L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7 à 81787 |
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... avoit en lui de plus étonnant , « c'étoit » une facilité pour l'étude des langues , qui tenoit du prodige . Une faga- cité fingulière à faifir le rapport » des idées , & des expreffions qui » les figurent , à fuivre , pour ainfi » dire ...
... avoit en lui de plus étonnant , « c'étoit » une facilité pour l'étude des langues , qui tenoit du prodige . Une faga- cité fingulière à faifir le rapport » des idées , & des expreffions qui » les figurent , à fuivre , pour ainfi » dire ...
Page 43
... avoit obtenue . Sa réputation naiffante , accompagnée de la plus » rare modeftie , jettoit une lumière » fi douce , que les yeux même de » l'envie n'en furent pas bleffés . Du → moins elle fe tut , peut - être par la » crainte de lui ...
... avoit obtenue . Sa réputation naiffante , accompagnée de la plus » rare modeftie , jettoit une lumière » fi douce , que les yeux même de » l'envie n'en furent pas bleffés . Du → moins elle fe tut , peut - être par la » crainte de lui ...
Page 44
... avoit & une fois choifis ils pouvoient » compter fur un attachement invin- » cible , fur la fidélité la plus invio . lable , & fur un cœur fenfible qui » le faifoit exifter dans fes amis au- » tant que dans lui - même . Ils pou ...
... avoit & une fois choifis ils pouvoient » compter fur un attachement invin- » cible , fur la fidélité la plus invio . lable , & fur un cœur fenfible qui » le faifoit exifter dans fes amis au- » tant que dans lui - même . Ils pou ...
Page 45
feffeur fi diftingué avoit répandue dans toute la màifon . » Qu'ai - je befoin d'en dire da- vantage ? Quel langage pourroit » être plus éloquent que ces foupirs » qui vous échappent , & ces pleurs » que fon nom feul vous fait répandre ...
feffeur fi diftingué avoit répandue dans toute la màifon . » Qu'ai - je befoin d'en dire da- vantage ? Quel langage pourroit » être plus éloquent que ces foupirs » qui vous échappent , & ces pleurs » que fon nom feul vous fait répandre ...
Page 59
» hommes . Rome , en fubjuguant la Judée , avoit compté le Dieu des Juifs parmi les Dieux qu'elle avoit » vaincus . Le vouloir faire règner » c'étoit renverfer les fondemens de l'Empire , c'étoit haïr les victoires » & la puiffance du ...
» hommes . Rome , en fubjuguant la Judée , avoit compté le Dieu des Juifs parmi les Dieux qu'elle avoit » vaincus . Le vouloir faire règner » c'étoit renverfer les fondemens de l'Empire , c'étoit haïr les victoires » & la puiffance du ...
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Expressions et termes fréquents
accufations affez Agathocle ainfi auffi auroit avoient avoit Banau beau befoin Bothnel Bufte c'eft c'eſt c'étoit caufe ceffe Chivot chofe Comédie Comte Comte de Murray Confeil confidérable connoiffance défirer Dieu difcours diftingués efprit Elifabeth enfans enfuite eſt étoient étoit faifant fans doute fçait fçavans fçavant fcène feconde femble fenfible fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fociété foible foient foit folides font fous fouvent François ftrophe ftyle fuccès fuis fuivi fujet fur-tout génie Goldoni Gourcy goût Henri Stuart hommes intéreffant jufqu'à jufte Juvigny L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffa LETTRE lorfque luxe Marcion Marie Marie Stuart modeftie mœurs Moliere Monfieur Murray n'eft n'eſt obfervations Orgon ouvrage paffer paffions paroît penfe perfonne peuple Philofophes phyfique Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëte préfent prefque Prince public puiffe raifon refpect refte Reine d'Ecoffe richeffes Rouffeau rue des Mathurins s'eft talens Tartuffe tion ufage vertus כל
Fréquemment cités
Page 303 - Apollon , & Neptune» Qui fur ces Rocs fourcilleux , Ont , compagnons de fortune , Bâti ces murs orgueilleux? De leur enceinte fameufe La Sambre , unie à la Meufe , Défend le fatal abord : Et par cent bouches horribles , L'airain fur ces monts terribles Vomit le fer & la mort. Dix mille vaillans Alcides, Les bordant de toutes parts...
Page 265 - Adieu , plaisant pays de France : O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu , France , adieu nos beaux jours ! La nef qui déjoint nos amours N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 208 - Et lui dit, parlant un peu gras , L'ayant pris par le bout du bras (C'est par la main que je veux dire) : Comment vous portez-vous, beau sire?
Page 205 - Le but moral de ce genre d'écrits est de faire voir que tous les objets ont deux faces , de déconcerter la vanité humaine, en présentant les plus grandes choses et les plus sérieuses d'un côté ridicule et bas , et en prouvant à l'opinion qu'elle tient souvent à des formes.
Page 357 - La vraie manière d'apprendre une langue quelconque, vivante ou morte, par le moyen de la langue Française,
Page 169 - C'est, dit-il , fermer les yeux à la lumière que de ne pas voir que l'institution de la société est le résultat d'une nécessité physique.
Page 316 - Votre grand cœur , fans doute , attend après mes pleurs , » Pour aller , dans fes bras , jouir de mes douleurs ; « Chargé de tant d'honneur , il veut qu'on le revoie...
Page 293 - Dieux dans fon bonheur peuvent -ils l'égaler ? Je fens de veine en veine une fubtile flamme , Courir par tout mon corps, fitôt que je te vois : Et dans les doux tranfports , où s'égare mon ame, Je ne faurois trouver de langue , ni de voix.
Page 303 - L'airain sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Dix mille vaillants Alcides , Les bordant de toutes parts , D'éclairs au loin homicides Font pétiller leurs remparts...