Joannis Baptistæ Santolii Victorini operum omnium editio tertia ..Apud Spiritum Billiot, 1729 |
À l'intérieur du livre
Résultats 6-10 sur 70
Page 23
... point donnez › Et dans ces momens fortunez , C'étoit tendrelle pour tendresse . Quelquefois agacé j'aurois pú me vanger , L'amour me l'offroit fans danger : Mais ma dent n'eft pas fanguinaire . He ! quel mal l'amour peut - il faire ...
... point donnez › Et dans ces momens fortunez , C'étoit tendrelle pour tendresse . Quelquefois agacé j'aurois pú me vanger , L'amour me l'offroit fans danger : Mais ma dent n'eft pas fanguinaire . He ! quel mal l'amour peut - il faire ...
Page 30
... point le froid , non , cette peau fidelle Doit nourrir à jamais mon ardeur immortelle . Peut - être de la main polißant ce manchon , C'eft ta peau , direz vous , infortuné PLUTON ! Puiffe - je ainsi , pour vous furvivant à moi - même ...
... point le froid , non , cette peau fidelle Doit nourrir à jamais mon ardeur immortelle . Peut - être de la main polißant ce manchon , C'eft ta peau , direz vous , infortuné PLUTON ! Puiffe - je ainsi , pour vous furvivant à moi - même ...
Page 33
... point de Réponse . Cela nous fit croire qu'elle l'avoit aban- donnné je fis cette Piece & quoique Madame la PRINCESSE Laye rappellé de fon exil , c'est notre folie de ne vouloir rien perdre ; & tel Poëte voudroit que tout Paris fût ...
... point de Réponse . Cela nous fit croire qu'elle l'avoit aban- donnné je fis cette Piece & quoique Madame la PRINCESSE Laye rappellé de fon exil , c'est notre folie de ne vouloir rien perdre ; & tel Poëte voudroit que tout Paris fût ...
Page 34
... peine ai - je pû lire toutes vos injures . A Dieu Monfieur le Marquis , je ne vous pardonnerai point que vous ne me Soyez venu voir à Versailles . SALPETRIA . DE LETTRE MONSIEUR PERLAN A M. DE SANTEUL . EST 34 QUERIMONIE . LETTRE ...
... peine ai - je pû lire toutes vos injures . A Dieu Monfieur le Marquis , je ne vous pardonnerai point que vous ne me Soyez venu voir à Versailles . SALPETRIA . DE LETTRE MONSIEUR PERLAN A M. DE SANTEUL . EST 34 QUERIMONIE . LETTRE ...
Page 46
... point eu deffein d'offenfer fon ami , travailla à l'appai fer : il le fit noblement par cette Piece & les deux fuivan- tes . Rurfum redditus intimo fupremi Patris haufta finu ilicet renarras Arcana 46 QUERIMONIE , *A D. ...
... point eu deffein d'offenfer fon ami , travailla à l'appai fer : il le fit noblement par cette Piece & les deux fuivan- tes . Rurfum redditus intimo fupremi Patris haufta finu ilicet renarras Arcana 46 QUERIMONIE , *A D. ...
Fréquemment cités
Page 209 - ... m'en étais flatté; je crois que vous êtes assez convaincu de tous les sentiments par lesquels je vous suis attaché pour ne pas douter que je n'aie été très-sensible à ce contretemps; il ne me reste maintenant d'autre espérance de vous revoir que chez vous, et je ne l'ai pas encore perdue. Je vous remercie de tout mon cœur de ce que vous me promettez de faire pour moi dans l'occasion; c'est une marque de votre amitié qui m'est très-sensible, quoiqu'elle ne me soit pas nouvelle. L'élection...
Page 243 - C'est à vous à sonder le fond de votre cœur, pour savoir si vous étiez dans les sentimens qu'un Serviteur de Dieu (a), pour qui vous aviez de la vénération, vous avoit inspirés ; car sans cela, que vous serviroit de proposer aux autres les Vérités chrétiennes dans les plus beaux Vers du monde, si vous-même ne les pratiquez pas ? Je prie donc Dieu, Monsieur, qu'il vous en donne le désir et l'effet. Je suis très sincèrement votre très obéissant serviteur.
Page 342 - Non , Santeuil n'eft pas un fou /non : Mais la Province eft une foie. Ces derniers vers le mirent bien fort en colère, mais il fut aifé de le radoucir à la faveur de cette explication.
Page 245 - Poètes sont éperdument amoureux de leurs productions, et l'on ne fait guères de jugemens téméraires, quand on les accuse de vaine gloire. Je n'ai donc que des grâces à vous rendre pour votre piété qui s'est alarmée à mon sujet. C'est ainsi qu'un Pape écrivit à un Archevêque de Vienne en Dauphiné, qui préféroit aux saintes fonctions de sa charge pastorale, la lecture des Poètes anciens ; bien différent de S.
Page 165 - Des roses et des lis le plus superbe éclat , Sans la fable, en nos vers, n'aura rien que de plat. Qu'on y peigne en savant une plante nourrie Des impures vapeurs d'une terre pourrie, Le portrait plaira-t-il , s'il n'a pour agrément Les larmes d'une amante ou le sang d'un amant ? Qu'aura de beau la guerre , à moins qu'on n'y crayonne Ici le char de Mars , là celui de Bellone , Que la Victoire vole , et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la nymphe à cent voix.?