| Auguste Angellier - 1893 - 466 pages
...roule avec dédain, sans voir el sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit nne mère, et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps ne sent... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 316 pages
...ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. \. « Je sens sur ma tête le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 324 pages
...ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. 1. « Je sens sur ma tète le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| Léon Morel - 1895 - 696 pages
...•2. • Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côlé des fourmis les populalions, Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore,...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et dans mon cœur alors je la hais; et je vois Notre... | |
| Gaston Deschamps - 1895 - 396 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver...Avant vous j'étais belle et toujours parfumée... Hélas! pourquoi ce luxe insolent, cette odieuse parure qui s'étale sur la terre avare où nous ensevelissons... | |
| Jules Lemaître - 1895 - 344 pages
...côté des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore eu les portant les noms des nations. On me dit une mère...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations *. Ainsi M. Leconte de Lisle . Pour qui sait pénétrer, Nature, dans tes voies. L'illusion t'enserreet... | |
| Léon Alexandre Morel - 1895 - 722 pages
...Jiilia'x Hccovenj .} •J. • Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur...nations. On me dit une mère et je suis une tombe, Mon biver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce... | |
| Ferdinand Brunetière - 1895 - 324 pages
...l'oublier i|u>:lquofois : là se réduisent tous les travaux humains. » Journal d'un poile, 1832. On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mou printemps ne sent pas vos adorations. » C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et... | |
| Jules Lemaître - 1897 - 344 pages
...A cou'; des fourmis, les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore eu les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morls comme son hécatombe, Mon printemps nesent pas vos adorations '. Ainsi M. Leconte de Lisle .... | |
| 1897 - 716 pages
...ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis, les populations : Je ne distingue pas leur terrier de...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On ine dit une mère, et je suis une tombe : Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe : Mon printemps... | |
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