À QUI, C'EST... APRÈS QUOI.

C'est de ces seuls trésors que je suis amoureux (IX, F. sav. 1475).

A qui est-ce donc que je parle? (VIII, 562, Escarb. 11.)

Ce n'est pas de ces sortes de respect dont je vous parle (VI, 546, G. D. II, II: note).

Puis-je au moins croire que ce soit à vous à qui je doive la pensée de... ? (V, 345, Am. méd. III, v1.)

C'est à sa table à qui l'on rend visite (V, Mis. 626).

Monsieur, ce n'est pas cela dont il est question (VI, 60, Méd. m. l. I, v: cf. VI, Amph. 1272).

Ce n'est pas vous, Madame, dont il est amoureux (VII, 411, Am. magn. Est-ce vous de qui l'audace insigne

...

Met en jeu mon honneur...? (I, Dép. a. 981.)

[II, II).

C'est moi, vous dis-je, moi dont le patron le sait (I, Dép. a. 947). C'est moi de qui le patron le sait, ou, suivant l'autre tour, C'est de moi que le patron le sait, le tient.

Ce n'est pas ma femme, c'est ma fille à qui vous parlez (IX, 351, Mal. im. II, v).

Ce n'est pas le bonheur après quoi je soupire (IV, Tart. 926).

CHRYS... Je crois qu'il est bon de pourvoir Henriette,

De choisir un mari.... PHILAM. C'est à quoi j'ai songé (IX, F. sav. 629). C'est ce à quoi...

e) C'est..., relevant un complément circonstanciel.

PHILAM.... Holà! pourquoi donc fuyez-vous?

HENR. C'est de peur de troubler un entretien si doux (IX, F. sav. 726). Et c'est injustement qu'on se plaint d'un malheur,

Quand un autre plus grand s'offre à notre douleur (II, D. Garc. 874).

Et c'est après cinq jours de nocturnes visites,

Tandis que vous serviez à mieux couvrir leur jeu,

Que depuis avant-hier ils sont joints de ce nou (I, Dép. a. 302-304).
Où est-ce donc qu'il peut être? (VI, 107, Méd. m. 1. III, rv).

N'est-ce pas par le père qu'il convient commencer? (IX, 349, Mal. im. II, v.)
Ce sont les noms des mots, et l'on doit regarder

En quoi c'est qu'il les faut faire ensemble accorder (IX, F. sav. 502). SGAN. Il faut voir de quoi est-ce qu'elle est malade (VI, 100, Méd. m. l. III, I note).

... C'est dans votre cour que j'en viens d'accoucher (IX, F. sav. 722). Dans l'exemple suivant où a été employé au lieu de que:

Et c'est dans cette allée où devoit être Orphise (III, Fách. 116).
C'est à ces actions que la gloire les porte! (V, Mis. 1518.)

Mais si c'est une femme à qui va ce billet (V, Mis. 1344).

11° Quelques exemples remarquables d'accord du verbe après ce (c'est, ce sont).

ARISTI. Est-il possible que jusqu'ici vous n'ayez ou connoître où penche

l'inclination d'Eriphile? IPHI. Ce sont obscurités pour moi (VII, 401, Am. magn. I, 11).

Cette nouvelle fête de Versailles le montre pleinement: Ce sont des prodiges et des miracles, aussi bien que le reste de ses actions [du Roi] (VI, 600, Gr. Div. roy.).

C'est un grand charme que les louanges (III, 341, Crit. v1).

PHILAM. Ce sont charmes pour moi que ce qui part de vous (IX, F.

sav. 714: note). Cf. les deux ex. suivants où ce n'a pas été employé : Ce que je vous dis là ne sont pas des chansons (III, Éc. d. f. 729). Comme tout ce qu'il y a d'agréable [dans la pièce] sont... les idées qui ont été prises de Molière... (III, 425, Impr. v).

BEL. Ce sont repas friands qu'on donne à mon oreille (IX, F. sav. 716).
Ce n'étoit qu'agréments et que charmes que toute sa personne (VIII,
Tous les discours sont des sottises,
[416, Scap. I, 11).

Partant d'un homme sans éclat;

Ce seroit [éd. de 1682 seroient] paroles exquises

Si c'étoit un grand qui parlât (VI, Amph. 841).

Remuant les mains contre sa tête, comme si c'étoit des ailes (VIII, 184, Bourg. g. Cérém. turque, texte de 1682).

Et ce n'est que les actions qui les découvrent différents [les hommes] (VII, 54, Av. I, 1).

(Ce style figuré) Sort du bon caractère et de la vérité;

Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure (V, Mis. 387).

Si je ne les voyois tous deux, je croirois que ce n'est qu'un (IX, 417, Mal. im. III, 1x).

Si quelque chose étoit capable de le dégoûter de faire des comédies, c'étoit les ressemblances qu'on y vouloit toujours trouver (III, 413, Les vœux les plus ardents que mon cœur puisse faire,

C'est que son bras encor sur un perfide sang

Puisse aider à ce frère à reprendre son rang (II, D. Garc. 133).

Et les plus prompts moyens de gagner leur faveur
C'est de flatter toujours le foible de leur cœur,

D'applaudir en aveugle à ce qu'ils veulent faire,

[Impr. IV).

Et n'appuyer jamais ce qui peut leur déplaire (II, D. Garc. 418-421).

Les conditions de cet accord, c'est le mariage de vous et d'elle (VIII, 596, Escarb. sc. dern.).

(VII). Fi!... quelles sottises est-ce que vous lui apprenez là? (VIII, 587, Escarb.

12° Ce qui, ce dont, ce que, ce que de....

Et pourquoi voulez-vous penser ce qui n'est pas? (IX, F. sav. 310.) Pour ce qui est des qualités requises pour le mariage,... il est tel qu'on le peut souhaiter (IX, 358, Mal, im. II, v; cf. IX, 397).

A ce que je puis voir, ma fille, je n'ai que faire de vous demander si vous voulez bien vous marier (IX, 294, Mal. im. I, v).

Mais vous ne seriez pas ce dont vous vous vantez,

Si ma mère n'eût eu que de ces beaux côtés (IX, F. sav. 77).

...

De quel prix doit être... à mon âme

Tout ce dont son caprice a pu flatter ma flamme (I, Dép. a. 1222).
Et tous ces fameux demi-dieux.... Ne sont point à notre pensée
Louis est à nos yeux (IX, 266, Ier Prol. du Mal, im.).

Ce que Je trouve... qu'il y a de la lâcheté à déguiser ce que le Ciel nous a fait naître (VIII, 142, Bourg. g. III, xII). Notre naissance, notre condition Est-ce qu'il y a une personne qui soit plus véritablement qu'elle ce qu'on appelle précieuse? (III, 317, Crit. 11.)

...

Ce que j'en ai dit, n'est pas que je vous presse (I, Dép. a. 170). Je vois qu'il en est ce que l'on m'a pu dire (III, Éc. d. f. 336). Ce qu'il dit, que fait-il à la chose? (IX, 412, Mal. im. III, vi.)

...

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