 | Eugène Crépet - 1861
...moments : Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse , illusion , folie , Dons du ciel , qui me consoliez Des amertumes...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; III. Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre... | |
 | Voltaire - 1861
...prend par la main, M'avertit que je me retire. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! Que le matin touche à la nuit! Je n'eus qu'une heure; elle est finie. Nous passons; la race qui... | |
 | Voltaire, Jules Gabriel Janin - 1862 - 436 pages
...moments, Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion , folie : Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes de la vie? * Voltairc parle, clans sa correspondance, sans daigner les citer, de mauvais bouts-rimes de quelque... | |
 | Edouard de Pompery - 1867 - 489 pages
...moments, Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi I pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes...mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Du ciel alors daignant descendre, L'amitié vint à mon secours, Elle était peut-être aussi tendre,... | |
 | Gustave Sandré - 1867 - 591 pages
...moments ; Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi, pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes...une mort insupportable ; Cesser de vivre ce n'est rieu. Ainsi je déplorais la perte Des plaisirs de mes premiers ans, Et mon âme, aux désirs ouverte,... | |
 | Karl August Varnhagen von Ense - 1869
...er fei »on tëraêmuS. <3»äterl)in fagte mir ißödl), er fei aué bem ïerentianuè U)îaurué. „On meurt deux fois, je le vois bien; Cesser d'aimer et d'être aimable Est une mort insupportable, Cesser de vivre ce n'est rien. 327 ©ôniitng, ben 20. 920t)ember T854.... | |
 | Voltaire - 1872 - 621 pages
...moments, Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes...je le vois bien: Cesser d'aimer et d'être aimable, ("est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perte Des erreurs... | |
 | Voltaire - 1877
...par la main , M'avertit qne je me retire. Quoi ! pour toujours TOUS me fuyez , Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! £>ue le matin touche à la nuit ! Je n'eus qu'une heure ; elle est finie. Nous passons ; la race qui... | |
 | Voltaire - 1880
...n'eus qu'une heure; elle est finie. Nous passons; la race qui suit Déjà par une autre est suivie. On meurt deux fois, je le vois bien; Cesser d'aimer...déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme aux désirs ouverte Regrettait ses egarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié vint... | |
 | Voltaire - 1877
...folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien1 : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort...la perte Des erreurs de mes premiers ans ; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements5. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié... | |
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