Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon... Littérature française: deuxième anné : 18ème et 19ème siècle - Page 90de Eugène Aubert - 1897 - 290 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1851 - 534 pages
...et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure,...mort soit pleurée ! Qu'un ami leur ferme les yeux! MOISE SUR LE NIL. « Mes sœurs, l'onde est plus froide aux premiers feux du jour. « Venez : le moissonneur... | |
| François Noel - 1851 - 758 pages
...et je meurs : Je meurs , et sur ma tombe, où lentement j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure,...Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleure'e, Qu'un ami leur ferme les yeux i GILBERT. La Jeune Captive. L'ÉPI naissant mûrit, de la... | |
| L. L. Buron - 1851 - 634 pages
...meurs ; ' ' . , Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive Xul ne viendra verser des pleurs ! Salut, champs que j'aimais! et vous, douce verdure!...dernière fois ! . •*: . . *. •• . • Ah! puissent longtemps voir votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Gilbert mourant à l'hôpital... | |
| François-Zénon Collombet - 1851 - 448 pages
...contrastait avec la sécheresse de la poésie de; son siècle? Est-ce lui ou Chénierquidit: Adieu, champs que j'aimais ; et vous, douce verdure. Et vous,...bois, Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Adieu pour la dernière fois. Mais la gloire des maîtres , c'est de devenir la haute expression de... | |
| John Lemoinne - 1852 - 398 pages
...de X. Il n'ya eu que Peel ! « Et on dit qu'il n'a pas de cœur ! » N'est-ce pas encore Gilbert ? Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée...mort soit pleurée ! Qu'un ami leur ferme les yeux ! « 21 juin. — Horriblement dormi. Prié avec dou« leur » Et enfin, le dernier jour 22 juin :... | |
| John Lemoinne - 1852 - 398 pages
...de X. Il n'ya eu que Peel ! « Et on dit qu'il n'a pas de cœur ! » N'est-ce pas encore Gilbert ? Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée...mort soit pleurée ! Qu'un ami leur ferme les yeux! « 21 juin. — Horriblement dormi. Prié avec dou« leur » Et enfin , le dernier jour 22 juin : «... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet, Louis F Chaumont - 1852 - 340 pages
...et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois? Ciel, pavillon de l'bomme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté... | |
| Louis Malaher - 1852 - 184 pages
...jour et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! 3 Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois. Ah ! puissent voir longtemps... | |
| François Joseph Michel Noël, Auguste Baron - 1852 - 660 pages
...riant exil des bois ! jel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois! Ui! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! ID'US meurent pleins dejours,que leur mort soit pieu Qu'on ami leur ferme les yeux ! [réc ! LA IEONE... | |
| Pauline Fouré-Löffler - 1853 - 638 pages
...jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut , champs que j'aimais ! et vous , douce verdure...mort soit pleurée ! Qu'un ami leur ferme les yeux! Gilbert. Plainles d'un père délaissé par son fils. Fut-il pour l'oeil d'un père un plus affreux... | |
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