Revue de ParisLouis Désiré Véron Bureau de la Revue de Paris., 1844 |
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... vrai- ment des motifs suffisans pour être entièrement satisfait de l'Angleterre et pour se servir des expressions consignées dans le discours du trône . A qui pourrait - il tomber dans l'esprit , avec la situation actuelle de l'Eu- rope ...
... vrai- ment des motifs suffisans pour être entièrement satisfait de l'Angleterre et pour se servir des expressions consignées dans le discours du trône . A qui pourrait - il tomber dans l'esprit , avec la situation actuelle de l'Eu- rope ...
Page 70
... vrai , que c'était dans l'intention d'atténuer par ce voisinage la portée du paragraphe sur le droit de visite . Quoi qu'il en soit , les chambres se sont créé elles - mêmes un précédent qu'il nous paraîtrait bien impolitique d ...
... vrai , que c'était dans l'intention d'atténuer par ce voisinage la portée du paragraphe sur le droit de visite . Quoi qu'il en soit , les chambres se sont créé elles - mêmes un précédent qu'il nous paraîtrait bien impolitique d ...
Page 87
... vrai ; mais que n'épouses- tu Angelica ? Il leva les yeux au ciel , et fit claquer sa langue contre son palais . ce qui voulait dire non . Et pourquoi , repris - je , ne veux - tu pas te marier ? Meneghe tenait à la main un bouquet de ...
... vrai ; mais que n'épouses- tu Angelica ? Il leva les yeux au ciel , et fit claquer sa langue contre son palais . ce qui voulait dire non . Et pourquoi , repris - je , ne veux - tu pas te marier ? Meneghe tenait à la main un bouquet de ...
Page 103
... vrai que c'est une femme charmante , et que , comme toutes les femmes charmantes , on calomnie ; voilà tout . -On calomnie , on calomnie , reprit le pair de France ; et pour- quoi calomnierait - on cette dame , voyons ? - Pourquoi l'on ...
... vrai que c'est une femme charmante , et que , comme toutes les femmes charmantes , on calomnie ; voilà tout . -On calomnie , on calomnie , reprit le pair de France ; et pour- quoi calomnierait - on cette dame , voyons ? - Pourquoi l'on ...
Page 105
... vrai dans ce qu'on dit de Fernande . Mais aussi peut - être exagère - t - on , reprit le pair de France sans s'apercevoir qu'il était en pleine contradiction avec ce qu'il avait dit d'abord . En effet , la réserve de Mme Ducoudray , le ...
... vrai dans ce qu'on dit de Fernande . Mais aussi peut - être exagère - t - on , reprit le pair de France sans s'apercevoir qu'il était en pleine contradiction avec ce qu'il avait dit d'abord . En effet , la réserve de Mme Ducoudray , le ...
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Expressions et termes fréquents
Alexandre Dumas amour Antonia avaient avez Barère baronne Bicêtre bonheur c'était Carlito chambre Charles Nodier charmante chère chose cimetières Clotilde cœur comte de Montgiroux coup devant Dieu dire dit-elle docteur doute Émile Deschamps enfant esprit êtes eût évènemens Fabien femme Fernande fille force gens Germain gouvernement grace Guizot heureux homme Irlande j'ai jamais jeune jour l'esprit laisser Léon de Vaux long-temps Louis XIV madame main malade malheureux Maurice ment mingwée ministère Mme d'Aulnay Mme de Barthèle Mme de Neuilly Mme de Vercel Mme Ducoudray Molière monde monsieur Mormant mort n'avait n'était nande Nodier Nouvelle-France parler paroles passé passion pauvre pensée père personne peuple peut-être pièce politique pouvait premier question raison regard reprit reste rien s'écria s'est s'était sais Salvandy scène semble sentimens sentiment serait seul soir Sorrente sorte sourire souvent Stendhal tête théâtre Thibault tion triste trouve vaudeville venait Villefore voilà voix yeux
Fréquemment cités
Page 179 - II est fait tout de mfme; il vient le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l'épaule en avant; Sa perruque, qui suit le côté qu'il avance, Plus pleine de lauriers qu'un jambon de Mayence; Les mains sur les côtés, d'un air peu négligé; La tête sur le dos, comme un mulet chargé ; Les yeux fort égarés; puis, débitant ses rôles, D'un hoquet éternel sépare ses paroles; Et lorsque l'on lui dit : « Et commandez ici, » II répond : « Connoissez-vous César, de lui parler ainsi?
Page 252 - DEUX pigeons s'aimaient d'amour tendre : L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : Qu'allez-vous faire? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux...
Page 184 - Moines de Zurbaran, blancs chartreux qui, dans l'ombre, Glissez silencieux sur les dalles des morts, Murmurant des Pater et des Ave sans nombre, Quel crime expiez-vous par de si grands remords? Fantômes tonsurés, bourreaux à face blême, Pour le traiter ainsi, qu'a donc fait votre corps?
Page 172 - La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien, qui, en jouant son Malade imaginaire ou son Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d'heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez.
Page 186 - Deux poses, l'une droite et l'autre à deux genoux, A l'artiste ont suffi pour peindre votre histoire. Forme, rayon, couleur, rien n'existe pour vous; A tout objet réel vous êtes insensibles, Car le ciel vous enivre et la croix vous rend fous...
Page 118 - Ton âme de démon était-elle agitée ? Qu'avais-tu donc perdu pour être si chagrin? De quels amours tournés se composaient tes haines, Et qui jalousais-tu, toi, peintre souverain? Les plus grands cœurs, hélas ! ont les plus grandes peines ; Dans la coupe profonde il tient plus de douleurs ; Le ciel se venge ainsi sur les gloires humaines. Un jour, las de l'horrible et des noires couleurs, Tu voulus peindre aussi des corps blancs comme neige...
Page 116 - Il est des cœurs épris du triste amour du laid. Tu fus un de ceux-là, peintre à la rude brosse Que Naple a salué du nom d'Espagnolet. Rien ne put amollir ton âpreté féroce, Et le splendide azur du ciel italien N'a laissé nul reflet dans ta peinture atroce. Chez toi, l'on voit toujours le noir Valencien, Paysan hasardeux, mendiant équivoque, More que le baptême à peine a fait chrétien.
Page 250 - MANRIQUE Tout beau, tout beau, Carlos ! d'où vous vient cette audace. Et quel titre en ce rang a pu vous établir?
Page 186 - O moines! maintenant, en tapis frais et verts, Sur les fosses par vous à vous-mêmes creusées, L'herbe s'étend: —Eh bien! que dites-vous aux vers? Quels rêves faites-vous? quelles sont vos pensées? Ne regrettez-vous pas d'avoir usé vos jours Entre ces murs étroits, sous ces voûtes glacées? Ce que vous avez fait, le feriez-vous toujours?...
Page 185 - Tes moines, Lesueur, près de ceux-là sont fades. Zurbaran de Séville a mieux rendu que toi Leurs yeux plombés d'extase et leurs têtes malades ; Le vertige divin, l'enivrement de foi , Qui les fait rayonner d'une clarté fiévreuse, Et leur aspect étrange, à vous donner l'effroi. Comme son dur pinceau les laboure et les creuse Aux pleurs du repentir comme il ouvre des lits Dans les rides sans fond de leur face terreuse...