Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif, et annotés, pour en faciliter l'intelligenceAlexander G. Collot D. Appleton et compagnie, 1847 - 521 pages |
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Page 67
... âme sensible de ta mère . ” Ainsi l'aîné ? l'enseigne ? ... Il faut que je m'éclaircisse davantage . " Tu as toujours été soumis , respectueux : je te rends ce témoignage avec des larmes de joie . Continue , mon fils , de- viens un ...
... âme sensible de ta mère . ” Ainsi l'aîné ? l'enseigne ? ... Il faut que je m'éclaircisse davantage . " Tu as toujours été soumis , respectueux : je te rends ce témoignage avec des larmes de joie . Continue , mon fils , de- viens un ...
Page 68
... âme au lieu de la flétrir . " Tu me marques à la fin de ta lettre , que tous tes cama- rades ont une montre . Je vois qu'il t'en faudrait une aussi ; cependant tu brises là - dessus , ' et tu me caches le désir que tu en as . Cette ...
... âme au lieu de la flétrir . " Tu me marques à la fin de ta lettre , que tous tes cama- rades ont une montre . Je vois qu'il t'en faudrait une aussi ; cependant tu brises là - dessus , ' et tu me caches le désir que tu en as . Cette ...
Page 79
... âme no- ble ou très - corrompue . On ne saurait soupçonner un fils né de tels parens . Non sans doute . Ainsi , monsieur , que pour- rait - on faire pour vous ? Un grade de plus ne vous avance- rait pas beaucoup . Qu'en pensez - vous ...
... âme no- ble ou très - corrompue . On ne saurait soupçonner un fils né de tels parens . Non sans doute . Ainsi , monsieur , que pour- rait - on faire pour vous ? Un grade de plus ne vous avance- rait pas beaucoup . Qu'en pensez - vous ...
Page 101
... âme , Et tu ne nous en parlais pas ! Auguste . C'est qu'en pensant à cette flamme , Je me la reprochais tout bas . Oui , de l'aimer à la folie Je m'accusais .... car c'est , hélas ! Le premier bonheur de ma vie Que vous ne partagerez ...
... âme , Et tu ne nous en parlais pas ! Auguste . C'est qu'en pensant à cette flamme , Je me la reprochais tout bas . Oui , de l'aimer à la folie Je m'accusais .... car c'est , hélas ! Le premier bonheur de ma vie Que vous ne partagerez ...
Page 106
... âme soit tranquille , et la vôtre ne l'est pas . Il m'a serré la main en me disant : Docteur , vous avez raison ! Eh bien ! lui ai - je répondu , commençons par là ? Mettez - vous d'abord en paix avec vous - même , cela vous regarde ...
... âme soit tranquille , et la vôtre ne l'est pas . Il m'a serré la main en me disant : Docteur , vous avez raison ! Eh bien ! lui ai - je répondu , commençons par là ? Mettez - vous d'abord en paix avec vous - même , cela vous regarde ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 338 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 455 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 341 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 340 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 446 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 410 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 357 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 323 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 338 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 423 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.