Joannis Baptistæ Santolii Victorini operum omnium editio tertia ..Apud Spiritum Billiot, 1729 |
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... ses Poëfies , à laquelle font à la fin les Elegies du P. Becan a été imprimée chez les freres Barbou en 1723 . ( b ) Jacobus Vallius , Jefuite , fut contemporain du P. Sidro- nius Hoflchius . Ces deux Au- theurs ont fait plufieurs Ele ...
... ses Poëfies , à laquelle font à la fin les Elegies du P. Becan a été imprimée chez les freres Barbou en 1723 . ( b ) Jacobus Vallius , Jefuite , fut contemporain du P. Sidro- nius Hoflchius . Ces deux Au- theurs ont fait plufieurs Ele ...
Page 137
... Ses foins dans cet Etat veillent de toutes parts , Pour accroître l'honneur des lettres Des vers , & du langage , des arts , Voyant que de Louis les glorieux deftins Ont à fon regne accordé l'avantage Sur les ouvrages des Latins ...
... Ses foins dans cet Etat veillent de toutes parts , Pour accroître l'honneur des lettres Des vers , & du langage , des arts , Voyant que de Louis les glorieux deftins Ont à fon regne accordé l'avantage Sur les ouvrages des Latins ...
Page 148
... ses titres glorieux ? Puiffantes Deitez que le Parnaffe adore . La France vous revere , & l'on la deshonore , Declarez vous pour elle , & qu'on fçache en tous lieux Que vous l'avez instruite au langage des Dieux . Dites qu'il lui fuffit ...
... ses titres glorieux ? Puiffantes Deitez que le Parnaffe adore . La France vous revere , & l'on la deshonore , Declarez vous pour elle , & qu'on fçache en tous lieux Que vous l'avez instruite au langage des Dieux . Dites qu'il lui fuffit ...
Page 180
... ses yeux S'il ne quitte la route où ce guide l'invite , Son erreur dans un fleuve enfin le précipite . De mon égarement telle eût été la fin ; Quand , pour m'en garantir , t'offrant fur mon chemin Ou t'emportent ( dis tu ) tes ardeurs ...
... ses yeux S'il ne quitte la route où ce guide l'invite , Son erreur dans un fleuve enfin le précipite . De mon égarement telle eût été la fin ; Quand , pour m'en garantir , t'offrant fur mon chemin Ou t'emportent ( dis tu ) tes ardeurs ...
Page 192
... extrême , Quand parut à fes yeux la Nature elle - même Avec tous les appas , & tous les agrémens , Qu'elle laisse entrevoir aux yeux de ses amans ; A cultiver fon Art flateufe elle l'exhorte , Et pour 492 DISPUTATIO SECUNDA ,
... extrême , Quand parut à fes yeux la Nature elle - même Avec tous les appas , & tous les agrémens , Qu'elle laisse entrevoir aux yeux de ses amans ; A cultiver fon Art flateufe elle l'exhorte , Et pour 492 DISPUTATIO SECUNDA ,
Fréquemment cités
Page 209 - ... m'en étais flatté; je crois que vous êtes assez convaincu de tous les sentiments par lesquels je vous suis attaché pour ne pas douter que je n'aie été très-sensible à ce contretemps; il ne me reste maintenant d'autre espérance de vous revoir que chez vous, et je ne l'ai pas encore perdue. Je vous remercie de tout mon cœur de ce que vous me promettez de faire pour moi dans l'occasion; c'est une marque de votre amitié qui m'est très-sensible, quoiqu'elle ne me soit pas nouvelle. L'élection...
Page 243 - C'est à vous à sonder le fond de votre cœur, pour savoir si vous étiez dans les sentimens qu'un Serviteur de Dieu (a), pour qui vous aviez de la vénération, vous avoit inspirés ; car sans cela, que vous serviroit de proposer aux autres les Vérités chrétiennes dans les plus beaux Vers du monde, si vous-même ne les pratiquez pas ? Je prie donc Dieu, Monsieur, qu'il vous en donne le désir et l'effet. Je suis très sincèrement votre très obéissant serviteur.
Page 342 - Non , Santeuil n'eft pas un fou /non : Mais la Province eft une foie. Ces derniers vers le mirent bien fort en colère, mais il fut aifé de le radoucir à la faveur de cette explication.
Page 245 - Poètes sont éperdument amoureux de leurs productions, et l'on ne fait guères de jugemens téméraires, quand on les accuse de vaine gloire. Je n'ai donc que des grâces à vous rendre pour votre piété qui s'est alarmée à mon sujet. C'est ainsi qu'un Pape écrivit à un Archevêque de Vienne en Dauphiné, qui préféroit aux saintes fonctions de sa charge pastorale, la lecture des Poètes anciens ; bien différent de S.
Page 165 - Des roses et des lis le plus superbe éclat , Sans la fable, en nos vers, n'aura rien que de plat. Qu'on y peigne en savant une plante nourrie Des impures vapeurs d'une terre pourrie, Le portrait plaira-t-il , s'il n'a pour agrément Les larmes d'une amante ou le sang d'un amant ? Qu'aura de beau la guerre , à moins qu'on n'y crayonne Ici le char de Mars , là celui de Bellone , Que la Victoire vole , et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la nymphe à cent voix.?