... cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : « II faut avouer qu'il a l'air bien... Œuvres complètes de Montesquieu: Lettres persanes - Page 128de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1875Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Edgar Zevort - 1888 - 244 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait ; si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure ; enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| George Eugène Fasnacht - 1888 - 272 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait. Si j'étais au spectacle, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait : si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens, qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| Ludwig Herrig - 1891 - 716 pages
...quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux: Il faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose admirable! je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les... | |
| Amédé Rougemont - 1893 - 432 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait ; si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais 20 quelquefois d'entendre des gens, qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre,... | |
| Eugène Aubert - 1897 - 314 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure; enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| Lucien Leclair, Clodomir Joseph Rouzé - 1900 - 388 pages
...je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi; si j'étais au spectacle, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure; enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Ex. 176. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre,... | |
| Eugène F. Bauer - 1902 - 556 pages
...arc-en-ciel nuancé de mille couleurs qui m'entourait. Si j'étais au spectacle, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure ; enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| François Rabelais - 1903 - 198 pages
...-en-ciel nuancé de mille couleurs qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que moi." — The Parisians still have the reputation of being badauds and gobeurs. 2. Porteur de rogatons. Marty-Laveaux... | |
| Othon Goepp Guerlac - 1905 - 234 pages
...souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre dire entre eux : " Il faut avouer qu'il a l'air bien persan." Chose admirable, je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les... | |
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