Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes qui ont amené la Révolution de 1789 et celles qui l'ont suivie, Volume 4 |
À l'intérieur du livre
Résultats 6-10 sur 45
Page 20
... nommé président du conseil , huit jours après l'assassinat du duc de Berri ,
dans un moment où des adresses de douleur et d'indignation arrivaient de toutes
les parties de la France , paraissait devoir à la nation d'exprimer ses sentiments
et ...
... nommé président du conseil , huit jours après l'assassinat du duc de Berri ,
dans un moment où des adresses de douleur et d'indignation arrivaient de toutes
les parties de la France , paraissait devoir à la nation d'exprimer ses sentiments
et ...
Page 24
Moi , roi , j'éloigne de moi une Chambre qui m'est dévouée par ses sentiments .
Au lieu d'en conserver les quatre cinquièmes , je vais appeler une Chambre
nouvelle . C'est une Chambre nouvelle , sans expérience qui a détruit la
monarchie ...
Moi , roi , j'éloigne de moi une Chambre qui m'est dévouée par ses sentiments .
Au lieu d'en conserver les quatre cinquièmes , je vais appeler une Chambre
nouvelle . C'est une Chambre nouvelle , sans expérience qui a détruit la
monarchie ...
Page 25
Car cette dissolution doit ranimer nécessairement en France des sentiments
opposés aux sentiments de ceux que je renvoie , de ceux que je déclare par cela
même contraires à mes opinions , à mon gouvernement . Voilà le danger auquel
je ...
Car cette dissolution doit ranimer nécessairement en France des sentiments
opposés aux sentiments de ceux que je renvoie , de ceux que je déclare par cela
même contraires à mes opinions , à mon gouvernement . Voilà le danger auquel
je ...
Page 31
... et appelait ses nobles sentiments des exagérations , comme le marquis de
Bonnay , diplomate de même force . Pauvres hommes ! qui ne se doutaient pas
que leurs dîners , leurs fêtes , leurs plaisanteries seraient bientôt suivis de
tempêtes ...
... et appelait ses nobles sentiments des exagérations , comme le marquis de
Bonnay , diplomate de même force . Pauvres hommes ! qui ne se doutaient pas
que leurs dîners , leurs fêtes , leurs plaisanteries seraient bientôt suivis de
tempêtes ...
Page 43
Nous confondîmes nos sentiments dans la même douleur ; mais en même temps
nous pensâmes qu'on devait voir dans cet attentat et montrer à la France l'effet
affreux des sentiments répandus par une faction qui avait tout le fanatisme d'une
...
Nous confondîmes nos sentiments dans la même douleur ; mais en même temps
nous pensâmes qu'on devait voir dans cet attentat et montrer à la France l'effet
affreux des sentiments répandus par une faction qui avait tout le fanatisme d'une
...
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes ..., Volume 3 Vincent Marie Viénot comte de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Mémoires sur la Révolution de France, Volume 1 Vincent Marie Viénot de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes ..., Volume 1 Vincent Marie Viénot comte de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Expressions et termes fréquents
affaires anglais années aurait avaient avant avons c'était capitalistes caractère cause cent cesse Chambre changements choses citer commerce conduite conseil contraire côté couronne cours d'autres déclaré demande députés dernier devait différence dire disait discours donner écrits effet élections emprunt ennemis envers esprit faction faisait force forme forte général gens gloire gouvernement guerre hommes idée inspirée intérêts j'ai journaux jours l'Angleterre l'esprit l'Etat l'opinion libéraux loin lois Louis Louis XVIII malheureux marche maxime ment milieu millions ministres monarchie montré moyen n'avait n'était noble nombre nommé nouvelle opinion pairs parler paroles particuliers pays pendant pensée personne peuple phrase place porter position pouvait pouvoir premier présenter prince prononcé provinces publique qu'un raison rappeler rapport remarquer rente répéter révolution rien royalistes s'il seconde sens sentiments serait seul sommes sorte souvent suite suivant sujet surtout système tion traité tribune trône trouver venait vérité voulait voyait
Fréquemment cités
Page 89 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Page 209 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 419 - Mais quand il se fait des brigues, des associations partielles aux dépens de la grande, la volonté de chacune de ces associations devient générale par rapport à ses membres, et particulière par rapport à l'Etat; on peut dire alors qu'il n'ya plus autant de votants que d'hommes, mais seulement autant que d'associations.
Page 399 - C'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours ; car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux.
Page 97 - Avant donc que d'écrire, apprenez à penser. Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 439 - ANNE d'AUTRICHE, on sait qu'avec le secret de cette princesse elle eut encore celui de tous les partis : tant elle était pénétrante, tant elle s'attirait de confiance, tant il lui était naturel de gagner les cœurs! Elle déclarait aux chefs des partis jusqu'où elle pouvait s'engager; et on la croyait incapable ni de tromper ni d'être trompée. Mais son caractère particulier était de concilier les intérêts opposés, et, en s'élevant au-dessus, de trouver le secret endroit, et comme le...
Page 438 - Palatine estimait autant la galanterie qu'elle en aimait le solide. Je ne crois pas que la reine Elisabeth d'Angleterre ait eu plus de capacité pour conduire un État. Je l'ai vue dans la faction, je l'ai vue dans le cabinet, et je lui ai trouvé partout également de la sincérité.
Page 295 - États, un chef illustre qui ne se servit jamais de son influence et de son autorité que pour soulager le malheur, désarmer la guerre de rigueurs inutiles, et couvrir les Français, surtout, de sa protection. » Le Roi m'a dit : « Allez vers cet homme célèbre, offrez-lui la paix, et , pour son pays, la prospérité et le bonheur.
Page 439 - Il n'est pas étonnant que le vulgaire .qui n'est pas digne de respecter des avantages si rares , soit l'admirateur de la finesse de caractère, qui n'est souvent que le fruit de l'attention fixe et suivie d'un esprit médiocre que l'intérêt anime, La finesse peut marquer de l'esprit ; mais elle n'est jamais dans un esprit supérieur, à moins qu'il ne se trouve avec un cœur bas. Un esprit supérieur dédaigne les petits ressorts, il n'emploie que les grands, c'est-à-dire les simples.
Page 123 - Si je m'en allois de moi-même, je ferois ce qu'ils auront peut-être de la peine à me faire faire. Quand on a un nombre raisonnable de troupes, on ne quitte pas un pays, encore que l'ennemi en ait beaucoup davantage. Je...