Le Robinson suisse, ou, Journal d'un père de famille naufragé avec ses enfans, Volume 4Louis Hauman et Compe, 1833 |
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Page 39
... femme et mes enfans à voir non - seulement sans effroi , mais encore avec admiration , ces grands chocs des élémens et ces convul- sions de la nature . Le vent qui agitait la mer intérieurement ne soufflait pas encore sur la terre ; la ...
... femme et mes enfans à voir non - seulement sans effroi , mais encore avec admiration , ces grands chocs des élémens et ces convul- sions de la nature . Le vent qui agitait la mer intérieurement ne soufflait pas encore sur la terre ; la ...
Page 41
... femme ; elle était sans connaissance et ne s'aperçut pas même que je la soulevais dans mes bras . Elle retomba comme ... femmes et des mères ! » Ils s'avançè- rent avec un effroi que la vue de la pâleur de leur mère et ses yeux fermés ...
... femme ; elle était sans connaissance et ne s'aperçut pas même que je la soulevais dans mes bras . Elle retomba comme ... femmes et des mères ! » Ils s'avançè- rent avec un effroi que la vue de la pâleur de leur mère et ses yeux fermés ...
Page 45
... femme , je jugeai que la saignée pouvait être renvoyée ; je fus doublement aise ; j'avais encore un tremblement général , qui aurajt rendu cette opération très - difficile et dan- gereuse . Je me bornai donc à lui faire pré- parer par ...
... femme , je jugeai que la saignée pouvait être renvoyée ; je fus doublement aise ; j'avais encore un tremblement général , qui aurajt rendu cette opération très - difficile et dan- gereuse . Je me bornai donc à lui faire pré- parer par ...
Page 50
... femme dor- mait paisiblement ; Ernest , assis à terre entre des calebasses d'eau , continuait ses immersions , et m'assurait qu'il en était sou- lagé . Je crus donc pouvoir quitter un mo- ment mes deux malades ; je dis à mon fils de m ...
... femme dor- mait paisiblement ; Ernest , assis à terre entre des calebasses d'eau , continuait ses immersions , et m'assurait qu'il en était sou- lagé . Je crus donc pouvoir quitter un mo- ment mes deux malades ; je dis à mon fils de m ...
Page 56
... femme , si nous y étions obligés pendant qu'elle était malade ; je le dis à Fritz . « N'ayez pas peur , mon père , me répondit - il , nous en vien- drons bien à bout ; Ernest et moi nous som- mes forts à présent , et nous porterons ma ...
... femme , si nous y étions obligés pendant qu'elle était malade ; je le dis à Fritz . « N'ayez pas peur , mon père , me répondit - il , nous en vien- drons bien à bout ; Ernest et moi nous som- mes forts à présent , et nous porterons ma ...
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Le Robinson suisse, ou, Journal d'un père de famille naufragé avec ..., Volume 4 Johann David Wyss,Johann Rudolf Wyss Affichage du livre entier - 1833 |
Le Robinson suisse: ou, Journal d'un père de famille naufragé avec sa femme ... Johann David Wyss Affichage du livre entier - 1834 |
Le Robinson suisse; ou, Journal d'un père de famille naufragé avec ..., Volume 4 Johann David Wyss Affichage du livre entier - 1841 |
Expressions et termes fréquents
agouti aller arbres arran arriver assez aurait avaient avais avions baie bambous beau bientôt bonne mère bout branches buffle c'était caisse calebasse canot capitaine Johnson casoar chaloupe charmant chercher chère amie ciel çois côté d'avoir d'eau devant Dieu dis-je dit-il donner enfans espèce étions Falkenhorst femme fil de fer fontaines Fran Franciade frères Fritz et Jack fûmes fût galerie gner gros grosses grotte Ernestine hamacs île j'ai j'avais j'en j'étais j'eus jambe jardin jolie jour karatas l'âne l'eau l'orage laisser lendemain long-temps m'assurait maman mencer ment mieux MONTOLIEU moulin n'avait onagre outils pable palmier-dattier panier papa passer pauvre Ernest pavillons peine penser père petit François petit poulet pied plaisir planches pluie pouvait prince Jack provision restait retourner en Europe revins rien Robinson rocher rochers ruisseau sera seulement soigner soufflet de forge surprise tamarinier tempête terre theim tonnerre travailler trouvai tuyaux vaisseau vent veux voulais Zeltheim