Joannis Baptistæ Santolii Victorini operum omnium editio tertia ..Apud Spiritum Billiot, 1729 |
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... Lettre n'a donc pú fléchir votre rigueur ? Et je n'ai pas fçu l'art d'amollir votre cœur ? Cruelle ! L'amitié que vous m'aviez jurée , S'eft donc entiérement loin de vous retirée ? De votre petit Chien vous n'avez plus de foin ; Et vous ...
... Lettre n'a donc pú fléchir votre rigueur ? Et je n'ai pas fçu l'art d'amollir votre cœur ? Cruelle ! L'amitié que vous m'aviez jurée , S'eft donc entiérement loin de vous retirée ? De votre petit Chien vous n'avez plus de foin ; Et vous ...
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... LETTRE DE M. DE SANTEUL A SON ALTESSE SERENISSIME MONSEIGNEUR LE DUC DU MAINE : A CHANTILLY . MONSEIGNEUR , Mon petit Chien vient à vous pour être careffé . Il vit encore après avoir été écorché , Madame la PRINCESSE n'ayant pas répondu ...
... LETTRE DE M. DE SANTEUL A SON ALTESSE SERENISSIME MONSEIGNEUR LE DUC DU MAINE : A CHANTILLY . MONSEIGNEUR , Mon petit Chien vient à vous pour être careffé . Il vit encore après avoir été écorché , Madame la PRINCESSE n'ayant pas répondu ...
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... LETTRE DE MADAME LA DUCHESSE DU MAINE 7 A M. DE SANTEUL . A Marly ce 22. Avril . E fuis fort mal contente de toutes les injures que vous me dites , fsachez qu'un bienfait reproché tient tou- jours lieu d'offenfe , c'est pourquoi je ne ...
... LETTRE DE MADAME LA DUCHESSE DU MAINE 7 A M. DE SANTEUL . A Marly ce 22. Avril . E fuis fort mal contente de toutes les injures que vous me dites , fsachez qu'un bienfait reproché tient tou- jours lieu d'offenfe , c'est pourquoi je ne ...
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Jean de Santeul. DE LETTRE MONSIEUR PERLAN A M. DE SANTEUL . EST - il poffible qu'il y ait des perfonnes qui condam- nent la derniere Piece de Monfieur de Santeul , & qui la foutiennent indigne de lui , comme s'il n'étoit ... LETTRE ...
Jean de Santeul. DE LETTRE MONSIEUR PERLAN A M. DE SANTEUL . EST - il poffible qu'il y ait des perfonnes qui condam- nent la derniere Piece de Monfieur de Santeul , & qui la foutiennent indigne de lui , comme s'il n'étoit ... LETTRE ...
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... LETTRE DE MONSIEUR L'ABBE DE FENELON . A Verfailles ce 18. Octobre 1696 . JE E vous fuis fert obligé , Monfieur , des beaux Vers dont vous m'avez fait part . Peu s'en faut que je ne fçache bon gré à Monfieur l'Abbé Aubery de nous avoir ...
... LETTRE DE MONSIEUR L'ABBE DE FENELON . A Verfailles ce 18. Octobre 1696 . JE E vous fuis fert obligé , Monfieur , des beaux Vers dont vous m'avez fait part . Peu s'en faut que je ne fçache bon gré à Monfieur l'Abbé Aubery de nous avoir ...
Fréquemment cités
Page 209 - ... m'en étais flatté; je crois que vous êtes assez convaincu de tous les sentiments par lesquels je vous suis attaché pour ne pas douter que je n'aie été très-sensible à ce contretemps; il ne me reste maintenant d'autre espérance de vous revoir que chez vous, et je ne l'ai pas encore perdue. Je vous remercie de tout mon cœur de ce que vous me promettez de faire pour moi dans l'occasion; c'est une marque de votre amitié qui m'est très-sensible, quoiqu'elle ne me soit pas nouvelle. L'élection...
Page 243 - C'est à vous à sonder le fond de votre cœur, pour savoir si vous étiez dans les sentimens qu'un Serviteur de Dieu (a), pour qui vous aviez de la vénération, vous avoit inspirés ; car sans cela, que vous serviroit de proposer aux autres les Vérités chrétiennes dans les plus beaux Vers du monde, si vous-même ne les pratiquez pas ? Je prie donc Dieu, Monsieur, qu'il vous en donne le désir et l'effet. Je suis très sincèrement votre très obéissant serviteur.
Page 342 - Non , Santeuil n'eft pas un fou /non : Mais la Province eft une foie. Ces derniers vers le mirent bien fort en colère, mais il fut aifé de le radoucir à la faveur de cette explication.
Page 245 - Poètes sont éperdument amoureux de leurs productions, et l'on ne fait guères de jugemens téméraires, quand on les accuse de vaine gloire. Je n'ai donc que des grâces à vous rendre pour votre piété qui s'est alarmée à mon sujet. C'est ainsi qu'un Pape écrivit à un Archevêque de Vienne en Dauphiné, qui préféroit aux saintes fonctions de sa charge pastorale, la lecture des Poètes anciens ; bien différent de S.
Page 165 - Des roses et des lis le plus superbe éclat , Sans la fable, en nos vers, n'aura rien que de plat. Qu'on y peigne en savant une plante nourrie Des impures vapeurs d'une terre pourrie, Le portrait plaira-t-il , s'il n'a pour agrément Les larmes d'une amante ou le sang d'un amant ? Qu'aura de beau la guerre , à moins qu'on n'y crayonne Ici le char de Mars , là celui de Bellone , Que la Victoire vole , et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la nymphe à cent voix.?