Il n'était question d'abord que de m'exercer à la lecture par des livres amusants; mais bientôt l'intérêt devint si vif que nous lisions tour à tour sans relâche, et passions les nuits à cette occupation. Nous ne pouvions jamais quitter qu'à... Leçons de logique, année scholaire, 1838-39 - Page 207de A. Charma - 1840 - 416 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Georges Beaulavon - 1912 - 330 pages
...mère, dit-il, avait laissé des romans; nous nous mimes à les lire après souper, mon père et moi. ll n'était question d'abord que de m'exercer à la lecture...occupation, nous ne pouvions jamais quitter qu'à la fin du volume. Quelquefois, mon père, entendant le matin les hirondelles, disait tout honteux:... | |
| Bernard Bouvier - 1912 - 440 pages
...l'Astrée, la Cléopâtre, le Grand Cynts, voilà les lectures qu'il partage avec Jean-Jacques. « Il n'était question d'abord que de m'exercer à la...bientôt l'intérêt devint si vif que nous lisions tout à tour sans relâche et passions les nuits à cette occupation. Quelquefois, mon père, entendant... | |
| Charles Borgeaud - 1912 - 426 pages
...l'Astrée, la Cléopâtre, le Grand Cyrus, voilà les lectures qu'il partage avec Jean-Jacques. « Il n'était question d'abord que de m'exercer à la...bientôt l'intérêt devint si vif que nous lisions tout à tour sans relâche et passions les nuits à cette occupation. Quelquefois, mon père, entendant... | |
| Louis Ducros - 1918 - 460 pages
...est bien connu : « Ma mère avait laissé des romans ; nous nous mimes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'était question d'abord que...de m'exercer à la lecture par des livres amusants ; (1) Faguet : Rousseau artiste, p. 197. (2) « L'harmonie, écrivait-il à Rey (8 juillet 1758) me... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1921 - 420 pages
...conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des_ romans,2 nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'était question d'abord que...nous lisions tour à tour sans relâche, et passions 20 les_nuits à cette occupation. Nous ne pouvions jamais quitter qu'à la fin du volume. Quelquefois... | |
| Ernest Antoine Aimé Léon Baron Seillière - 1921 - 494 pages
...expose-t-il, avait laissé des romans ; nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi... Bientôt l'intérêt devint si vif que nous lisions...relâche et passions les nuits à cette occupation... En peu de temps j'acquis, par cette dangereuse méthode... une intelligence unique à mon âge sur... | |
| Ernest Seillière - 1923 - 140 pages
...romans, écrit-il aux premières pages de ce livre fameux. « Nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et « moi. Il n'était question d'abord...occupation ; nous ne pouvions « jamais quitter qu'à la fin du volume. Quelquefois mon « père, entendant le matin les hirondelles, me disait tout « honteux... | |
| Hélène Cattanès - 1925 - 294 pages
...PREMIÈRES LECTURES Ma mère avait laissé des romans, nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'était question d'abord que...relâche, et passions les nuits à cette occupation. Quelquefois, mon père, entendant le matin les hirondelles, disait tout honteux: "Allons nous coucher;... | |
| Alphonse de Lamartine - 1926 - 206 pages
...question d'abord que de m'excercer à la lec« ture par des livres amusants; mais bientôt l'inu térêt devint si vif que nous lisions tour à tour « sans relâche et passions les nuits à cette occu«. pation. Nous ne pouvions jamais quitter qu'à « la fin du volume; quelquefois mon père, en<>... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 342 pages
...mon père et moi. Il n'étoit question d'abord que de m'exercer à la lecture par des livres amusans; mais bientôt l'intérêt devint si vif, que nous...occupation. Nous ne pouvions jamais quitter qu'à la fin du volume. Quelquefois mon père, entendant le matin les hirondelles, disoit tout honteux :... | |
| |