Oeuvres complètes, Volume 3 |
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Page 26
... encens ; Fille du ciel , Vérité sainte , Descends de la céleste enceinte , Pèse à ton poids mes purs accents . Les vertus , et non pas la mitre , Font la grandeur des vrais prélats : C'est peu d'en porter le beau titre , Si les.
... encens ; Fille du ciel , Vérité sainte , Descends de la céleste enceinte , Pèse à ton poids mes purs accents . Les vertus , et non pas la mitre , Font la grandeur des vrais prélats : C'est peu d'en porter le beau titre , Si les.
Page 28
... encens du monde , Et les premiers trônes des cieux . Oh ! qui te rendra ces oracles , Église , immuable Sion ? Ne verras - tu plus leurs miracles Sur ta fidèle nation ? Comme une veuve infortunée , A tes malheurs abandonnée , Languiras ...
... encens du monde , Et les premiers trônes des cieux . Oh ! qui te rendra ces oracles , Église , immuable Sion ? Ne verras - tu plus leurs miracles Sur ta fidèle nation ? Comme une veuve infortunée , A tes malheurs abandonnée , Languiras ...
Page 36
... Formez un nuage d'encens ; Deux jeunes saints ont droit d'attendre Vos hommages reconnaissants : A leur héroïque courage L'univers a vu que votre âge , Capable d'illustres travaux , Peut aux enfers livrer la guerre 36 ODE V.
... Formez un nuage d'encens ; Deux jeunes saints ont droit d'attendre Vos hommages reconnaissants : A leur héroïque courage L'univers a vu que votre âge , Capable d'illustres travaux , Peut aux enfers livrer la guerre 36 ODE V.
Page 59
... ma peinture : Du fade encens de l'imposture Ton goût fut toujours ennemi ; Ma voix n'est , dans ce chant lyrique , Que l'écho de la voix publique , Et n'a répété qu'à demi . ODE IX . - SUR LA CONVALESCENCE DU ROI . AU ROI STANISLAS . 59.
... ma peinture : Du fade encens de l'imposture Ton goût fut toujours ennemi ; Ma voix n'est , dans ce chant lyrique , Que l'écho de la voix publique , Et n'a répété qu'à demi . ODE IX . - SUR LA CONVALESCENCE DU ROI . AU ROI STANISLAS . 59.
Page 78
... encens : Chez les nymphes de ce rivage , Berger français , gagne un suffrage Qui manque encore à tes accents . Sous quelque langue qu'elle chante , Ta muse aura ton air charmant : Telle qu'une beauté touchante Qui plaît sous tout ...
... encens : Chez les nymphes de ce rivage , Berger français , gagne un suffrage Qui manque encore à tes accents . Sous quelque langue qu'elle chante , Ta muse aura ton air charmant : Telle qu'une beauté touchante Qui plaît sous tout ...
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Expressions et termes fréquents
aimable amant amour Amphion antres Apollon arts autels beauté beaux jours belle bergers bois bonheur bords brillant champêtre chansons chants charmes chassez ma tendresse cher ciel cieux citoyens cœur concerts Corydon DAMÈTE Daphnis déesse dieu dieux douleur doux Édouard Édouard III ÉGLOGUE Élysée encens enchantés esprit Eurotas fleurs flûte Gallus génie gloire Glycère goût graces Gresset hameaux hautbois héros hêtre heureux illustre immortels j'ai l'ame l'amour l'art l'Énéide l'harmonie l'univers langage langue larmes lauriers lois long-temps Lycoris lyre malheurs Mantoue MÉLIBÉE MÉNALQUE messieurs mœurs monieuses MOPSUS mort mortel muse musique nature noble nuit nymphes ombres paisible pasteur patrie peuple plaisir plaisirs poésie premier puissance enchanteresse Ramenez mon berger regrets rien rivage rives rois sages science secours sentiment seul siècle silence Silène sombres soupirs souvent sublimes Syrinx talents temple tendre Thrace Tibre Tityre tombeau triste trône troupeaux TYRCIS vérité vertus Virgile vois voix yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 205 - Eh ! comment aimer autre chose A quatorze ans, à quatorze ans? Je mets plus d'art à ma coiffure; Je ne sais quoi vient m'inspirer : N'est-ce donc que pour la figure Qu'on aime tant à se parer? Toutes les nuits, quand je repose, Je rêve, mais à des rubans. Eh ! comment rêver d'autre chose A quatorze ans, à quatorze ans? Une rose venait d'éclore ; Je l'observais sans y songer : C'était au lever de l'Aurore; Le Zéphir vint la caresser.
