Champs masqués
Livres Livres
" Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts... "
Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire - Page 326
1864
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

Robert Burns: Les oeuvres

Auguste Angellier - 1893 - 466 pages
...roule avec dédain, sans voir el sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit nne mère, et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps ne sent...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

L'évolution de la poésie lyrique en France au dix-neuvième siècle ..., Volume 2

Ferdinand Brunetière - 1894 - 316 pages
...ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. \. « Je sens sur ma tête le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

L'évolution de la poésis lyrique en France au dix-neuvième siècle...

Ferdinand Brunetière - 1894 - 324 pages
...ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. 1. « Je sens sur ma tète le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

James Thomson: sa vie et ses oeuvres

Léon Morel - 1895 - 696 pages
...•2. • Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côlé des fourmis les populalions, Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore,...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et dans mon cœur alors je la hais; et je vois Notre...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

La vie et les livres

Gaston Deschamps - 1895 - 396 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...Avant vous j'étais belle et toujours parfumée... Hélas! pourquoi ce luxe insolent, cette odieuse parure qui s'étale sur la terre avare où nous ensevelissons...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

Les contemporains: études et portraits littéraires

Jules Lemaître - 1895 - 344 pages
...côté des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore eu les portant les noms des nations. On me dit une mère...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations *. Ainsi M. Leconte de Lisle . Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies. L'illusion t'enserreet...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

James Thomson: sa vie et ses œuveres

Léon Alexandre Morel - 1895 - 722 pages
...Jiilia'x Hccovenj .} •J. • Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon biver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

L'évolution de la poésie lyrique en France au dix-neuvième siècle ..., Volume 2

Ferdinand Brunetière - 1895 - 324 pages
...l'oublier i|u>:lquofois : là se réduisent tous les travaux humains. » Journal d'un poile, 1832. On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mou printemps ne sent pas vos adorations. » C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

Les contemporains: sér. Leconte de Lisle. José-María de Heredia. Armand ...

Jules Lemaître - 1897 - 344 pages
...A cou'; des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore eu les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morls comme son hécatombe, Mon printemps nesent pas vos adorations '. Ainsi M. Leconte de Lisle ....
Affichage du livre entier - À propos de ce livre

Revue du Nivernais, Volumes 1 à 2

1897 - 716 pages
...ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis, les populations : Je ne distingue pas leur terrier de...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On ine dit une mère, et je suis une tombe : Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe : Mon printemps...
Affichage du livre entier - À propos de ce livre




  1. Ma bibliothèque
  2. Aide
  3. Recherche Avancée de Livres
  4. Télécharger l'ePub
  5. Télécharger le PDF