Mélanges de littérature et de critiqueCharpentier, 1866 |
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... . DON JUAN . LEPORELLO . « La baronne de Valmont , » DON JUAN . Quelle paire de moustaches elle avait ! LEPORELLO . « Henriette de Merteuil , sans date . » Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Miss Julia 120 MÉLANGES DE LITTÉRATURE .
... . DON JUAN . LEPORELLO . « La baronne de Valmont , » DON JUAN . Quelle paire de moustaches elle avait ! LEPORELLO . « Henriette de Merteuil , sans date . » Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Miss Julia 120 MÉLANGES DE LITTÉRATURE .
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Alfred de Musset. Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Miss Julia Pipty . » DON JUAN . Charmante fille ! elle était bête comme une oie . LEPORELLO . « Jeanne trois étoiles . >> DON JUAN . C'était un lundi gras . LEPORELLO . « La marquise de ...
Alfred de Musset. Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Miss Julia Pipty . » DON JUAN . Charmante fille ! elle était bête comme une oie . LEPORELLO . « Jeanne trois étoiles . >> DON JUAN . C'était un lundi gras . LEPORELLO . « La marquise de ...
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... Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Trois figurantes ; Emma , modiste ; une sœur de charité , inconnue . » Et DON JUAN . que te reste - t - il pour avoir voulu te désaltérer tant de fois ? Une soif ardente , ô mon Dieu ! Leporello laisse ...
... Passe . DON JUAN . LEPORELLO . « Trois figurantes ; Emma , modiste ; une sœur de charité , inconnue . » Et DON JUAN . que te reste - t - il pour avoir voulu te désaltérer tant de fois ? Une soif ardente , ô mon Dieu ! Leporello laisse ...
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... passe , Leporello ; j'aime assez en hiver la neige où personne n'a marché . LEPORELLO . Voici donc une jeune fille bien élevée , dûment ta- lonnée par une gouvernante pourvue de lunettes bleues . DON JUAN . Oh ! c'est trop long , il ...
... passe , Leporello ; j'aime assez en hiver la neige où personne n'a marché . LEPORELLO . Voici donc une jeune fille bien élevée , dûment ta- lonnée par une gouvernante pourvue de lunettes bleues . DON JUAN . Oh ! c'est trop long , il ...
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... passés ; nos romans en parlent parfois la langue ; nos tableaux ont suivi la mode , et nos musiciens eux - mêmes pourraient finir par s'y sou- mettre . Où voit - on un peintre , un poëte préoccupé de ce qui se passe , non pas à Venise ...
... passés ; nos romans en parlent parfois la langue ; nos tableaux ont suivi la mode , et nos musiciens eux - mêmes pourraient finir par s'y sou- mettre . Où voit - on un peintre , un poëte préoccupé de ce qui se passe , non pas à Venise ...
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Oeuvres completes de Alfred de Musset: Mélanges de littérature et ..., Volume 9 Alfred de Musset Affichage du livre entier - 1881 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 228 - Ainsi croissaient ces deux enfants de la nature. Aucun souci n'avait ridé leur front; aucune intempérance n'avait corrompu leur sang; aucune passion malheureuse n'avait dépravé leur cœur: l'amour, l'innocence, la piété, développaient chaque jour la beauté de leur âme en grâces ineffables, dans leurs traits, leurs attitudes et leurs mouvements. Au matin de la vie, Ils en avaient toute la fraîcheur...
Page 211 - A ce propos, nous ne savions pas pourquoi ils n'en prônaient pas aussi bien quelque autre, malgré la beauté de celle-là ; mais, à tout prix, c'était une issue qui nous tirait du labyrinthe. « Mais, disait encore Cotonet, quelle invention peut-il y avoir à naturaliser une imitation? Les Allemands ont fait des ballades; nous en faisons, c'est à merveille; ils aiment les spectres, les gnomes, les goules, les psylles, les vampires, les squelettes, les ogres, les cauchemars, les rats, les aspioles,...
Page 210 - Nous crûmes, jusqu'en 1830, que le romantisme était l'imitation des Allemands, et nous y ajoutâmes les Anglais, sur le conseil qu'on nous en donna. Il est incontestable, en effet, que ces deux peuples ont dans leur poésie un caractère particulier, et qu'ils ne ressemblent ni aux Grecs, ni aux Romains, ni aux Français. Les Espagnols nous embarrassèrent, car ils ont aussi leur cachet, et il était clair que l'école moderne se ressentait d'eux terriblement.
Page 182 - Que le décor et les trompe-l'œil demandent une main habile, j'en conviens, et je suis prêt à rendre justice aux toiles de fond de nos théâtres, quoique je sois fermement persuadé qu'avec cette splendeur d'entourage il n'ya pas d'art dramatique possible. Mais composer un tableau de chevalet comme une scène de tragédie , c'est commettre une grande erreur.
Page 398 - Soit qu'elle le concentre, soit qu'elle l'épanche largement, elle en tire l'accent suprême : tantôt lui prêtant une vérité plus frappante que la parole, tantôt l'entourant d'un nuage aussi léger que la pensée, elle le précipite ou l'enlève ; parfois même elle le détourne, puis le ramène au thème favori, comme pour forcer l'esprit à se souvenir, jusqu'à ce que la Muse s'envole et rende à l'action passagère la place qu'elle a semée de fleurs...
Page 222 - Boileau, et la crainte du roi. Il fut effrayé d'y voir clair, quand on lui ôta l'éteignoir dont il avait fait son bonnet. Ébloui par les premières clartés du jour, il se mit à courir par les rues, et comme le soleil l'aveuglait, il prit la Porte-Saint-Martin pour une cathédrale et y entra avec ses poussins. Ce fut la mode de l'y aller voir; bientôt ce fut une rage, et, consolé de sa méprise, il commença à régner ostensiblement.
Page 214 - De 1833 à 1834, nous crûmes que le romantisme consistait à ne pas se raser, et à porter des gilets à larges revers, très-empesés.
Page 221 - ... l'empire, la gloire de la France ou la liberté, sûrs de plaire par le fond, ne s'embarrassèrent point de la forme. Mais il n'en fut pas de même de ceux qui chantaient le trône et l'autel ; ayant affaire à des idées rebattues et à des sentiments antipathiques à la nation , ils cherchèrent à rajeunir, par des moyens nouveaux , la vieillesse de leur pensée ; ils hasardèrent d'abord quelques contorsions poétiques, pour appeler la curiosité; elle ne vint pas, ils redoublèrent. D'étranges...
Page 214 - ... avons trouvé aucun autre signe particulier qui les distinguât. De 1832 à 1833, il nous vint à l'esprit que le romantisme pouvait être un système de philosophie et d'économie politique. En effet, les écrivains affectaient alors dans leurs préfaces (que nous n'avons jamais cessé de lire avant tout, comme le plus important) de parler de l'avenir, du progrès social, de l'humanité et de la civilisation; mais nous avons pensé que c'était la révolution de Juillet qui était cause de cette...
Page 335 - Si Melpomène veut reparaître sur nos théâtres, il faut qu'elle lave ses blessures. Ne serait-ce pas une belle chose que d'essayer si, de nos jours, la vraie tragédie pourrait réussir? J'appelle vraie tragédie, non celle de Racine, mais celle de Sophocle, dans toute sa simplicité, avec la stricte observation des règles.