Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes qui ont amené la Révolution de 1789 et celles qui l'ont suivie, Volume 4Chez G.-A. Dentu, 1833 |
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... voulait condamner à l'oubli dans les temps dont je parle ? On a dit que l'attentat du 13 février était un crime isolé . Quel isolemment , grand Dieu ! un crime suivi de tant de conspirations inspirées par le même esprit ! Combien ...
... voulait condamner à l'oubli dans les temps dont je parle ? On a dit que l'attentat du 13 février était un crime isolé . Quel isolemment , grand Dieu ! un crime suivi de tant de conspirations inspirées par le même esprit ! Combien ...
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... voulait l'attirer à soi . On se plaignit dans la Chambre des députés des tiraillements qu'elle éprouvait et des orages qui en résultaient . Cela me con- duisit à me prononcer fortement à la tribune pour la manifestation libre des ...
... voulait l'attirer à soi . On se plaignit dans la Chambre des députés des tiraillements qu'elle éprouvait et des orages qui en résultaient . Cela me con- duisit à me prononcer fortement à la tribune pour la manifestation libre des ...
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... voulait l'être ; et malgré ses profusions , à sa mort , toutes les dettes acquit- tées , il restait quatre cent mille écus dans ses coffres ; et il était dû un quartier des revenus de la couronne . Catherine de Médicis a plongé la ...
... voulait l'être ; et malgré ses profusions , à sa mort , toutes les dettes acquit- tées , il restait quatre cent mille écus dans ses coffres ; et il était dû un quartier des revenus de la couronne . Catherine de Médicis a plongé la ...
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... voulait traiter ; mais on avait toujours la parole sur le règlement . Il fallut donc se servir d'un subter- fuge indispensable pour avoir la liberté de par- ler d'une chose si importante . Le président ne cessait d'avertir l'orateur qu ...
... voulait traiter ; mais on avait toujours la parole sur le règlement . Il fallut donc se servir d'un subter- fuge indispensable pour avoir la liberté de par- ler d'une chose si importante . Le président ne cessait d'avertir l'orateur qu ...
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... voulait une loi spéciale sur les journaux . Le mi- nistère fut instruit par M. de Causans de cette disposition , qui d'ailleurs était publique ; nous pensions qu'il en profiterait . L'habileté la plus commune devait lui montrer combien ...
... voulait une loi spéciale sur les journaux . Le mi- nistère fut instruit par M. de Causans de cette disposition , qui d'ailleurs était publique ; nous pensions qu'il en profiterait . L'habileté la plus commune devait lui montrer combien ...
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Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes ..., Volume 4 Vincent Marie Viénot comte de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 89 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre.
Page 421 - Mais quand il se fait des brigues, des associations partielles aux dépens de la grande, la volonté de chacune de ces associations devient générale par rapport à ses membres, et particulière par rapport à l'Etat; on peut dire alors qu'il n'ya plus autant de votants que d'hommes, mais seulement autant que d'associations.
Page 422 - Il importe donc, pour avoir bien l'énoncé de la volonté générale, qu'il n'y ait pas de société partielle dans l'État, et que chaque citoyen n'opine que d'après lui: telle fut l'unique et sublime institution du grand Lycurgue.
Page 401 - C'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours; car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux.
Page 209 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 441 - ANNE d'AUTRICHE, on sait qu'avec le secret de cette princesse elle eut encore celui de tous les partis : tant elle était pénétrante, tant elle s'attirait de confiance, tant il lui était naturel de gagner les cœurs! Elle déclarait aux chefs des partis jusqu'où elle pouvait s'engager; et on la croyait incapable ni de tromper ni d'être trompée. Mais son caractère particulier était de concilier les intérêts opposés, et, en s'élevant au-dessus, de trouver le secret endroit, et comme le...
Page 295 - États, un chef illustre qui ne se servit jamais de son influence et de son autorité que pour soulager le malheur, désarmer la guerre de rigueurs inutiles, et couvrir les Français, surtout, de sa protection. » Le Roi m'a dit : « Allez vers cet homme célèbre, offrez-lui la paix, et , pour son pays, la prospérité et le bonheur.
Page 467 - Comme Henri VII, roi d'Angleterre, augmenta le pouvoir des communes pour avilir les grands, Servius Tullius, avant lui, avait étendu les privilèges du peuple pour abaisser le Sénat.
Page 170 - Il ya de mauvais exemples qui sont pires que les crimes; et plus d'états ont péri parce qu'on a violé les mœurs que parce qu'on a violé les lois.
Page 203 - Il se corrompt encore plus lorsque l'honneur a été mis en contradiction avec les honneurs, et que l'on peut être à la fois couvert d'infamie et de dignités.