Le bourgeois gentilhomme:Les fourberies de Scapin:PsychʹeP. & F. Didot, 1813 |
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Page 221
... souffrir les rigueurs sans égales ; Et c'est trop de surcroît à ma vive douleur , Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , si j'eus jamais sur toi quelque crédit , Et si jamais je te fus chere , Si tu portes un cœur à sentir le dépit ...
... souffrir les rigueurs sans égales ; Et c'est trop de surcroît à ma vive douleur , Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , si j'eus jamais sur toi quelque crédit , Et si jamais je te fus chere , Si tu portes un cœur à sentir le dépit ...
Page 233
... souffrir de disposer de vous , J'ai deux sœurs capables de plaire , " Qui peuvent bien vous faire un destin assez doux ? Et l'amitié me rend leur personne assez chere Pour vous souhaiter leurs époux . CLÉOMENE . Un cœur dont l'amour est ...
... souffrir de disposer de vous , J'ai deux sœurs capables de plaire , " Qui peuvent bien vous faire un destin assez doux ? Et l'amitié me rend leur personne assez chere Pour vous souhaiter leurs époux . CLÉOMENE . Un cœur dont l'amour est ...
Page 273
... souffrir vos caresses , Disparoîtront en un moment . Vous savez comme nous ce que peuvent les charmes . PSYCHÉ . Que je sens à mon tour de cruelles alarmes ! AGLAURE . Notre amitié ne veut que votre bien . PSYCHÉ . Adieu , mes sœurs ...
... souffrir vos caresses , Disparoîtront en un moment . Vous savez comme nous ce que peuvent les charmes . PSYCHÉ . Que je sens à mon tour de cruelles alarmes ! AGLAURE . Notre amitié ne veut que votre bien . PSYCHÉ . Adieu , mes sœurs ...
Page 285
... souffrir , je ne souffrirois rien . Oui , destins , s'il calmoit cette juste colere , Tous mes malheurs seroient finis : Pour me rendre insensible aux fureurs de la mere Il ne faut qu'un regard du fils . Je n'en veux plus douter , il ...
... souffrir , je ne souffrirois rien . Oui , destins , s'il calmoit cette juste colere , Tous mes malheurs seroient finis : Pour me rendre insensible aux fureurs de la mere Il ne faut qu'un regard du fils . Je n'en veux plus douter , il ...
Page 288
... encor cent fois plus que ma vie , Et qui brises de si beaux noends ! Ne me fuis plus , et souffre que j'espere Que tu pourras un jour rabaisser l'œil sur moi , Qu'à force de souffrir j'aurai de quoi te plaire , 288 PSYCHÉ .
... encor cent fois plus que ma vie , Et qui brises de si beaux noends ! Ne me fuis plus , et souffre que j'espere Que tu pourras un jour rabaisser l'œil sur moi , Qu'à force de souffrir j'aurai de quoi te plaire , 288 PSYCHÉ .
Expressions et termes fréquents
AGÉNOR AGLAURE aime Allez Allons amant amour appas ARGANTE assez avez beauté bel air cents pistoles chantants et dansants charmes cher chose ciel cinq cents écus CLÉOMENE CLÉONTE cœur colere connoître coquin courroux COVIELLE croyant seul CYDIPPE dervis dieu dieux dire dis-je donner DORANTE DORIMENE douleur doux ÉGIALE ÉGIPANS ensemble ENTRÉE DE BALLET Est-ce êtes étoit FEMME désolée FEMME du bel fille fils GARÇON TAILLEUR gentilhomme Giourdina grace HYACINTHE INTERMEDE j'ai j'en L'AMOUR LAQUAIS LÉANDRE LUCILE m'en MADAME JOURDAIN MAITRE MAÎTRE À DANSER MAÎTRE D'ARMES MAÎTRE DE MUSIQUE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE MAÎTRE TAILLEUR mamamouchi maniere marquise monde monsieur Jourdain mourir MUPHTI MUSICIEN NICOLE OCTAVE parler pendard pere personne plaire PSYCHÉ Qu'est-ce raison ravi rien sais saurois SCAPIN SCENE VII seigneur Géronte seroit SILVESTRE sœur sorte soupirs star tendresse tout-à-fait trouve Turc VÉNUS veut veux vœux voilà vois voudrois voulez voulez-vous Zéphyre ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 37 - JOURDAIN. — Quoi ! quand je dis : Nicole, apportez-moi mes pantoufles, et me donnez mon bonnet de nuit, c'est de la prose f LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE.
Page 36 - Et l'R, en portant le bout de la langue jusqu'au haut du palais ; de sorte qu'étant frôlée par l'air qui sort avec force, elle lui cède, et revient toujours au même endroit, faisant une manière de tremblement : R, RA.
Page 259 - De la compassion les chagrins innocents M'en ont fait sentir la puissance ; Mais je n'ai point encor senti ce que je sens. Je ne sais ce que c'est, mais je sais qu'il me charme, Que je n'en conçois point d'alarme; Plus j'ai les yeux sur vous, plus je m'en sens charmer.
Page 38 - Non, vous dis-je; je ne veux que ces seules paroles-là dans le billet, mais tournées à la mode, bien arrangées comme il faut. Je vous prie de me dire un peu, pour voir, les diverses manières dont on les peut mettre. Le Maître de Philosophie. On les peut mettre, premièrement, comme vous avez dit: Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour.
Page 69 - CLÉONTE. Il est vrai ; mais elle a grâce à tout cela, et ses manières sont engageantes, ont je ne sais quel charme à s'insinuer dans les cœurs. COVIELLE. Pour de l'esprit... CLÉONTE. Ah ! elle en a, Covielle, du plus fin, du plus délicat. COVIELLE. Sa conversation... CLÉONTE. Sa conversation est charmante. COVIELLE. Elle est toujours sérieuse. CLÉONTE.
Page 134 - J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit, de ces galanteries ingénieuses à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies; et je puis dire, sans vanité, qu'on n'a guère vu d'homme qui fût plus habile ouvrier de ressorts et d'intrigues, qui ait acquis plus de gloire que moi dans ce noble métier...
Page 38 - Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela. Je voudrais donc lui mettre dans un billet: Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour; mais je voudrais que cela fût mis d'une manière galante, que cela fût tourné gentiment.