| Francis Yvon Eccles - 1909 - 399 pages
...Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; 10 Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : —...probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côte des pauvres ruisselant, 15 Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques. Booz était... | |
| 1910 - 188 pages
...forge. Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : —...sacs de grains semblaient des fontaines publiques. Le vieillard, qui revient vers la source première, Entre aux jours éternels et sort des jours changeants... | |
| 1910 - 750 pages
...Laisse: tomber exprés des épis, disait-il. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques. Velu de probité candide et de. lin blanc; Et, toujours du côté des panures riiislant. Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques: Boa: était bon maître et... | |
| University of Calcutta - 1911 - 760 pages
...Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : " Laissez tomber exprès clés épis," disait-il. <'et homme marchait pur loin des sentiers obliques. Vêtu...sacs de grains semblaient des fontaines publiques. (b) Sur la bruyère arrosée De rosée ; Sur le buisson d'églantier ; Sur les ombreuses futaies ;... | |
| Auguste Rochette - 1911 - 622 pages
...au ciel bleu mêlait son blond duvet V., I, 124. Tes ennemis ont pris ta belle destinée V., I, 209. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc L., I, 51. Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée L., I, 52. Quelque chose de bleu qui paraissait... | |
| St. John Lucas, St. John Welles Lucas Lucas - 1911 - 298 pages
...forge. Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse, — Laissez tomber exprès des épis, disait -2. Cet homme marchait pur, loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin... | |
| George Neely Henning - 1913 - 476 pages
...Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; 10 Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : «...blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant, 15 Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques. Booz était bon maître et fidèle parent... | |
| George Neely Henning - 1913 - 456 pages
...obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant, 15 Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques. Booz était bon maître et fidèle parent ; II était généreux, quoiqu'il fût économe ; Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme,... | |
| George Neely Henning (ed) - 1913 - 460 pages
...d'argent comme un ruisseau d'avril. ^ l{ M Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; ', '-. i, ty 10 Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : ......« Laissez tomber exprès des épis ». disait-il. 1; V, '^^ Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, 5 .JJ H/s Vêtu de probité candide et... | |
| Louis Georges Bareille - 1910 - 720 pages
...servir pour être la providence des pauvres, et pour laisser tomber de sa table plus que des miettes : Et toujours du côté des pauvres ruisselant Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques ; « Regarder aussi comme des « accidents heureux » les avantages qui accompagnent ordinairement... | |
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