Les principes de la philosophie: Première partie, Partie 1Ch. Delegrave, 1885 - 147 pages |
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... contraire d'une clarté et d'une distinction parfaites ; ils sont tous connus par eux - mêmes et ne contiennent rien de faux ; nous les connaissons d'une vue immé- diate , par une intuition évidente . dépendent . Cette même lumière nous ...
... contraire d'une clarté et d'une distinction parfaites ; ils sont tous connus par eux - mêmes et ne contiennent rien de faux ; nous les connaissons d'une vue immé- diate , par une intuition évidente . dépendent . Cette même lumière nous ...
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... contraire ils ont mieux aimé croire que c'était leur corps qu'ils voyaient de leurs yeux , qu'ils tou- chaient de leurs mains , et auquel ils attribuaient mal à propos la faculté de sentir , ils n'ont pas connu dis- tinctement la nature ...
... contraire ils ont mieux aimé croire que c'était leur corps qu'ils voyaient de leurs yeux , qu'ils tou- chaient de leurs mains , et auquel ils attribuaient mal à propos la faculté de sentir , ils n'ont pas connu dis- tinctement la nature ...
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... contraire elle y est empreinte par une nature immuable et vraie , et qui doit nécessairement exister , parce qu'elle ne peut être conçue qu'avec une existence nécessaire 1 . 1. Je voulus chercher après cela d'autres vérités ; et m'étant ...
... contraire elle y est empreinte par une nature immuable et vraie , et qui doit nécessairement exister , parce qu'elle ne peut être conçue qu'avec une existence nécessaire 1 . 1. Je voulus chercher après cela d'autres vérités ; et m'étant ...
Page 56
... contraire , la volonté étant de sa nature très étendue 1 , ce nous est un avantage très grand de pou- voir agir par son moyen , c'est - à - dire librement ; en sorte que nous soyons tellement les maîtres de nos actions , que nous sommes ...
... contraire , la volonté étant de sa nature très étendue 1 , ce nous est un avantage très grand de pou- voir agir par son moyen , c'est - à - dire librement ; en sorte que nous soyons tellement les maîtres de nos actions , que nous sommes ...
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... contraire . Par exemple , lorsque quelqu'un sent une douleur cuisante , la connaissance qu'il a de cette douleur est claire à son égard , et n'est pas pour cela toujours dis- tincte , parce qu'il la confond ordinairement avec le faux ...
... contraire . Par exemple , lorsque quelqu'un sent une douleur cuisante , la connaissance qu'il a de cette douleur est claire à son égard , et n'est pas pour cela toujours dis- tincte , parce qu'il la confond ordinairement avec le faux ...
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Expressions et termes fréquents
âme Amsterdam apercevons Aristote attributs avons c'est-à-dire cannelées cartésienne cause certitude claires et distinctes clarté Clerselier Cogito comètes concevoir concevons connaissance connaissons connaître considérer considérons corporelle corps dur couleur croire D'où vient déduit dépendent Descartes différence doute méthodique éléments entendement ergo sum esprit états de conscience étendue étoiles fixes évident existe existence figure idée claire infinie intel j'ai jugements l'aimant l'âme l'autre l'entendement l'erreur l'esprit l'étendue l'existence de Dieu l'idée Lett libre arbitre lumière malin génie mathéma mathématiques matière Méd ment métaphysique meut monde mouvement mouvement propre mouvoir n'y a rien nature nécessaire objets obscures et confuses pables parfait parfaite perfection peuvent phénomènes philosophie physique planètes pôles pouvons premier principe propriétés puisse quelquefois raison réalité réel remarquons sagesse Saturne saurait saurions savoir science scolastique semble sens sentiments servons seulement simples soleil sorte substance sujet pensant tence terre tincte tions triangle triangle rectangle tromper vement vérité volonté vrai
Fréquemment cités
Page vii - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si directement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 21 - Ainsi toute la philosophie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page x - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 34 - Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde, ni aucun lieu où je fusse...
Page 43 - Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût en effet plus parfaite.
Page 32 - Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu'il n'y avait aucune chose qui fût telle qu'ils nous la font imaginer...
Page 59 - Ce qui fait que nous avons bien assez d'intelligence pour connaître clairement et distinctement que cette puissance est en Dieu, mais que nous n'en avons pas assez pour comprendre tellement son étendue que nous puissions savoir comment elle laisse les actions des hommes entièrement libres et indéterminées ; et que, d'autre côté, nous sommes aussi tellement assurés de la liberté et de l'indifférence qui est en nous, qu'il n'ya rien que nous connaissions plus clairement; de façon que la...
Page 10 - ... ne consiste qu'en une ferme volonté de bien faire, et au contentement qu'elle produit. Dont la raison est que je ne remarque aucun autre bien qui me semble si grand, ni qui soit entièrement au pouvoir d'un chacun. Car, pour les biens du corps et de la fortune, ils ne dépendent point absolument de nous ; et ceux de l'âme se rapportent tous à deux...
Page 67 - Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont.
Page 118 - ... qui est porté par eux jusqu'à la faculté que nous avons de penser, doit avouer, au contraire, qu'aucunes idées des choses ne nous sont représentées par eux telles que nous les formons par la pensée ; en sorte qu'il n'ya rien dans nos idées qui ne soit naturel à l'esprit ou à la faculté qu'il a de penser, si seulement on excepte certaines circonstances qui n'appartiennent qu'à l'expérience. Par...