Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contuleritex Typis Gounouilhou, 1892 - 74 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 6-10 sur 31
Page 30
... societatis , eam noster quaestionem praeterit . Prioribus philosophis ea diffi- cultas non existebat , quippe qui jus ex unico principio deducerent . Si vero duo principia sunt , nostra vita in duos sensus , inter se saepe contrarios ...
... societatis , eam noster quaestionem praeterit . Prioribus philosophis ea diffi- cultas non existebat , quippe qui jus ex unico principio deducerent . Si vero duo principia sunt , nostra vita in duos sensus , inter se saepe contrarios ...
Page 32
... nec dubium est quin Galliam nostram , si formam quam sibi ipsa hodie dederit cognovisset , non inter Respublicas adnumerasset . ( 1 ) V. X , 8 , et V , 8 . Quod ad Monarchiam attinet , hanc societatis struc- turam apud 32 —
... nec dubium est quin Galliam nostram , si formam quam sibi ipsa hodie dederit cognovisset , non inter Respublicas adnumerasset . ( 1 ) V. X , 8 , et V , 8 . Quod ad Monarchiam attinet , hanc societatis struc- turam apud 32 —
Page 33
Émile Durkheim. Quod ad Monarchiam attinet , hanc societatis struc- turam apud magnos praesentis Europae populos unice reperit ( 1 ) . Eam enim antiquis populis necessario ignotam esse demonstrat ac primum apparuisse cum Germani in ...
Émile Durkheim. Quod ad Monarchiam attinet , hanc societatis struc- turam apud magnos praesentis Europae populos unice reperit ( 1 ) . Eam enim antiquis populis necessario ignotam esse demonstrat ac primum apparuisse cum Germani in ...
Page 39
... societatis compositionem , quae sine virtute homines cogit ut magna suscipiant , tantum miratur ut vitia quaedam facile ei condonet ( 3 ) . De Tyrannide brevius loquar quam Secundatus ipse ' minore cura videtur descripsisse . Ceterum ...
... societatis compositionem , quae sine virtute homines cogit ut magna suscipiant , tantum miratur ut vitia quaedam facile ei condonet ( 3 ) . De Tyrannide brevius loquar quam Secundatus ipse ' minore cura videtur descripsisse . Ceterum ...
Page 41
... societatis , ut ita dicam , cul- mine stet et corporis politici caput saepe neque imme- rito appelletur , ab eo omnia pendere existimantur . Adde quod , cum philosophi ad hoc tempus nihil aliud in politicis rebus reperissent quod per ...
... societatis , ut ita dicam , cul- mine stet et corporis politici caput saepe neque imme- rito appelletur , ab eo omnia pendere existimantur . Adde quod , cum philosophi ad hoc tempus nihil aliud in politicis rebus reperissent quod per ...
Autres éditions - Tout afficher
Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contulerit Emile Durkheim Affichage du livre entier - 1892 |
Expressions et termes fréquents
adeo aliquid Aristoteles c'est causa causis ceteris Ceterum civilia instituta conditionibus corporis politici cujus deductio deductione definitione Democratiae eamdem earum eorumdem essentia Etenim ethica exempli gratia experientia exprimunt facta fertilitas genera gouvernement despotique hanc contingentiam historia homines humanae igitur iisdem Immo institutioni ipsa Itaque juris legislatoris legum logica lois mathematico metaphysica methodo methodum Monarchia morbus mores moribus naturae leges necessario Nempe neque nihil aliud oeconomia ordinem certum PARISIENSI partes physica politica scientia politicae vitae politicarum rerum populi possit potest Praeterea principes principia principium procul abest quin propterea psychologia qu'il quaedam quamvis quanquam rationale Reipublicae Republica rerum connexiones rerum natura rerum observatione res politicas revera Sane scien Scientiae politicae scilicet Secun Secundato sine quadam sine ulla sint socie societas societatis forma societatis natura societatum species sola sponte suam sui juris tamen tantummodo universale esse posse vere videtur violari possunt vitae formas vitam
Fréquemment cités
Page 31 - La liberté politique ne se trouve que dans les gouvernements modérés. Mais elle n'est pas toujours dans les États modérés ; elle n'y est que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir ; mais c'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le dirait ! la vertu même a besoin de limites.
Page 33 - DANS les monarchies, la politique fait faire les grandes choses avec le moins de vertu qu'elle peut; comme, dans les plus belles machines, l'art emploie aussi peu de mouvements, de forces et de roues qu'il est possible.
Page 23 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux. Il faut donc avouer des rapports d'équité antérieurs à la loi positive qui les établit...
Page 20 - Avant toutes ces lois sont celles de la nature, ainsi nommées parce qu'elles dérivent uniquement de la constitution de notre être. Pour les connaître bien, il faut considérer un homme avant l'établissement des sociétés. Les lois de la nature seront celles qu'il recevrait dans un état pareil.
Page 31 - MONARCHIE les démocraties se perdent lorsque le peuple \^> dépouille le sénat, les magistrats et les juges de leurs fonctions, les monarchies se corrompent lorsqu'on ôte peu à peu les prérogatives des corps ou les privilèges des villes. Dans le premier cas, on va au despotisme de tous; dans l'autre, au despotisme d'un seul.
Page 32 - Le gouvernement monarchique suppose , comme nous avons dit , des prééminences, des rangs, et même une noblesse d'origine. La nature de l'honneur est de demander des préférences et des distinctions : il est donc, par la chose même, placé dans ce gouvernement.
Page 48 - ... physique suit les siennes. La raison en eSt que les êtres particuliers intelligents sont bornés par leur nature, et par conséquent sujets à l'erreur; et, d'un autre côté, il eSt de leur nature qu'ils agissent par eux-mêmes.
Page 44 - Dans la naissance des sociétés, dit Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l'institution, et c'est ensuite l'institution qui forme les chefs des républiques.
Page 32 - L'ambition est pernicieuse dans une république : elle a de bons effets dans la monarchie; elle donne la vie à ce gouvernement ; et on ya cet avantage qu'elle n'y est pas dangereuse, parce qu'elle y peut être sans cesse réprimée.
Page 53 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.