Page 175 - IIs ignoraient les arts pénibles Et les travaux nés du besoin ; Des arts enjoués et paisibles La culture fit tout leur soin. La tendre et touchante harmonie A leurs jeux doit ses premiers airs ; A leur noble et libre génie Apollon doit ses premiers vers. On ignorait dans leurs retraites Les noirs chagrins , les vains désirs, Les espérances inquiètes, Les longs remords des courts plaisirs.
Page 311 - ... de leurs froides plaisanteries , si les gens sensés et vertueux , si les écrivains dignes de servir la religion , si les ames honnêtes et pieuses que j'ai pu scandaliser, voient mon humble désaveu avec cette satisfaction pure que fait naître la vérité dès qu'elle se montre. Je profite de cette occasion pour rétracter aussi solennellement tout ce que j'ai pu écrire d'un ton peu réfléchi dans les bagatelles rimées dont on a multiplié les éditions sans que j'aie jamais été dans...
Page 332 - ... pour des riens, on se dit charmé, pénétré, comblé, transporté, enchanté, ou désolé, excédé, confondu, désespéré, anéanti; on est aux nues, ou l'on se prosterne; on est à vos ordres, à vos pieds , sans se soucier de vous le moins du monde; on vous adore sans même vous respecter : dans la prétention de ne penser que fortement , de ne rien voir qu'en grand , on veut mettre à tout l'air de l'enivrement ou de la détestation , et...
Page 356 - ... moment Négligeant assez librement Et le costume et la nuance , Au lieu d'écrire sombrement Du ton doctoral et charmant De la moderne suffisance, J'ai fait parler tout bonnement , Ensemble et sans air d'importance La raison et l'amusement. Je sais que l'actuel usage N'est pas de penser...
Page 178 - Vit pasteur sans jouir de vous. Ne peins-je point une chimère ? Ce charmant siècle at-il été ? D'un auteur témoin oculaire En sait-on la réalité ? J'ouvre les fastes sur cet âge , Par-tout je trouve des regrets; Tous ceux qui m'en offrent l'imago Se plaignent d'être nés après.
Page 195 - Qu'il m'est doux de pouvoir leur rendre un témoignage Dont l'intérêt, la crainte et l'espoir sont exclus ! A leur sort le mien ne tient plus, L'impartialité va tracer leur image. Oui, j'ai vu des mortels, j'en dois ici l'aveu, Trop combattus, connus trop peu; J'ai vu des esprits vrais, des cœurs incorruptibles, Voués à la patrie, à leurs rois, à leur Dieu, A leurs propres maux insensibles, Frodigues de leurs jours, tendres, parfaits amis, Et souvent bienfaiteurs paisibles De leurs plus fougueux...
Page 194 - Oui, même en la brisant, j'ai regretté ma chaîne , Et je ne me suis vu libre qu'en soupirant. Je dois tous mes regrets aux sages que je quitte ; J'en perds avec douleur l'entretien vertueux; Et, si dans leurs foyers désormais je n'habite, Mon cœur me survit auprès d'eux ; Car...
Page 363 - Sous un coloris de candeur ; Et j'ai dit au fond de mon cœur : Heureux qui dans la paix secrète D'une libre et sûre retraite Vit ignoré, content de peu, Et qui ne se voit point sans cesse Jouet de l'aveugle déesse Ou dupe de l'aveugle Dieu...
Page 261 - ... instant du jour la nature vous répétera par toutes ses voix que l'harmonie est un présent qu'elle a reçu des cieux pour charmer ses ennuis et pour faciliter ses travaux : ainsi tout chante dans sa peine. Que font dans leurs fatigues tant d'hommes que le besoin condamne à souffrir pour d'autres hommes , et dont les mains , la liberté , et les jours sont vendus à des maîtres ? que fait le laboureur matinal en traçant ses pénibles sillons , le...