A MEILLEUR MARCHÉ QUE LES CONTREFAÇONS BELGES. COLLECTION DES MEILLEURS OUVRAGES Français et Étrangers, Anciens et Modernes, publiée dans le format anglais, par CHARPENTIER, éditeur. MADAME DE STAEL. CORINNE, avec une préface de M. Sainte-Beuve, 1 vol. 3 50 DELPHINE, avec une préface de M. Sainte-Beuve, 4 vol............. 3 50 DE L'ALLEMAGNE, avec une préface de M. X. Marmier. 1 vol................. 3 50 XAVIER DE MAISTRE. OEUVRES COMPLÈTES, Voyage autour de ma Chambre. Expédition nocturne. Le Lépreux. - Les Prisonniers du Caucase. -La Jeune Sybérienne, 1 vol............. GOETHE. THEATRE, traduction nouvelle, avec une préface et des notes, par M. X. Marmier, 1 vol 3.50 3 50 WERTHER, traduction de M. P. Leroux; suivi de Hermann et Doro- 3 50 M. DE BALZAC. EUGÉNIE GRANDET, vol.. PHYSIOLOGIE DU MARIAGE, 1 vol.. LE MÉDECIN DE CAMPAGNE, 4 vol... SCÈNES DE LA VIE PRIVÉE, première série, 1 vol... - LES MÊMES, deuxième série, 1 vol.. ... SCÈNES DE LA VIE DE PROVINCE, première série, 1 vol.. LES MEMES, deuxième série, 1 vol... SCÈNES DE LA VIE PARISIENNE, première série, 1 vol.. LES MÊMES, deuxième série, 1 vol....... LA RECHERCHE DE L'ABSOLU, 1 vol... 3 50 3 50 3.50 3.50 3 50 3 50 .... 3 50 3 50 3 50 .... 3 50 HISTOIRE DES TREIZE, 4 vol.... notice sur l'auteur, par M. le baron Richerand; suivie d'un ap- L'ABBÉ PRÉVOST. MANON LESCAUT, nouvelle édition, précédée d'un travail BENJAMIN CONSTANT. ADOLPHE, suivi de deux autres ouvrages du même 3 50 3 50 3 50 3 50 écrivain, et d'un Essai sur Adolphe, par M. Gustave Planche, 1 vol. 3 50 GOLDSMITH. LE VIGAIRE DE WAKEFIELD, traduction nouvelle, par ma dame Louise Belloc; précédée d'une notice sur la vie et les ou- Chaque ouvrage en un seul volume. Imprimé par BETHUNE et PLON. 3 50 PRÉFACE. On trouvera ici réunies toutes les poésies que j'ai publiées en volumes jusqu'à ce jour, augmentées du petit nombre de celles qui me restaient à recueillir. Elles forment un ensemble qui se complète assez bien, et auquel j'aurai désormais très-peu à ajouter. Je suis trop rapproché encore des moments où elles naquirent, pour me permettre moi-même de les juger. De mes divers recueils, le public (je dois l'avouer) n'a paru accueillir d'une manière un peu marquée que celui des Consolations; je continuerai d'espérer du moins qu'on voudra bien réserver quelque attention aux autres parties comme à des études sérieuses et franches, et à des tentatives d'art sévère en des cadres limités. Je les reproduis dans leur forme toute première sans me hasarder à des corrections presque toujours impossibles et qui ne feraient que surcharge sur les défauts. En publiant ces poésies complètes et en les donnant comme un dernier mot, je ne prétends pas renoncer à la poésie sans doute; mais je compte désormais la contenir de plus en plus et, pour ainsi dire, la réduire en moi au strict nécessaire du cœur. Je n'aurais d'ailleurs rien de nouveau, je le sens, à présenter au public, et |