 Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon...  Littérature française: deuxième anné : 18ème et 19ème siècle - Page 90de Eugène Aubert - 1897 - 290 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 420 pages
...! douce verdure , Adieu ! riant exil des bois ; Ciel, pavillon de 1 homme, admirable nature, Adieu pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir long-temps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds a mes adieux ! Ou'ils meurent pleins dejours, que leur mort soit pleurée, (Ju'un ami leur ferme les... | |
 | 1836 - 784 pages
...fur ma tombe , où lentement f arrive , Nul ne viendra verfez des pleurs. Salut, champs que f aimais, et vous, douce verdure, Et vous , riant exil des bois ; Ciel, pavillon de f 'homme , admirable nature, . Salut pour la dernière fois ! Ah ! puisfent voir longtemps totre beauté... | |
 | 1836 - 942 pages
...Ah ! puissent voir long-tcmps vótre beautc sacrée Tant d'amis sourds a mes adieux ! Qu'il meurcnt pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les ycui ! Così nell' idolo del secolo ( idolo in vero che da citladinesco diventò ormai pagano), in... | |
 | J. B. Maigrot - 1837 - 676 pages
...meurs , et , sur ma tombe , où lentement j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Sain! , cbamps que j'aimais , et vous , douce verdure , Et vous ....sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils menant pleins de jours ! que leur mort soit pleurée ! Qu'un airi leur ferme les yeux ! Hélas ! c'était... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 pages
...l'homme, admirable nature, Adieu pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir long-temps votre beauUS sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils...mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux ! Dans plusieurs endroits , Young déclame contre la solitude : l'habitude de son cœur n'était donc... | |
 | 1837 - 862 pages
...тегчт des pleurs. Salât, champs que j'aimais, et той«, donee verdure, Et vous, riant eiil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature....puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis fuurds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit plenrée. Qu'un ami leur... | |
 | 1837 - 920 pages
...dans sa longue agonie, le poète se rappelant ceux qui l'abandonnaient si lâchement, s'écriait : Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée ! Qu'un ami leur ferme les yeux!' Rien ne prouve d'une manière plus frappante combien l'on ignorait en quoi consiste la poésie, que... | |
 | 1838 - 478 pages
...jour, ct je meurs : Je meurs, et sur la tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut , champs que j'aimais, et vous , douce verdure...admirable nature , Salut pour la dernière fois ! Ah t puissent voir long- temps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent... | |
 | Alphonse Karr - 1838 - 336 pages
...Nul ne viendra verser des pleurs ! ! ! Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et TOUS, riant exil des bois ; Ciel, pavillon de l'homme, admirable...nature, , Salut pour la dernière fois. Ah ! puissent longtemps voir votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours,... | |
 | 1841 - 568 pages
...lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, El vous, riant exil des bois! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut, pour la dernière fois! Ab ! puissent voir longtems, votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent... | |
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