| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 676 pages
...hôpitaux font que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont dev l'industrie , excepté ceux qui cultivent les arts,...ont des terres, excepté ceux qui font le commerce. J'ai dit que les nations riches avoient besoin d'hôpitaux, parce que la fortune y étoit sujette à... | |
| Gustave Du Puynode - 1860 - 488 pages
...— font que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts,...ont des terres, excepté ceux qui font le commerce (3). » Gar(1) C'est une remarque de M. l'abbé Bautain, La belle saison à la campagne. (2) Ricardo... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1860 - 628 pages
...commerce. J'ai dit que les nations riches avaient besoin d'hôpitaux , parce que la fortune y était sujette à mille accidents; mais on sent que des secours...vaudraient bien mieux que des établissements perpétuels. Lc mal est momentané : il faut donc des secours de même nature, et qui soient applicables à l'accident... | |
| Société des sciences naturelles de Seine-et-Oise, Versailles - 1864 - 912 pages
...hôpitaux font que tout le monde est à son ai?e, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts,...ont des terres, excepté ceux qui font le commerce. J'ai dit que les nations riches avaient besoin d'hôpitaux, parce que la fortune y est sujette à mille... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1865 - 474 pages
...hôpitaux font qiie tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts...ont des terres , excepté ceux qui font le commerce. J'ai dit que les nations riches avoient besoin d'hôpitaux, parce que la fortune y étoit sujette à... | |
| Patrice Larroque - 1870 - 360 pages
...particulière... « J'ai dit que les nations riches avaient besoin d'hôpitaux, parce « que la fortune y était sujette à mille accidents ; mais on sent « que des secours passagers vaudraient bien mieux que des établis« sèment» perpétue'*. • (De l'Esprit des lois, livre XXIII, chapitra XXIX.) moyen chaque... | |
| Paul Janet - 1872 - 780 pages
...hôpitaux font que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts,...ont des terres, excepté ceux qui font le commerce. » Il ne faut pas tirer de ces paroles la conclusion que Montesquieu favorise cette doctrine extrême... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1877 - 530 pages
...hôpitaux font que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts*,...accidents : mais on sent que des secours passagers vaudroient bien mieux que des établissements perpétuels. Le mal est momentané : il faut donc des... | |
| Charles Féré - 1892 - 640 pages
...Montesquieu (4), que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont de l'industrie, excepté ceux qui cultivent les arts,...ont des terres, excepté ceux qui font le commerce. » Dans la plupart des grandes villes l'administration de l'assistance publique est devenue la nourrice... | |
| Maurice Tourneux - 1895 - 650 pages
...les hôpitaux; de là résulte « que tout le monde est à son aise, excepté ceux qui travaillent, excepté ceux qui ont des terres, excepté ceux qui font le commerce ». Montesquieu passa trois mois à Rome; puis il prit le chemin de Naples, mais il se promettait de... | |
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